Bulletin de la Société archéologique historique et scientifique de Soissons, Volume 14 |
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... siècle ; mais certainement la chose n'existait pas . Aux époques de passions ou de convictions religieuses , on peut rencontrer des hommes d'une vertu supé- rieure , qui restent bienveillants envers leurs ennemis ; mais les masses ne ...
... siècle ; mais certainement la chose n'existait pas . Aux époques de passions ou de convictions religieuses , on peut rencontrer des hommes d'une vertu supé- rieure , qui restent bienveillants envers leurs ennemis ; mais les masses ne ...
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... siècle , sur la forme des ventes et des transactions , et sur les procès . Tous ces usages d'époques éloignées nous étonnent parce que nous les jugeons , en remontant le cours des âges , avec des idées qui sont le résultat de tout ce ...
... siècle , sur la forme des ventes et des transactions , et sur les procès . Tous ces usages d'époques éloignées nous étonnent parce que nous les jugeons , en remontant le cours des âges , avec des idées qui sont le résultat de tout ce ...
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... siècle . Quand , en 1847 , nous avons commencé nos excursions archéologiques , nous pensions que nous aurions bientôt épuisé le champ de nos recherches et de nos découvertes . [ Et vous voyez comme nous nous trom- pions puisque , dans ...
... siècle . Quand , en 1847 , nous avons commencé nos excursions archéologiques , nous pensions que nous aurions bientôt épuisé le champ de nos recherches et de nos découvertes . [ Et vous voyez comme nous nous trom- pions puisque , dans ...
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... siècle , et sur les divers métiers qui , à la même époque , etaient exercés à Soissons . Dans ces communications , une observation nous a frappés : c'est que plusieurs industries impor- tantes , qui existaient alors dans notre ville ...
... siècle , et sur les divers métiers qui , à la même époque , etaient exercés à Soissons . Dans ces communications , une observation nous a frappés : c'est que plusieurs industries impor- tantes , qui existaient alors dans notre ville ...
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... siècle , portant les armes de la branche de Bourbon - Soissons , avec une inscription qui a défié jusqu'ici la sagacité des antiquaires les plus habiles . A cette occasion , M. l'abbé Pécheur rappelle que M. Quinquet , maire d'Oulchy ...
... siècle , portant les armes de la branche de Bourbon - Soissons , avec une inscription qui a défié jusqu'ici la sagacité des antiquaires les plus habiles . A cette occasion , M. l'abbé Pécheur rappelle que M. Quinquet , maire d'Oulchy ...
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Common terms and phrases
25 aoust Académie ancien année aoust avons Barbonval Bézu-Saint-Germain Bourg-et-Comin Braine Bulletin cens centimètres Champlieu charité château de Vic-sur-Aisne Chavonnes compagnie Condé Decamp délibérations de l'Académie démie de Soissons desd dicte Diluvium diocèse de Soissons discours envoyé dudict église esté évesque de Soissons faict Glennes HISTORIQUE ET SCIENTIFIQUE inscription Item jour l'abbé Leboeuf l'abbé Pécheur l'Aca l'Académie de Soissons l'Académie française l'Aisne l'église l'Elephas l'Evesque de Soissons Laprairie Laubrière lecture lesd lettre livres tournois Longpont lundy médaille membre ment mérovingiens mesme Messieurs de l'Académie messire mètres missionnaires Monsieur monuments Musée pages parisis Pasly pauvres pièces d'éloquence pierre présent Président Prioux pulpitum Recueil de pièces Registre des délibérations romaine royale de Soissons saint Vincent SCIENTIFIQUE DE SOISSONS séance secrétaire Sempigny sieur évesque sieurs de chappitre SOCIÉTÉ ARCHÉOLOGIQUE Sois solz St Louis suivante terre tion tribut trouve village Vincent de Paul Viry-Noureuil Vuillery Watelet XIIe siècle
Popular passages
Page 30 - Boucher d'Argis qui remercie la Société de l'avoir admis au nombre de ses membres correspondants.
Page 29 - Rapport fait à l'Académie des inscriptions et belles-lettres, au nom de la commission des antiquités de la France; par M. Lenormant. Lu dans la séance publique annuelle du 16 août 1850. Imp. de F. Didot, à Paris. 1850. In-4° de 4 f.
Page 151 - Dieu ne suscite • quelques personnes pour les soulager par leurs au> moues. 11 nous en meurt si grand nombre que, dans > le seul lieu de Bazoches, nous en avons enterré > cinquante dans trois jours. Nous n'y pouvons subvenir, > et nos confrères des villages voisins sont morts ou > malades, ou sont sans habits et sans pain. Cela fait que • notre peuple est sans pasteurs, sans sacrements, sans > pain et sans aucuns secours, car le plus riche de ces » contrées ne peut pas donner cinq sous. Nous...
Page 131 - Lecture et adoption du procès-verbal de la dernière séance. M. le Président dépose , pour les archives de la Société : Cabinet historique. Avril, mai, juin, juillet et août 1860. L'art au XIX
Page 149 - ... votre charité. La misère est si grande, qu'il ne reste plus d'habitants dans les villages qui aient seulement de la paille pour se coucher, et les plus qualifiés du pays n'ont pas de quoi subsister ; il...
Page 25 - ... époque. • La parfaite conservation de ces coquilles, leur ténuité extrême, leur ensevelissement au milieu de silex et de cailloux roulés, suffit pour prouver que le dépôt s'est effectué lentement et tranquillement ; car s'il n'en avait pas été ainsi , toutes ces coquilles si frêles eussent été brisées facilement, puisque le moindre contact suffit pour les réduire en poussière. > Ces grands courants, dans la suite, diminuèrent d'intensité et finirent par ne laisser, dans les...
Page 147 - ... et qui a en fonds plus de 25,000 écus de > biens, nous étant venu demander des confitures pour > sa fille malade ; sur ce que nous lui répondîmes » qu'elles n'étaient envoyées de Paris que pour les
Page 51 - C'est M. de la Tournelle qui en est secrétaire perpétuel. Elle a proposé les prix suivants : PRIX. • 1777. Quelles sont les connaissances nécessaires à un propriétaire, pour vivre à la campagne d'une manière u ile pour lui et pour les paysans qui l'entourent?
Page 143 - Mazarin , selon les désirs de la nation. 11 ose même dire au terrible ministre qu'il rencontre sur ses pas : « Monseigneur, cédez au temps et jetez-vous à la mer pour calmer l'orage. » Mais une autre influence plus intéressée contrebalança les sages conseils du saint prêtre , et la guerre civile éclata. Les Espagnols , enhardis par ces divisions intestines et soutenus par les Hollandais dont ils ont reconnu l'indépendance, attaquent la France parla Champagne et la Picardie qui étaient...
Page 149 - La misère est si grande qu'il ne reste » plus d'habitants dans les villages qui aient seulement » de la paille pour se coucher, et les plus qualifiés du » pays n'ont pas de quoi subsister. Il y en a même qui » possèdent pour plus de vingt mille écus de biens et » qui, à présent, n'ont pas un morceau de pain et ont