Contes de La FontaineGarnier frères, 1880 - 589 pages |
From inside the book
Results 1-5 of 31
Page v
... doute , comme faisaient aussi les auteurs des Romulus , plus d'un trait s'adaptant aux mœurs et aux idées de l'époque . Un autre intermédiaire entre l'Orient et l'Occident , ce furent les livres juifs , non plus cette fois les livres ...
... doute , comme faisaient aussi les auteurs des Romulus , plus d'un trait s'adaptant aux mœurs et aux idées de l'époque . Un autre intermédiaire entre l'Orient et l'Occident , ce furent les livres juifs , non plus cette fois les livres ...
Page vii
... anel . 2. Des trois boçus , par Durand . 5. « Mettez - le à la porte , puisque c'est un propre à rien . » ( Des deux bordeors ribauz . ) conte payait leur hôte , sans doute quand celui - ORIGINES DES CONTES VII Les deux amis.
... anel . 2. Des trois boçus , par Durand . 5. « Mettez - le à la porte , puisque c'est un propre à rien . » ( Des deux bordeors ribauz . ) conte payait leur hôte , sans doute quand celui - ORIGINES DES CONTES VII Les deux amis.
Page viii
... doute que furent contés tous ces fabliaux où le prêtre et le moine sont livrés à une audacieuse dérision . Car , si La Fontaine éprouve à plusieurs reprises le besoin de s'excuser de mettre trop souvent en scène les religieux et les ...
... doute que furent contés tous ces fabliaux où le prêtre et le moine sont livrés à une audacieuse dérision . Car , si La Fontaine éprouve à plusieurs reprises le besoin de s'excuser de mettre trop souvent en scène les religieux et les ...
Page ix
... doute qu'ils n'aient ajouté au fonds antique bien des inventions de leur propre cru : accidents de la vie réelle , scandales et médisances , furent exploités par des observateurs caustiques . Leur verve pendant près de deux siècles ne ...
... doute qu'ils n'aient ajouté au fonds antique bien des inventions de leur propre cru : accidents de la vie réelle , scandales et médisances , furent exploités par des observateurs caustiques . Leur verve pendant près de deux siècles ne ...
Page xxvii
... doute , identiques , mais ils ont un air de famille assez frappant pour qu'on n'ait pas de répugnance à leur supposer un père commun . Certaines formes de pensée et de langage qu'on trouve de part et d'autre rendent la présomption plus ...
... doute , identiques , mais ils ont un air de famille assez frappant pour qu'on n'ait pas de répugnance à leur supposer un père commun . Certaines formes de pensée et de langage qu'on trouve de part et d'autre rendent la présomption plus ...
Contents
421 | |
425 | |
435 | |
445 | |
449 | |
454 | |
461 | |
466 | |
158 | |
185 | |
196 | |
206 | |
225 | |
245 | |
252 | |
269 | |
280 | |
291 | |
302 | |
303 | |
304 | |
305 | |
307 | |
327 | |
332 | |
346 | |
352 | |
360 | |
374 | |
387 | |
395 | |
403 | |
409 | |
417 | |
471 | |
478 | |
489 | |
497 | |
504 | |
523 | |
526 | |
528 | |
529 | |
532 | |
534 | |
541 | |
546 | |
547 | |
550 | |
554 | |
556 | |
558 | |
560 | |
562 | |
571 | |
575 | |
578 | |
586 | |
588 | |
Other editions - View all
Common terms and phrases
affaire Alaciel alloit amant amour Argie Arioste assez auroit Avint avoit beau beauté belle Boccace bruit C'étoit Caliste Cent Nouvelles nouvelles charmant chien Chloris chose Clément Marot cocu cocuage cœur compère conte coup dame Damon Décaméron diable Dieu dieux dire disoit dit-il donne doux Edit époux Éraste étoient étoit étrange affaire eût Expression proverbiale fabliau faisoit feint femme fille Fontaine François Ier François Rabelais fût galant Gascon gens Gygès Hispal homme hymen j'ai j'en jeune Joconde jour l'abbesse l'amant l'amour l'Arioste l'autre l'édition de 1685 l'époux l'infante laisse Lamporecchio logis m'en madame maint mandragore Manuscrit de Conrart mari Marot Mazet Messire mieux Molière monsieur n'avoit n'en Nicia nonnains NOUVELLE TIRÉE nuit passer pauvre peine père plaisir pouvoit prit qu'un Rabelais raison Renaud reprit rien s'en sage saint sais secret seigneur seroit seulement sire sœur sorte soupirs souvent tour trouver valet veux vint voilà voudrois vouloit yeux
Popular passages
Page 500 - Même instant, même sort à leur fin les entraîne ; Baucis devient tilleul, Philémon devient chêne. On les va voir encore, afin de mériter Les douceurs qu'en hymen Amour leur fit goûter.
Page 443 - L'amant trouva bientôt encore à qui parler. LIVRE CINQUIÈME. I. — LA. CLOCHETTE Oh! combien l'homme est inconstant, divers, Foible, léger, tenant mal sa parole! J'avois juré, même en assez beaux vers, De renoncer à tout conte frivole : Et quand juré? c'est ce qui me confond; Depuis deux jours j'ai fait cette promesse.
Page 59 - Quintilien, encore l'auteur n'auroit-il pas satisfait au principal point, qui est d'attacher le lecteur, de le réjouir, d'attirer malgré lui son attention, de lui plaire enfin...
Page 432 - Qui pense finement et s'exprime avec grâce Fait tout passer, car tout passe : Je l'ai cent fois éprouvé, Quand le mot est bien trouvé, Le sexe, en sa faveur, à la chose pardonne : Ce n'est plus elle alors, c'est elle encor pourtant; Vous ne faites rougir personne; Et tout le monde vous entend.
Page 469 - S'il est un conte usé, commun et rebattu, C'est celui qu'en ces vers j'accommode à ma guise. Et pourquoi donc le choisis-tu ? Qui t'engage à cette entreprise? N'at-elle point déjà produit assez d'écrits? Quelle grâce aura ta matrone Au prix de celle de Pétrone? Comment la rendras-tu nouvelle à nos esprits?
Page 272 - De l'enfançon, qui peu de temps après Devint malade. On sait que d'ordinaire A ses enfants mère ne sait que faire Pour leur montrer l'amour qu'elle a pour eux : Zèle souvent aux enfants dangereux. Celle-ci, tendre et fort passionnée, Autour du sien es"t toute la journée, Lui demandant ce qu'il veut, ce qu'il a; S'il mangerait volontiers de cela; Si ce jouet, enfin si cette chose Est à son gré.
Page 109 - II est bien vrai que ce divin esprit Plus que pas un me donne de pratique : Mais, comme il faut manger de plus d'un pain, Je puise encore en un vieux magasin; Vieux...
Page 6 - Cicéron fait consister la dernière à dire ce qu'il est à propos qu'on dise eu égard au lieu, au temps, et aux personnes qu'on entretient. Ce principe une fois posé, ce n'est pas une faute de jugement que d'entretenir les gens d'aujourd'hui de contes un peu libres.
Page 268 - Chacun le dit , et chacun s'en tint là : Car de prêter à moins que sur bon gage, Point de nouvelle : on oublia les dons, Et le mérite , et les belles raisons De Fédéric, et sa première vie. Le protestant1 de madame Clitie N'eut du crédit qu'autant qu'il eut du fonds.
Page xlvii - Ce sont choses indifférentes; Je n'y vois rien de périlleux. Les mères, les maris, me prendront aux cheveux Pour dix ou douze contes bleus! Voyez un peu la belle affaire ! Ce que je n'ai pas fait, mon livre iroit le faire!