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cherche d'une mine d'étain au même lieu. XI. 64. 342. Voyez l'article précédent. PUYMAURIN. (M.) a tiré parti de l'acide fluorique pour graver sur le verre. V. 28. 333. Ses observations sur les mœurs et les habitudes du peuple pasteur qui habite les hautes montagnes des Pyrénées. VII. 37. 40. PYCNITE. Sur la réunion de la avec la topaze. XXIII. 133. 39 et suiv. Analyse de ces deux pierres, par MM. Vauquelin, Klaproth et Bucholz. 42. Observations sur la division mécanique de la 45, 46. Figure. Ibid. Planche 1. Motifs qui déterminent M. Haüy à réunir la à la topaze. 47, 48. Analyse de la d'Altenberg, par M. Klaproth. XXIII. 137. 383. XXVII. 162. 461.

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PYRÉNÉES. La forme des montagnes des risée par le nom de pics, qu'elles portent. VII. 40. 317.

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Observations sur les extraites d'une lettre de M. Ramond, sur deux voyages au Mont-Perdu, sommet le plus élevé des VII. 40. 35 et suiv. L'abondance des matières calcaires est un des caractères distinctifs des 35. Corps marins à la crête des 37. Le reste de la chaîne toute entière en est dépourvu. Ibid. Observations sur les extraites d'un mémoire de M. Picot- Lapeyrouse, intitulé: Voyage au MontPerdu, et observations sur la nature des crêtes les plus élevées des -VII. 40. 39 et suiv. Epoques et circonstances des premières observations faites dans les 40. Erreur sur l'évaluation du maximum de la hauteur des Ibid. Désignation des savans qui se sont occupés des 40 et suiv. Observations géologiques. 41 et suiv. Cirques naturels, conjectures à leur sujet. 41. Opinion où étoient les géologues sur l'origine primitive des masses calcaires des plus hauts sommets des ·43, 44. Alternation et mélange des bancs calcaires avec les roches primitives, dans toute la chaîne des 51 et suiv. Disposition de diverses substances pierreuses en noeuds et en rognons sur plusieurs points de cette chaîne. 52. Il demeure acquis que le centre et les plus hautes cimes des sont de formation secondaire. 61. Les crêtes primordiales des ont changé de position. Ibid. Feuillets verticaux de bancs calcaires, donnant naissance aux murailles qui rendent souvent les crêtes inaccessibles.

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61, 62. Conséquences résultant de ce mémoire. 63, 64, 65. Observations botaniques. 65, 66. Voyez MONTPERDU.

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Observations sur les extraites d'un mémoire de M. Ramond, intitulé: Voyage au sommet du Mont-Perdu. XIV. 83. 321 et suiv. Principaux résultats des observations faites dans ce voyage. 341 et suiv. La masse. des Hautes est généralement plus élevée que celle des Hautes-Alpes. 341. Dans toute la partie méridionale de la chaîne coquillère, les escarpemens sont beaucoup plus brusques au midi qu'au nord. 343. Les montagnes s'abaissent plus promptement de ce côté, les vallées sont plus profondes, mais en même temps, le sol de cette partie de l'Espagne est plus élevé que ne l'est la partie correspondante du sol de la France. Ibid. Tou tes ces montagnes sont secondaires. Ibid. Limites des deux formations. 343, 344. Désordres dans les couches. 347. Conjectures sur les circonstances de leur accumulation. 347 et suiv. Voyez MONT-PERDU.

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Observations sur les, extraites de la relation d'un voyage minéralogique fait au Pic-du-Midi de Bigorre, par M. Duhamel, fils. VIII. 46. 747 et suiv. Roches bizarrement contournées, au milieu de plans réguliers, très fréquentes dans les 753. Le Pic-du-Midi de Bigorre a passé long-temps pour la montagne la plus éle vée des 757. Montagnes des - plus élevées que lui. Ibid. Coup-d'œil sur la chaîne des dont ce pic fait partie. 758. Résumé des principaux faits contenus dans ce mémoire. 761, 762. Voyez PIC-DU-MIDI. Observations sur les extraites d'un mémoire de M. Ramond, intitulé : Mémoire sur la structure des montagnes moyennes et inférieures de la vallée de l'Adour. XII. 68. 85 et suiv. Nouveaux faits qui confirment les observations précédemment faites par M. Ramond, dans les 86. Comparaison sur l'action et les effets des courans dans les Alpes et dans les 87, 88. Co les montagnes secondaires des que ont de particulier, c'est la situation presque constamment verticale de leurs bancs. 88. Aucune chaîne connue ne présente autant de couches déviées à ce point de leur position origi naire. Ibid. Confirmation des conjectures de MM. Deluc et Desaussure, sur les causes de la forme actuelle des montagnes. Ibid. Sources thermales des ➡

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91, 92. Elles doivent leur naissance aux pyrites. Ibid. Fréquence des tremblemens de terre dans les 95, 96. Ces commotions sont bien plus fréquentes dans les montagnes secondaires que dans les primitives. 96, 97. Ob servations sur les tremblemens de terre du sol primitif. 97. Conjectures sur leurs causes. Ibid. Les lois auxquelles les accidens de ce genre sont soumis, confirment les inductions déjà tirées de l'observation directe des montagnes qui les éprouvent. Ibid.

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Observations sur les extraites du rapport fait M. Cordier, sur son voyage à la Maladetta , par la vallée de Bagnères-de-Luchon, dans les XVI. 94. 249 et suiv. Il est remarquable que les deux plus hautes cimes des -ne font point partie du faîte élevé et continu qui sépare les eaux versantes. 251. Les plaines par lesquelles on arrive au pied des du côté du nord sont formées en grande partie d'une immense quantité de roches roulées. 251, 252. Premiers abords de la chaîne. 252, 253. Résumé des observations faites durant ce voyage, et leur application à la constitution géologique des 280 et suiv. Les offrent une protubérance coupée par une infinité de sillons. 280. Verticalité des couches. Ibid. Forme et direction de la protubérance et des couches. Ibid. Cavités. Ibid. Conjectures sur les causes du désordre qu'on observe dans la position des roches. Ibid. Leur gisement contredit l'opinion de M. de Humboldt. 281. Voyez ce nom. Observations sur les débris roulés qui recouvrent le pied des Ibid. Comparaison de ce fait avec celui analogue qui s'observe dans les Alpes. 281, 282. Voyez MALADETTA.

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Mémoire sur l'ophite des , par M. Palassou. IX. 49. 31 et suiv. Opinion de M. Borda, sur l'existence de matières volcaniques dans les 43. Opinions contraires de plusieurs naturalistes. 44. Les roches confondues dans ce mémoire, sous le nom d'ophite sont, suivant M. Ramond, des porphiroïdes à base de cornéenne et des roches actinoteuses. XII. 68. 86.

Description et analyse d'un minérai de fer compact, des XXVIII. 168. 452, 457. Riches mines de cuivre dans les I. 1. 67. Mines de plomb. 71. Richesse en argent des minérais de plomb des 75. Mine de cobalt. 79. V. 29. 397. Tourbières. I. 2. 60.

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PYRÉNÉES. (Département des Basses-) Indices de houille dans le XII. 71. 404.

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.71.404.

PYRÉNÉES ORIENTALES. (Département des) Indices de houille dans le — XII. 71. 404.

PYRITES. Les

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annoncent l'approche des filons. IV. 23. 80. Nouvelle méthode de faire de l'alun avec des et de l'argile. XVI. 96. 465 et suiv. Emploi des dans la fabrication du vitriol à Breitenbrunn, en Saxe. 465. Découverte de la magnétique dans le département de la Loire inférieure. XVII.

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9.

1.

97.78, 79. XXI. 125. 359, 360, 362. Découverte de cette espèce de dans le grünstein du département du Puy-de-Dôme. 80. - du département de la Manche. II. 7. 45. Voyez FER sulfuré, PYRITES martiales. Arsenicale. Analyse de la de la Farenque. II. Analyse de la d'Enghien. 3. Lieux où l'on trouve cette substance. III. 14. 58. Le concessionnaire prétend qu'elle contient du cobalt. Ibid. Essai de la de Vezzani, en Corse. II. 9. 34. Les sont très abondantes dans la province de Cornouailles. I. 3. 101. Aurifère. La appartient généralement au cube strié ou au dodécaèdre qui en dérive. XIII. 75. 174. de la montagne du Roissy, ( Mont-Blanc.) I. 5. 39. Cuivreuse. à Ouville. II. dans le pays de Deux-Ponts. 11. 44. La forme la plus grande partie du minérai de cuivre de l'île d'Anglesey. III. 16. 70. Procédé qu'on emploie dans cette ile, pour en extraire le soufre. 71. Traitement de la à Chessy, (Rhône.) XX. 118. 245 et suiv. Voyez CUIVRE pyri teux, CUIVRE sulfuré, SULFURE de cuivre.

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Martiales. Observations cristallographiques sur les -XIII. 73. 161 et suiv. 170. Les ont deux formes primitives qui les distinguent en deux espèces. 170. Il est probable que la cause de cette différence résulte d'une différente proportion de ses parties constituantes. Ibid. Variétés. 171 et suiv. Causes des stries des cubes à faces striées. 173. Les aurifères appartiennent généralement au cube strié ou au dodécaèdre qui en dérive. 174. à couches concentriques. II. 8. 9. -dans des couches de bois bitumineux. XXVII. 158. 98. De l'action de la chaleur sur la XXI. 121.6,7. de Lehrbrunnen. II. 12. 51. Voyez FER sulfuré, PYRITES. PYRITURGIE, ou l'art de purifier les combustibles ; une

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des divisions du cours de minéralurgie fait à l'école des mines, par M. Hassenfratz. IX. 51. 207.

PYRMONT. Découverte de trois nouvelles sources d'eaux minérales à II. 12. 78.

PYROLIGNATE DE BARYTE. Décomposition du sel marin par le I. 3. 63.

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PYROLIGNATE DE PLOMB. Décomposition du sel marin par le, indiquée par M. Guyton de Morveau. I. 3. 46. Le décompose également le sulfate de soude. 63. PYROMÈTRE. Rapport sur le de Wedgwood, par M. Miché. XIV. 79. 42 et suiv. Expériences qui prouvent le peu d'exactitude de cet instrument. 43 et suiv. Sa description. 44. Tableau des expériences. 49. Mémoire sur les thermomètres en terres cuites, appelés en France -, par M. Fourmy. XIV. 84. 423 et suiv. Extrait d'un mémoire de M. Wedgwood, sur les invention. 425 et suiv. Examen des principes sur lesquels elle est fondée. 426 et suiv. Difficulté d'une préparation uniforme des solides argileux, appelés pièces à thermomètres. 427. Causes d'inexactitude dans l'usage du 428 et suiv. L'alumine la plus simple est toujours un mixte. 428. Raisons pour lesquelles la retraite du mixte n'est pas un effet constant de l'intensité du calorique. 429. Il n'existe pas de rapports nécessaires dans la manière de procéder de l'une et de l'autre. 430 et suiv. Indications fausses offertes par les de M. Wedgwood. 432. Malgré les défauts de cet instrument, on peut encore en tirer de l'utilité dans les fabriques. 433 et suiv. Ses imperfections sont susceptibles d'être diminuées. 434. Recherches à faire pour y parvenir. 436. Second mémoire de M. Fourmy sur les momètres en terres cuites. XXVIII. 168. 427 et suiv. Expériences nouvelles sur la retraite des argiles. 428 et suiv. Manière dont il a été procédé. 429, 430. Détail des expériences. 431 et suiv. Observations et conclusions. 438 et suiv. Il résulte de ces expériences que les différences qu'on observe dans le retrait des argiles exposées, à différentes reprises, à des températures égales, proviennent de la lenteur ou de la rapidité de leur cuisson. 439. Les grandes anomalies n'ont lieu qu'à des températures élevées. 440. La retraite des argiles ne peut indiquer rigoureusement les degrés de la température qui a concouru à la produire. 441. Expériences qui res

ou ther

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