Nouvelle biographie générale depuis les temps les plus reculés jusqu'à nos jours: avec les renseignements bibliographiques et l'indication des sources à consulter, Volume 18

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Hoefer (M., Jean Chrétien Ferdinand)
Firmin Didot frères, fils et cie, 1857 - Bio-bibliography

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Page 589 - Ici repose, Livré aux vers, Le corps de Benjamin Franklin, imprimeur; Comme la couverture d'un vieux livre, Dont les feuillets sont arrachés, Et la dorure et le titre effacés.
Page 273 - Prouvons à l'Europe que si le génie de Napoléon peut donner de l'éclat à la France, sa présence n'est pas nécessaire pour repousser les ennemis.
Page 819 - ... quelquefois heureux à peindre les grandes passions, toujours occupé de petites ; qui sans cesse recommandât l'union et l'égalité entre les gens de lettres, et qui, ambitionnant la souveraineté du Parnasse, ne souffrît pas plus que le Turc qu'aucun de ses frères partageât son trône...
Page 261 - Ne voit-on pas que c'est laisser un dernier espoir à la malveillance et à la cupidité? Avilissons l'or et l'argent; traînons dans la boue ces dieux de la monarchie, si nous voulons faire adorer les dieux de la république, et établir le culte des vertus austères de la liberté.
Page 125 - Vous allez bien vite, repris-je; il faut ne donner que la moitié de son esprit aux choses de cette espèce que l'on croit, et en réserver une autre moitié libre , où le contraire puisse être admis s'il en est besoin.
Page 263 - Il est étonnant, s'écria Robespierre, que Fouché implore aujourd'hui le secours de la convention contre les jacobins. Craint-il les yeux et les oreilles du peuple? craint-il que sa triste figure ne révèle le crime?
Page 317 - ... plus adroit. Mais quelque artifice qu'il pût pratiquer, je ne fus pas longtemps sans reconnaître sa mauvaise foi ; car il ne pouvait s'empêcher de continuer ses dépenses excessives, de fortifier des places, d'orner des palais, de former des cabales, et de mettre sous le nom de ses amis des charges importantes qu'il leur achetait à mes dépens, dans l'espoir de se rendre bientôt l'arbitre souverain de l'État.
Page 111 - C'est alors que la France abjurant de trop grandes erreurs, donna les plus utiles leçons au genre humain ; elle sembla reconnaître devant lui que toutes les pensées irréligieuses sont des pensées impolitiques, et que tout attentat contre le christianisme est un attentat contre la société. « Le retour de l'ancien culte prépara bientôt celui d'un gouvernement plus naturel aux grands états et plus conforme aux habitudes de la France.
Page 261 - Nous n'avons qu'une manière de célébrer la victoire : nous envoyons ce soir deux cent treize rebelles sous le feu de la foudre.
Page 7 - Flotte, adresse au pape, de la part du roi, une lettre commençant ainsi : « Philippe, par la grâce de Dieu, roi des Français, à Boniface, prétendu pape, peu ou point de salut. Que votre très-grande fatuité sache que nous ne sommes soumis à personne pour le temporel, etc.

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