(514 p.)Pourrat Frères, 1838 |
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... sentiment et de cette logique naturelle qui se développe avec l'âge dans les hommes les plus grossiers . On a vu des effets étonnans de la nature , des moissons et des stérilités , des jours sereins et des tempêtes , des bienfaits et ...
... sentiment et de cette logique naturelle qui se développe avec l'âge dans les hommes les plus grossiers . On a vu des effets étonnans de la nature , des moissons et des stérilités , des jours sereins et des tempêtes , des bienfaits et ...
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... sentiment par toute la terre , c'est qu'il n'y << a qu'un seul Dieu , qui est le père de tous , etc. » Que deviendront après cet aveu formel et après les discours immortels des Cicéron , des Antonin , des Épictète ; que deviendront ...
... sentiment par toute la terre , c'est qu'il n'y << a qu'un seul Dieu , qui est le père de tous , etc. » Que deviendront après cet aveu formel et après les discours immortels des Cicéron , des Antonin , des Épictète ; que deviendront ...
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... sentiment ? Mais que vous teniez ces deux proprié- tés du mouvement seul de la matière , c'est ce dont il est impossible de donner une preuve ; et si on ne peut le prouver , pourquoi l'affirmer ? pourquoi dire tout haut : Je sais ...
... sentiment ? Mais que vous teniez ces deux proprié- tés du mouvement seul de la matière , c'est ce dont il est impossible de donner une preuve ; et si on ne peut le prouver , pourquoi l'affirmer ? pourquoi dire tout haut : Je sais ...
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... sentiment ne consulte personne .... « Et le roi serait là ... je verrais là le feu ... a . Messieurs , la vérité mise une fois en jeu , • Doit - il nous importer de plaire ou de déplaire ? ... » C'est bien dit ; mais pourquoi cette ...
... sentiment ne consulte personne .... « Et le roi serait là ... je verrais là le feu ... a . Messieurs , la vérité mise une fois en jeu , • Doit - il nous importer de plaire ou de déplaire ? ... » C'est bien dit ; mais pourquoi cette ...
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... sentiment , je vous laisse les vôtres , 1α En demandant pour moi ce que j'accorde aux autres ... Mon fils , nous vous avons défendu de Et pour vous convertir , je cours vous dénoncer .. penser ; Heureux ! ô trop heureux qui , loin des ...
... sentiment , je vous laisse les vôtres , 1α En demandant pour moi ce que j'accorde aux autres ... Mon fils , nous vous avons défendu de Et pour vous convertir , je cours vous dénoncer .. penser ; Heureux ! ô trop heureux qui , loin des ...
Contents
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Common terms and phrases
acte anguilles apôtres assemblées assez avaient beau c'était CALCHAS cent César chant chap chose chrétiens Cicéron ciel citoyen civile déja diable DICTIONN Dieu dieux Dioclétien dire dispute divine doit donations DONDINDAC donner ecclésias ecclésiastiques église Égypte Égyptiens empereurs enfans enfer Énoch Épictète esclaves esprit esséniens états Évangile évêque Ézéchiel fable femme fesait fille fluxus gens grace Grecs guerre Hésiode Homère homme humain j'ai jamais Jérusalem jésuite Jésus Jésus-Christ jours juge Juifs Kehl l'Arioste l'article l'auteur l'église l'empereur l'empire l'esprit langue latin Léon IX livres LOGOMACOS lois long-temps Lucain magistrat maître manger ment mille Milton ministère ecclésiastique monde mort n'en nation nature Nouv pape parler Paul pensée père personne peuple pharisiens PHILOS philosophes poëme poëte poison premier prétend prêtre prince qu'un raison religion rien rois Romains Rome royaume s'il sadducéens saint Seigneur serait serpens seul société souverain Spinosa temple terre Tertullien tion trouve vérité Virgile
Popular passages
Page 366 - Léandre conduit par l'amour, En nageant , disait aux orages : Laissez-moi gagner les rivages,
Page 424 - L'hymen n'est point toujours entouré de flambeaux. Aux portes de Trézène, et parmi ces tombeaux, Des princes de ma race antiques sépultures, Est un temple sacré, formidable aux parjures. C'est là que les mortels n'osent jurer en vain. Le perfide y reçoit un châtiment soudain; Et craignant d'y trouver la mort inévitable, Le mensonge n'a point de frein plus redoutable. Là...
Page 386 - Tous les jours à la cour un sot de qualité Peut juger de travers avec impunité ; A Malherbe, à Racan préférer Théophile Et le clinquant du Tasse à tout l'or de Virgile.
Page 93 - En bulles de savon sont épars dans les airs ; Et le souffle des vents y promène sans cesse De climats en climats le temple et la déesse. Elle fuit et revient. Elle place un mortel Hier sur un bûcher, demain sur un autel.
Page 366 - Plus ne suis ce que j'ai été Et ne le saurais jamais être; Mon beau printemps et mon été Ont fait le saut par la fenêtre. Amour, tu as été mon maître, Je t'ai servi sur tous les dieux. Oh! si je pouvais deux fois naître, Comme je te servirais mieux!
Page 88 - Mais de tous les mortels, grâce aux dévotes âmes, Nul n'est si bien soigné qu'un directeur de femmes. Quelque léger dégoût vient-il le travailler; Une froide vapeur le fait-elle bâiller? Un escadron coiffé d'abord court à son aide : L'une chauffe un bouillon , l'autre apprête un remède; Chez lui sirops exquis, ratafias vantés, Confitures sur-tout, volent de tous côtés : Car de tous mets sucrés, secs, en...
Page 338 - Et si ton œil te fait achoppement, arrache ton œil; il vaut mieux entrer borgne dans le royaume de Dieu que d'être jeté avec tes deux yeux dans la gehenna du feu, où le ver ne meurt point, et où le feu ne s'éteint point.
Page 391 - Che poi ch' usci da' be' vostri occbi il telo , « Che'l cor mi fisse, ogni or perdendo vegno. « Ne di tanta jattura mi querelo , « Pur che non cresca, ma stia a questo segno; « Ch'io dubito, se più si va scemando, « Di venir tal, quai ho descritto Orlando.
Page 393 - Gli è come una gran selva, ove la via conviene a forza, a chi vi va, fallire: chi su, chi giù, chi qua, chi là travia. Per concludere in somma, io vi vo' dire: a chi in amor s'invecchia, oltr'ogni pena, si convengono i ceppi e la catena.
Page 451 - Ce qu'on appelle esprit est tantôt une comparaison nouvelle, tantôt une allusion fine ; ici l'abus d'un mot qu'on présente dans un sens , et qu'on laisse entendre dans un autre; là un rapport délicat entre deux idées peu communes ; c'est une métaphore singulière , c'est une recherche de ce qu'un objet ne présente pas d'abord , mais de ce qui est en effet dans lui; c'est l'art ou de réunir deux choses éloignées , ou de diviser deux choses...