Il fallait la savoir à quelques lieues, elle qui m'avait constamment consolée par les soins les plus aimables ; il fallait la savoir là, si près de ma demeure, et qu'il ne me fût pas permis de la voir encore, peut-être pour la dernière fois ! Je... Revue du Lyonnais - Page 2261895Full view - About this book
| Madame de Staël (Anne-Louise-Germaine) - France - 1821 - 366 pages
...et qu'il ne me fût pas permis de la voir encore, peut-être pour la dernière fois! Je la conjurai de ne pas s'arrêter à Coppet; elle ne voulut pas...je la vis entrer dans ce château où son arrivée étoit toujours une fête. Elle partit le lendemain, et se rendit à l'instant chez une de ses parentes,... | |
| Madame de Staël (Anne-Louise-Germaine) - 1821 - 406 pages
...qu'il ne me fût pas permis de la voir encore , peut-être pour la dernière fois ! Je la conjurai de ne pas s'arrêter à Coppet ; elle ne voulut pas...je la vis entrer dans ce château où son arrivée étoit toujours une fête- Elle partit le lendemain, et se rendit à l'instant chez une de ses parentes,... | |
| Anne-Louise-Germaine Necker de Staël-Holstein (baronne) - 1821 - 294 pages
...qu'il ne me fût pas permis de la voir encore, peut-être pour la dernière fois '. Je la conjurai de ne pas s'arrêter 'à Coppet ; elle ne voulut pas...rester quelques heures avec moi, et c'est avec des convulsioni de larmes que je la vis entrer dans ce château où son arrivée était toujours une fête.... | |
| Madame de Stael (Anne-Louise-Germaine) - 1845 - 682 pages
...et qu'il ne me fût pas permis de la voir encore, peut-être pour la dernière fois! Je la conjurai de ne pas s'arrêter .à Coppet ; elle ne voulut pas...son arrivée était toujours une fête. Elle partit le lendemain , et se rendit à l'instant chez une de ses parentes, à cinquante lieues de la Suisse.... | |
| Jeanne Françoise Julie Adélaïde Bernard Récamier - 1859 - 506 pages
...soins les plus aimables ; il fallait « la savoir là, si près de ma demeure, et qu'il ne « me fut pas permis de la voir encore, peut-être « pour la...arrivée était toujours une « fête. Elle partit le lendemain et se rendit chez une « de ses parentes à cinquante lieues de la Suisse. Ce « fut en... | |
| Jeanne Françoise Julie Adélaïde Bernard Récamier - France - 1859 - 520 pages
...soins les plus aimables ; il fallait « la savoir là, si près de ma demeure, et qu'il ne « me fut pas permis de la voir encore, peut-être « pour la...arrivée était toujours une « fête. Elle partit le lendemain et se rendit chez une « de ses parentes à cinquante lieues de la Suisse. Ce « fut en... | |
| Jeanne Françoise Julie Adélaïde Bernard Récamier - 1876 - 544 pages
...j'envoyai un cour« rier- au-devant de Me" Récamier pour la supplier « de ne pas venir à Coppet. 1l fallait la savoir à « quelques lieues, elle qui...arrivée était toujours une « fête. Elle partit le lendemain et se rendit chez une «-de ses parentes à cinquante lieues de la Suisse. Ce « fut en... | |
| Paul Gautier - France - 1903 - 456 pages
...détourner de son projet : peine perdue. « Ce fut avec des convulsions de larmes, dit Mme de Staël, que je la vis entrer dans ce château où son arrivée était toujours une fête. » Mme Récamier, d'ailleurs, ne passe que vingt-quatre heures à Coppet. Un de ses neveux qui habite... | |
| 1883 - 1196 pages
...la voir encore, peut-être pour la dernière fois! Je la conjurais de ne pas s'arrêter à Goppet; elle ne voulut pas céder à ma prière : elle ne put passer sous mes fenêtres l'ait une visite à Mm* de Staël, fut arrivée à Lyon (juin 1812), Camille Jordan lui parla avec... | |
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