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TABLE

DES

ARTICLES.

ART. I.

ROSALINDE, Piéce Dra

matique de Mr. Jean Lock

MAN, &c. précedée d'un Difcours fur l'origine & les progrès de l'Opera de Oratorio, fur la Poëtie Lyrique & fur la Mufique. pag. I.

II. Ebauche d'un Catalogue Hiftorique & Chronologique des Operas Anglois, & des autres Piéces Angloifes qui ont du rapport avec Ï'Opera.

75,

III, FRANÇOIS BACON; Nouvelle Edition de fes Oeuvres, dans laquelle on a inferé plufieurs Piéces qui n'ont jamais été imprimées auparavant; avec une nouvelle Vie de l'Auteur, par Mr. M A L

LET,

128.

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ART. IV. Mr. DE MISSY; fes Reflexions fur l'Onction dans les Sermons telles qu'elles ont été lues dans une Societé de quelques Théologiens.

́ ́. 176.

V. Effai fur l'Utilité de la Littératu

LI

re Orientale.

VI. Nouvelles Littéraires,

186.

TA

210.

TOIR

VES

AD

LES

ET

BIBLIOTHEQUE

BRITANNIQUE,

O U

HISTOIRE DES OUVRAGES

DE'S SAVANS DE LA

GRANDE BRETAGNE.

ΜΑΙ

POUR LES MOIS D'AVRIL, MAI ET JUIN. MDCCXL.

ARTICLE PREMIER..

T

ROSALINDA: A Mufical Drama, as it is performed at Hickford's Great Room in Brewer's Street; By Mr. LOCKMAN. Set to Mufic by Mr. John Chriftopher SMITH. To which is prefixed, An Enquiry into the Rife and Progrefs of Operas and Oratorios, with foTome XV. Part. I.

A

me

me Reflections on Lyric Poetry and Mufic: &c.

C'est-à-dire:

ROSALINDE, Piéce Dramatique de Mr. [Jean] LOCKMAN, mife en Mufique par Mr. Jean-Christophle SMITH; telle qu'elle fe représente dans la Salle de Hickford: & précedée d'un DISCOURS fur l'Origine & fur les Progrès de l'Opéra & de l'Oratorio, fur la Poéfie Lyrique [ou chantante] & fur la Mufique. A Londres, Imprimée pour l'Auteur: & fe vend chez C. Corbett, vis-à-vis l'Eglife de St. Dunftan dans Fleet-Street &c. [ Dédiée dans cette deuxième Edition à Madame la Ducheffe de Newcastle.] MDCCXL. In quarto. Pages XXIV, pour le Dif cours préliminaire: Et pages 15 [marquées 19.] pour la Piéce même.

OUS ne pouvons, ni parler de tou

NOU tes les nouvelles Piéces Dramati

ques qui fe publient en Angleterre, ni nous croire obligez de garder inviolablement le filence fur cette partie de la Littérature Angloife. D'ailleurs il y a

ici quelque chofe de plus qu'une fimple Piéce de Théâtre : & s'il ne nous convenoit pas de donner un Article à la RoSALINDE de Mr. LOCK MAN, au moins nous conviendroit-il de faire mention du DISCOURS dont elle eft précedée.

On peut diftinguer dans ce Difcours, outre ce qui concerne en propre le Poème de l'Auteur, trois fortes de Remarques moins particulieres, qui font d'une Préface une Differtation Hiftorique & Critique, dont les matières ne sçauroient être abfolument indifférentes qu'à un trèspetit nombre de Lecteurs, s'il y en a pourtant à qui elles le foient. Il est vrai que Mr. Lockman ne prétend pas avoir écrit pour les Sçavans; mais il ne laisse pas de dire des chofes dont les Sçavans même ne feront pas fâchez qu'on leur rendé compte.

J'ai déja infinué, que les diverfes Remarques qui compofent fa Differtation, pouvoient toutes fe ranger fous trois chefs principaux.

Celles qui intéreffent le plus directement fon dessein, & pour lefquelles furtout il paroît avoir pris la plume, apartiennent à l'Hiftoire & à la Critique de l'Opéra des Anglois, & de leur Oratorio, qui eft une espece d'Opéra.

Mais celles-là en ont infenfiblement amené d'autres qui regardent l'Opéra en général.

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