Essais sur la Littérature Française, Volume 31815 |
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... naturelle de son élève , il semblait consulter ses goûts , que pourtant lui - même faisait naître . Par une conversation qui paraissait amenée sans des- sein , il provoquait sa curiosité , et donnait à une étude nécessaire l'air d'une ...
... naturelle de son élève , il semblait consulter ses goûts , que pourtant lui - même faisait naître . Par une conversation qui paraissait amenée sans des- sein , il provoquait sa curiosité , et donnait à une étude nécessaire l'air d'une ...
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... naturelle , » douce , fleurie , une politesse insinuante , mais >> noble et proportionnée à tous ceux qui lui par- » laient , une élocution facile , nette , agréable , » un air de clarté , de netteté , pour se faire en- » tendre dans ...
... naturelle , » douce , fleurie , une politesse insinuante , mais >> noble et proportionnée à tous ceux qui lui par- » laient , une élocution facile , nette , agréable , » un air de clarté , de netteté , pour se faire en- » tendre dans ...
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... naturelle , et à la sagesse de sa conduite , qu'à son savoir et à ses ouvrages . Dans la société , il ne cher- cha jamais à briller aux dépens des bienséances : il y portait de la gaîté , de la finesse et de l'esprit ; mais toujours ...
... naturelle , et à la sagesse de sa conduite , qu'à son savoir et à ses ouvrages . Dans la société , il ne cher- cha jamais à briller aux dépens des bienséances : il y portait de la gaîté , de la finesse et de l'esprit ; mais toujours ...
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... : Là commence un abîme , il le faut respecter ..... Son poëme sur la Loi naturelle , a été sévè rement critiqué , et méritait de l'être , non seule- ment pour les opinions qu'on y trouve , mais pour LITTÉRATURE FRANÇAISE . III.
... : Là commence un abîme , il le faut respecter ..... Son poëme sur la Loi naturelle , a été sévè rement critiqué , et méritait de l'être , non seule- ment pour les opinions qu'on y trouve , mais pour LITTÉRATURE FRANÇAISE . III.
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... naturelle de Rousseau , autant que la nécessité de se procurer un état , l'engagea souvent à quitter cette femme généreuse . En 1741 , il vint à Paris ; il y resta long - temps dans l'obscurité et dans la gêne . En 1743 , quelqu'un qui ...
... naturelle de Rousseau , autant que la nécessité de se procurer un état , l'engagea souvent à quitter cette femme généreuse . En 1741 , il vint à Paris ; il y resta long - temps dans l'obscurité et dans la gêne . En 1743 , quelqu'un qui ...
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Common terms and phrases
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Popular passages
Page 139 - Est-ce là le ton d'un enthousiaste ou d'un ambitieux sectaire? Quelle douceur, quelle pureté dans ses mœurs ! quelle grâce touchante dans ses instructions ! quelle élévation dans ses maximes ! quelle profonde sagesse dans ses discours ! quelle présence d'esprit, quelle finesse et quelle justesse dans ses réponses ! quel empire sur ses passions ! Où est l'homme, où est le sage qui sait agir, souffrir et mourir sans faiblesse et sans ostentation?
Page 114 - Voltaire n'écrira jamais une bonne histoire. Il est comme les moines, qui n'écrivent pas pour le sujet qu'ils traitent, mais pour la gloire de leur ordre. Voltaire écrit pour son couvent.
Page 139 - Je vous avoue aussi que la majesté des Écritures m'étonne, la sainteté de l'Évangile parle à mon cœur. Voyez les livres des philosophes avec toute leur pompe; qu'ils sont petits près de celui-là ! Se peut-il qu'un livre à la fois si sublime et si simple soit l'ouvrage des hommes ? Se peut-il que celui dont il fait l'histoire ne soit qu'un homme lui-même?
Page 140 - La mort de Socrate philosophant tranquillement avec ses amis est la plus douce qu'on puisse désirer; celle de Jésus expirant dans les tourments, injurié, raillé, maudit de tout un peuple, est la plus horrible qu'on puisse craindre. Socrate, pre...
Page 90 - Je le vois trop ; les soins qu'on prend de notre enfance Forment nos sentiments, nos mœurs, notre croyance. J'eusse été près du Gange esclave des faux dieux, Chrétienne dans Paris, musulmane en ces lieux.
Page 81 - ... avec ces vers : Je les reçus avec tendresse , Je vous les rends avec douleur , Comme un amant , dans sa jalouse ardeur, Rend le portrait de sa maîtresse.
Page 104 - Tels, au fond des forêts, précipitant leurs pas, Ces animaux hardis, nourris pour les combats, Fiers esclaves de l'homme, et nés pour le carnage, Pressent un sanglier, en raniment la rage ; Ignorant le danger, aveugles, furieux, Le cor excite au loin leur instinct belliqueux ; Les antres, les rochers, les monts en retentissent...
Page 82 - Vous qui me présentez, dans vos enclos "divers, Ce qui souvent manque à mes vers, Le mérite de l'art soumis à la nature, Empire de Pomone et de Flore sa sœur, Recevez votre possesseur! Qu'il soit, ainsi que vous, solitaire et tranquille!
Page 130 - Si le rétablissement des sciences et des arts a contribué à épurer les mœurs 1 Avertissement
Page 140 - Socrate eût dit ce que c'était que justice ; Léonidas était mort pour son pays avant que Socrate eût fait un devoir d'aimer la patrie ; Sparte était sobre avant que Socrate eût loué la sobriété ; avant qu'il eût défini la vertu, la Grèce abondait en hommes vertueux.