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52. Trente-deuxième. Au camp de Diblon, le 10 septembre 1694. Sur les avis qu'il lui mande avoir reçus de la flotte ennemie.

53. Trente-troisième. Au camp de Diblon, le 22 octobre 1694. Sur les difficultés qui se trouvent pour l'exécution des ordres qu'il a reçus.

54-55. Trente-quatrième et trente-cinquième. A Pignerol, le 17 juin 1695. Il apprend avec peine ses incommodités qui l'empêchent de commander. Dans la suivante, il lui fait son compliment sur la nomination de Mons. de Châlon à l'archevêché de Paris.

56. Onze lettres de Mons. le maréchal de Boufflers. · Pages 101 à 125. Lettre première. A Mons, le 21 mai 1694. Il commence sa lettre par des compliments qui prouvent l'amitié qui étoit entre eux; il lui donne des nouvelles de Mons et le prie de lui accuser réception de sa lettre.

57. Deuxième. Au camp de Warens, le 28 juin 1694. Compliments sur la prise de Palamos et sur ce que Mons. le comte de Guiche a été fait brigadier. Il lui donne des nouvelles de ce qui se passe 58. Troisième. Au camp de Warens, le 9 juillet 1694. Compliment sur la prise de Gironne. Il ne se passe rien de considérable de son côté.

59. Quatrième. Au camp d'Olcy, le 18 juillet 1694. -Sur l'accouchement de madame la duchesse de Noailles et sur sa santé. Il lui envoie l'extrait d'une lettre du Roi au sujet du comte de Guiche.

60. Cinquième. Du quartier de Sarastache, le 21 août 1694. Il lui mande la disposition présente des armées.

61. Sixième. Au camp de Courtrai, le 17 septembre 1694. Compliment sur la prise de Castelfollit. La réponse dans la même lettre.

62. Septième. Au camp de Courtrai, le 23 septembre 1694. Il lui mande de l'instruire du succès de sa marche sur Ostalric, et lui fait part des nouvelles de son armée.

63. Huitième. Au camp de Courtrai, le 27 septembre 1694. Compliment sur ce qu'il a obligé les ennemis à lever le siége d'Ostalric. La réponse dans la même lettre.

64. Neuvième. A Lille, le 14 novembre 1694. Sur ce qu'il lui a été impossible de le voir à la cour; sur l'entreprise de Barcelonne et au sujet de madame la maréchale de Boufflers.

65. Dixième. A Lille, le 5 février 1695. Sur le départ du comte de Thiais, pour la Catalogne et sur un secrétaire qu'il lui avoit demandé.

66. Onzième. Au camp de Clare, le 27 juin 1695. Au sujet de sa maladie.

67. Deux lettres de Mons. de Vauban. P. 97 à 100. Première. A Brest, le 20 octobre 1694. Au sujet d'une entreprise dont l'exécution étoit très-difficile.

68. Deuxième. A Alençon, le 14 avril 1695. Il lui demande un éclaircissement, sur le service des officiers généraux de terre et sur ceux de mer.

69. Lettre de Monsieur le Maréchal d'Humières. P. 96. A Maubeuge, le 20 mai 1695. Il mande qu'il n'est pas possible de changer présentement l'état de l'artillerie.

70-71. Deux lettres de Mons. le Maréchal de Duras.-P. 126 et 127. A Paris, le 7 avril 1698. Il lui envoie une information touchant une affaire arrivée à un garde de la brigade de Sienne, à Compiègne. La lettre suivante est sur le même sujet.

72. Lettre de Mons. le Maréchal de Tessé. A Meudon, le 2 mai 1698. Il lui recommande Mons. le Président d'Albaret.

73. Lettre de Mons. le Duc de Béthune.

P. 130. Le 2 décembre

1695. Il le prie d'envoyer des ordres à Saint-Quentin, pour prévenir les querelles qui pourroient survenir entre le Chevalier de Béthune et Mons. de Caulincourt.

74. Lettre de Mons. de Broglie. - P. 132. A Montpellier, le 29 anvier 1696. Au sujet de Mons. Rosel et de sa femme.

75. Sept lettres de Mons. le Duc de Grammont.-P. 134 à 150. Première. A Bayonne, le 30 mai 1694. Il lui souhaite un bon succès dans ses entreprises.

76. Deuxième. A Bayonne, le 13 juin 1694. Il le félicite de la bataille qu'il a gagnée, et lui fait part de ses vues sur le royaume d'Espagne.

77. Troisième. A Bayonne, le 23 juin 1694. Il le félicite sur la rapidité de ses conquêtes, et lui fait part des avis qu'il a reçus de Saint-Sébastien. Les réponses sont avec cette lettre.

78. Quatrième. A Saint-Jean-de-Luz, le 4 juillet 1694. Au sujet de la charge de Lieutenant de Roi du Béarn, qu'il ne veut point laisser sortir de sa maison.

79. Cinquième. A Bayonne, le 11 juillet 1694. Au sujet du siége de Gironne, et il lui fait part des avis qu'il reçoit.

80. Sixième. A Bayonne, le 4 août 1694. Sur la prise d'Ostalric et de Gironne. Il lui donne des avis.

81. Septième. A Bayonne, le 27 octobre 1694. Sur l'entreprise de Barcelonne, qui est suspendue.

82-83. Douze lettres de Mons. le Comte d'Estrées. - P. 151 à 176. Première et deuxième. A bord du Royal-Louis, le 17 mai. Cette lettre ne roule que sur des compliments. La seconde est datée du 17 mai 1693, de la rade de Roses. Il lui marque qu'il attend ses ordres.

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84-85. Troisième et quatrième. A bord du Royal-Louis, le 22 mai 1693, par la hauteur de Blancs.-Cette lettre et la suivante datée du 29 mai, à la baie des Roses, ne parlent que de sa fidélité à exécuter ses ordres.

86-87. Cinquième et sixième. A bord du Royal-Louis, le 31 mai 1693. Il mande qu'il est bien fâché de n'avoir pu aller le joindre à cause du mauvais temps; dans la suivante du 2 juin, il parle des succès de l'ouverture de la tranchée.

88-89. Septième et Huitième. A bord du Royal-Louis, 2 juin 1693.

Il mande qu'il n'y a rien de sa faute, si les munitions n'ont pas été débarquées assez tôt; dans la suivante du 3 juin, il le félicite sur la paix d'Heidelberg.

90-91. Neuvième et dixième. A bord du Royal-Louis, le 3 juin 1693. Au sujet du débarquement des mortiers et des munitions. Dans la suivante du 4 juin, il marque qu'il est bien fâché que les munitions qu'il demande ne soient pas débarquées, et il le prie de donner ses ordres pour que le débarquement se fasse plus vite. 92-93. Onzième et douzième. A bord du Royal-Louis, le 5 juin 1693. Il mande que toutes ses chaloupes sont occupées à débarquer des munitions. Dans la suivante du 6 juin, il le félicite de ses succès.

94. Six lettres de Monsieur de Wignacourt, grand maître de l'Ordre de Malte. - P. 177 à 185. Première. Copie de sa lettre au Roi, pour le remercier de son élévation.

95. Deuxième. A Malte, le 3 septembre 1690. Il apprend à Mons. le Maréchal son neveu, son élection et lui recommande Mons. de Fontenilles.

96. Troisième. Lettre sans date, par laquelle il lui mande qu'il a reçu une notification pénible, ayant été obligé par le Roi de donner à Mons. de Bethomas la commanderie de Feuillées.

97. Quatrième. A Malthe, mars 1691. Il lui recommande le sieur de Vuibrac et toute sa famille.

98. Cinquième. A Malthe, le 2 mars 1694. Son chagrin sur la mort de madame de Lavardin.

99. Sixième. A Malthe, 25 septembre 1694. Il lui recommande le commandeur Dom George de Poderfile.

100 à 108. Quatre lettres de Mons. le Prince de Monaco. - P. 187 à 194. Lettres toutes de compliments.

109-110. Deux lettres de Mons. et madame la Duchesse de Beauvil- P. 196 à 205. L'une est pour madame la Maréchale, et

liers.

l'autre pour le Maréchal; toutes deux affectueuses et de compliments.

111-112. Deux lettres de Mons. le Duc de Beauvilliers à Mons, le Maréchal. Au sujet du voyage des Princes.

113-114. Trois lettres de Mons. de Coigny. - P. 206 à 209. A Carentan, le 26 décembre. Il mande qu'il met ordre à ses affai

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res pour pouvoir servir sous lui en Catalogne. Dans la suivante, datée du 28 décembre, il le prie de le proposer pour la lieutenance de Roi, en Bresse.

115. Au camp de Servia, le 30 juin 1697. Il prend part à sa maladie; il le tranquillise sur les discours que tiennent ses ennemis. Il lui parle ensuite des avis qu'il a donnés à Mons. le comte d'Agen, qui lui a promis de les suivre.

116. Lettre de Mons. de Laparra. P. 210 à 214. A Paris, 14 juillet 1694. Il lui fait le détail de la façon dont il s'est acquitté de sa commission auprès du Roi, à l'occasion de la prise de Gi

ronne.

117-120. Trois lettres de Mons. de Villadarias et Mons. le marquis Castanaga. P. 215 à 220. Du camp de la Roque, 14 juin 1694. Lettres entièrement de compliments: quelques mots sur l'échange des prisonniers.

121. Lettre de Mons. Dumartin.

· P. 223 à 224. A Roses, le 15

avril 1695. Il lui mande qu'il lui envoie les avis qu'il a reçus de Cadix.

122. Lettres de Mons. le marquis de Louvois.

(Ces deux lettres

manquoient au recueil.) A Versailles, 18 juillet 1690. Au sujet de Mons. de Longlerie, qui en avoit très-mal usé avec Mons. le Maréchal. La suivante étoit sur le même sujet.

123. Lettre du Grand Duc de Toscane. - P. 225 à 226. A Florence,

15 septembre 1695. Il lui mande qu'il fera ses efforts pour lui rendre le service qu'il lui demande, au sujet de la nomination de Mons. de Châlons.

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