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„Les premiers mouvements de la vie spirituelle en font le commencement," dit l'auteur. Ici Mr. D. tombe dans une erreur commune à beaucoup de ses compatriotes, savoir de confondre le mot spirituel geistreich et aussi geistlich, avec le terme intellectuel geistig. C'est assurément de la vie de l'âme ou de l'esprit, et non de la vie des cloîtres qu'il a voulu parler. Les degrés de son perfectionnement en font les périodes," dit-il pour compléter sa pensée. Comme ce qui n'est pas clair n'est pas français, en vertu d'un axiome accepté par tout le monde, il faut attribuer l'obscurité de cette phrase à sa construction lourde, embarrassée et à des rapports forcés que la syntaxe désavoue. Plus loin nous apprenons que, dans la 4e période dite philosophique: „l'esprit humain se fraya ses propres chemins (pluriel un peu singulier!) éclairés par une saine critique." (Des chemins éclairés par la critique!) Enfin les massacres de la révolution étaient peu favorables aux Muses (on le conçoit sans peine) mais dans (pour de) nos jours les arts et les lettres ont pris un nouvel essor." "A l'égard (l'auteur a voulu dire: En tenant compte) de ces divers changements, il faudrait distinguer cinq périodes dans l'histoire littéraire des Français: 1. Période romantique. Troubadours et Trouvères; décadence de „leur" poésie nationale (Leur se rapporte-t-il aux Français ou aux Troubadours etc? et dans ce dernier cas, que signifie la poésie nationale des Troub?) 2. „Période imitative. Développement des belles-lettres à l'exemple des anciens, par l'étude et l'imitation de leurs oeuvres, naissance du sentiment critique." (A l'exemple des anciens dit tout autre chose que ce que l'auteur avait en vue; car la littérature en France ne s'est pas développée de la même manière que celle des Grecs ou des Latins, mais en prenant ceux-ci pour modèles et par la contemplation habituelle des chefs-d'oeuvre d'Athènes et de Rome, enfin en se montrant fidèles aux traditions de l'antiquité! La naissance' du sentiment critique n'exprime pas une idée claire; c'est naissance de la critique qu'il aurait fallu dire.)

Dans cette revue, où il faut chiffrer et numéroter tant de taches, je laisse, faute de place, des périodes entières dont la construction est défectueuse, la liaison des divers membres forcée et qui semblent parfois traduites mot pour mot de l'allemand. Je m'attache seulement à des termes impropres, à des locutions vicieuses, à des solécismes, à des barbarismes, témoignages éclatants de l'inexpérience de l'auteur. P. 2. Les peuples des Pictes et des Scotes" (pour: les Pictes et les Scots) se réjouirent de leurs chansons" (pour: accueillirent leurs chants avec joie). „,Les jongleurs étaient (pour: furent)

,,Ses

en France les avant-coureurs et plus tard les compagnons des Troubadours, et les premiers comédiens imparfaits (?)",,Les Franciscains s'établirent aux (au lieu de: dans les) Gaules." P. 3.,,Vain changement de la forme (pour: de forme).,,Poésies d'un contenu sans valeur (!?),,L'Académie insigne et supergaie des jeux floreau" (on demande le mot de l'énigme).,,Il-y-a, il-y-avait" (où Mr. D. a-t-il pêché cette orthographe?), Villion, poéte bourlesque" (pour: Villon, poëte burlesque) quoique Boileau de lui dise" (pour: dise de lui) ,,Aussi la naissance de l'art dramatique date etc" (pour: la naissance etc. date aussi de),,C'est ce qui les excita (pour: engagea) à former et de (pour: à) représenter etc." discours le représentent partout en homme de qualité (pour : font voir partout en lui l'homme etc.),,Gagner l'applaudissement" (pour: obtenir les suffrages), P. 5. Richelieu affirma (pour: affermit) le despotisme." P. 8. Malherbe eut le plus grand mérite pour la langue" (pour: rendit les plus grands services à etc.). P. 10.,,Montaigne acheva son cours d'école (pour ses études) à 13 ans." ,,La profondité (sic!) et loyauté de ses pensées." P. 11.,,L'encouragement de toute sorte de génie" (pour: les encouragements donnés à tous les genres de génie). P. 22. ,,Boileau distingua ses autres écrits avec sagacité, esprit et grâce" (pour: fit remarquer ses etc. par la sagacité etc. qu'il y déploya)." P. id.,,profondité". P. 26. ,,Corneille prit ses caractères de l'histoire des anciens" (pour: emprunta ses etc. à l'histoire ancienne). P. 29.,,Furent_accueillis de (pour: par de) grands applaudissements." P. 34.,,Molière persifla les moeurs d'un feu poétique ravissant et d'un fléau de ridicule." (Comprenne qui pourra ce galimathias double!)

Je crois en avoir dit assez pour prouver que Mr. D. est resté fort au-dessous de la tâche qu'il s'était imposée et qu'il pense de très-bonne foi avoir remplie consciencieusement. Sans mettre le moins du monde en doute les connaissances littéraires de l'auteur (bien que la hardiesse de certaines innovations, comme profondité pour profondeur, et quelques autres excentricités de même genre, puissent faire craindre qu'il n'ait pas approfondi la langue suffisamment) nous répétons, sans crainte d'être démenti par personne, que l'auteur du Précis aurait dû laisser à une plume plus exercée que la sienne, le soin de rédiger ce Manuel, ou du moins s'associer un collaborateur capable de rendre à son style la pureté et la correction qui lui font si complétement défaut.

Tubingue.

Prof. Peschier.

Programmen schau.

Zur Beurtheilung von Ludwig Uhlands Dichtungen; von A. Steudener. Programm des Gymn. zu Brandenburg. 1852.

Vorzugsweise in den „Gedichten“ Uhlands wird die deutsche und die epische · Natur nachgewiesen. Die erstere zeigt sich nicht nur in der Wahl der Stoffe, sondern auch in Färbung, Darstellung, einzelnen Zügen, z. B. der Linde, als Staffage der Liebeswelt. Bei dieser Gelegenheit wird näher auf die Bedeutung dieses Baumes in der deutschen Dichtung eingegangen. Das Epische wird dagegen zerlegt in die beiden Bestimmungen des Objectiven und des Thatsächlichen, und in dieser Getrenntheit der Momente auch außerhalb der epischen Lyrik in der Form des Dramatischen, Malerischen, ja selbst in der subjectiven Lyrik in der Form des inneren Factums gefunden. In Betreff des Dramatischen ist hingewiesen auf Lieder, wie Schäfers Sonntagslied,“ „Lied des Gärtners,“ „des Knaben Berglied" c. in welchen durch die Scenerie ein Charakter bedingt ist, und weiter auf „Normännischer Brauch." Das Malerische ist beispielsweise im Einzelnen nachgewiesen an der Romanze „Der Räuber." Die Form des inneren Factums ohne weitere Verbreiterung des poetischen Reflexes wird in Liedern gefunden, wie „An mein Vaterland,“ „Ernst der Zeit“ und den folgenden.

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Auch in das Innere des Dichters werden die besprochenen Eigenthümlichkeiten der Dichtung verfolgt. Da erweist sich die deutsche Natur als Treue, und das Epische, das zugleich Zurückhalten und Hingeben des Ich ist, als Bescheidenheit und Liebe. Aus dieser Liebe, mit der Uhland die Welt umfaßt, wird dann weiter die frische Tageshelle dieser ganzen Poesie abgeleitet, die einen lebhaften Gegensatz gegen Weltschmerz und Weltironie bildet, und endlich hieraus die ganz vereinzelte Erschei nung erklärt, daß, im Gegensatz zur früheren Minne und Volkspoesie, bei Uhland die Lerche einen sehr merklichen Vorzug vor der Nachtigall habe, was um so mehr zu verwundern sei, als die Linde, der stete Siß diefes Vögeleins in den genannten Dichtungen, auch bei Uhland in Ehren gehalten werde.

Hierauf hat der Verfasser die Arbeit abgebrochen, da er leider durch verschiedene äußere Umstände an der Vollendung seiner interessanten Schrift verhindert

ward.

g.

Daniel Caspar von Lohenstein. Seine Trauerspiele und seine Sprache. Von W. A. Passow. Progr. des Gymn. in Meiningen. 1851.

Aus dem Vorworte dieses namentlich für Literarhistoriker interessanten Programms erfahren wir, daß Passow in Verbindung mit Doctor Henneberger beabsichtigt, jede auf dem Gebiete des deutschen Drama an sich oder durch ihren forts wirkenden Einfluß bedeutende Erscheinung bis zur Zeit Lessings zum Gegenstand Archiv f. n. Sprachen. XI.

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literarhistorischer Darstellung zu machen, und an dieselbe stets den vollständigen und unveränderten Abdruck wenigstens eines ganzen Drama anzureihen, und daß dieser Aufsatz von Lohenstein als Probe dienen soll, in welcher Weise die Herz ausgeber die Aufgabe zu lösen gedenken. Wir haben diese Erklärung vorausges schickt, da wir uns über das Unternehmen gefreut hätten, wenn wir die bloße Ankündigung gelesen, derselben aber mit Sehnsucht entgegensehen, nachdem wir die Arbeit selbst durchgenommen. Den Inhalt eines Programms wiedergeben, heißt bei einer Schrift von nur 21 Seiten Quart den Verfasser ausschreiben, oder über ihn sich in einer Kritik zergehen. Beides liegt uns fern; unser Zweck kann nur sein, die Leser des Archivs auf diese Schrift selbst hinzuweisen, die übrigens mit dem Ganzen so zusammenhängt, daß sie nicht unbeachtet bleiben kann. Nachdem der Verfasser, der von seinem Gegenstande keineswegs voreingenommen ist, in einem vergleichenden Worte zwischen Gryphius und Lohenstein es begreiflich findet, daß Letterer auf die Gegenwart keine ästhetische Anziehungskraft ausübt, stellt er sein dichterisches Wesen und Wirken auf dramatischem Gebiet und in sprach licher Beziehung dar, und gibt in bestimmten Umrissen ein Bild des kaiserlichen Raths, dessen Gelehrsamkeit, Rechtlichkeit, amtliche Thätigkeit und Tüchtigkeit alle Zeitgenossen rühmen, und dessen Mußestunden und Krankenlager durch dichterische Beschäftigung verschönt und verkürzt werden. Er geht über die „Blumen,“ zahlreiche lyrische Gedichte, in denen Lohenstein ein unselbstständiger Nachahmer Hofmannswaldau's ist, so wie über seinen 3000 Seiten Quart füllenden Roman „Arminius und Thusnelde“ weg, obschen in demselben eine umfassende Gelehrsamkeit verarbeitet ist, und er zu den Besten gehört, was kunstmäßige Prosa des 17ten Jahrhunderts geleistet hat, und schreitet zur Betrachtung der sechs Trauerspiele: Ibrahim Bassa, Cleopatra, Agrippina, Epicharis, Sophonisbe, Ibrahim Sultan, von denen er die erste Dichtung als Jugendarbeit bezeichnet und in das Jahr 1630 verlegt, die lezte in's Jahr 1673 (Lohenstein starb 1683).

Der Verfasser theilt die Gründe mit, welche darthun, daß nur Gleopatra,_Sophonisbe und Ibrahim Sultan zur Aufführung bestimmt waren. Ganz den Dichtern der ersten schlesischen Dichterschule, die ein neubelebter edler Dichterstolz hob, entgegengesezt, urtheilt Lohenstein von seinen Gedichten „ich mache von diesen Gerichten selbst wenig Werk's, zumal da allezeit meine wichtigeren Geschäfte mir hiemit viel Zeit zu verschwenden, verbothen, sondern mir selbte nur als bloße Nebendinge einen erleichternden Zeitvertreib, nicht aber eine beschwerliche Bemühung abgegeben“ und „lleber diß habe ich aus der Tichter-Kunst niemals ein Handwerck gemacht, weniger davon Auffenthalt oder Gewinn zu suchen von nöthen ge= habt,' und zeigt, daß er die Dichtkunst an und für sich wenig würdigte, obfchon er nicht nur Hofmanswaldau, sondern auch A. Gryphius und Logau rühmt und legterem huldigt, „durch dessen Regung sich mein Geist zuerst gefühlt," vor allen aber M. Opiz.

In seinen Trauerspielen hält Lohenstein sich an die von Gryphius aufgestellten Gefeße, an die Vertheilung der Handlung in fünf Aufzüge, an die „Reven“ und vor allem an den hochtragischen Pathos; aber sowohl in der Auswahl seiner Stoffe, in welchen die brutale Gewalt einen blutigen Sieg davon trägt, wie auch in der Verarbeitung liegt eine rein äußerliche Auffassung klar zu Tage, denn ein Hauptmittel des Effects sind Geistererscheinungen, die allein den überlieferten Stoff, an den sich Lohenstein mit gelehrter Pedanterie bält, poetisch machen sollen. Passow sagt sehr bezeichnend über den Gang der Handlung, und belegt diesen Saz durch Stellen aus Agrippina: „Es bleibt deshalb für die einzelnen Auftritte hauptsächlich ein dreifacher Inhalt: entweder werden Ereignisse, die außerhalb der Bühne fallen, erzählt, oder das auf der Bühne Geschehende durch die Reden der Handelnden veranschauz licht, oder es tauschen mehrere Personen, mag auch der Stand der Handlung noch so sehr zur raschen That drängen, ihre verschiedenen An- und Absichten im Betreff künftiger Handlungen auf das Langwierigste gegeneinander aus, wobei denn schließlich eine der andern nachgeben muß; dies leßtere jedoch wird mit so geringem Aufwande innerer Wahrheit bewirkt, daß der entgegengesezte Ausgang immer ebenso möglich als wahrscheinlich ist." Von Charakterzeichnung ist nicht die Rede, da jede Vertiefung in das Innere

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fehlt und alle Personen ohne Unterschied in dem hochtragischen Tone sprechen. Die Jugendarbeit hat in dieser Beziehung Vorzüge, welche später durch verkehrte Ansichten des Dichters, der immer selbst spricht, nie seine Helden sprechen läßt, aufgehoben werden. Die Sprache ist ganz abweichend von der gewöhnlichen, und wie in den Stoffen das Gräßlichste, so wird auch in den Bildern das Ungewöhnlichste erstrebt, und die ganze unverkennbare Fülle der Sprache durch Mangel an Läuterung und Bildung aufgehoben. Durchweg ist der langweilige Alexandriner, nur die Reyen und Geistererscheinungen haben stellenweise Gewandtheit und Reichthum der lyrischen Form. Den größten Werth legte Lohenstein nach der Sitte der Gelehrten seiner Zeit, auf die Citate, in welchen er ein staunenswerthes Wissen an den Tag legt.

Aus Allem geht hervor, die Wichtigkeit der Lohenst. Tragödien beruhen einerseits auf der literarischen Stellung des Mannes während fast eines Jahrhuns derts und anderseits auf dem Einfluß für die Geschichte der deutschen Sprache. Passow meint, daß bei Lobenstein in der Orthographie von Regel und Gesch kaum die Rede sei, auch die grammatische Richtigkeit dem Reimzwang unterlegen habe, und die Rection wenig beachtet erscheine, fügt aber hinzu, daß die Ausbeute in lexicalischer Beziehung reich und wichtig sei, indem nicht nur viele Wörter andere Bes deutungen haben, als in der heutigen Schriftsprache, sondern viele andere vorhanden sind, die jest gar nicht mehr gangbar, und endlich Ableitungen und Zusam mensehungen, die nicht mehr gebräuchlich, obschon die Stämme noch da sind. Der Verfasser gibt viele Beispiele, meint aber selbst, daß seine Sammlung nicht vollständig genug sei, um eine irgend eingehende Vergleichung mit der Sprache anderer Dichter des 17ten Jahrhunderts vornehmen zu können, und verweist in dieser Hinsicht auf das versprochene Wörterbuch der Brüder Grimm, welches auch die Sprache zur Zeit der schlesischen Dichterschule veranschaulichen wird.

Kr.

Ueber den lyrischen Standpunkt bei Auffaffung und Erklärung lyris scher Gedichte, mit besonderer Rücksicht auf Horaz. I. Vom Profeffor H. Bone. Programm der Rhein. Ritteracademie zu Bedburg.

Der Verfasser der vorliegenden Abhandlung kämpft besonders dafür, daß man in einem lyrischen Gedichte nicht suchen müsse nach einer sogenannten Idee, dadurch werde das Gedicht zur Prosa herabgewürdigt; man müsse vielmehr in einem lyri schen Gedichte alles Mögliche und noch etwas mehr finden, Scherz und Erust in Ernst und Scherz, niemals sich genug gethan zu haben glauben, und wer auf die Frage, warum ein Gedicht ihm so sehr gefalle, immer noch beizufügen habe: „das ist es Alles nicht, ich kann es nicht sagen, ich fühle es," der stehe auf dem wahrsten lyrischen Standpunkte, wohne im Sänger und fühle den Sänger in sich wohnen. Die Anwendung dieser Grundsäße auf Horazische Lyrik soll im nächsten Programm folgen und zeigen, daß man zu sehr bisher dieselben ins Reich des Gedankens und der Idee gezogen, statt den Mittelpunkt der Empfindung zu erfassen und das individuelle Leben des Gesanges zu enthüllen. In diesem Theile wird nur betrachtet oder nachempfunden das Lied Mosis II, 15: „und da Moses seine Hand ausstreckte“ u. s. w., ein Mailied von Claudius, Göthe's Harfenspieler, Psalm 116 und das lateinische Kirchenlied Veni creator spiritus. Die lehtere Betrachtung enthüllt die Tiefe des christkatholischen Dogmas, aber auch etwa Göthe's Harfenspieler muß nothwendig uns hinüberführen zu der Empfindung der Gnade, die im Christenthume uns geworden. Mag man eine solche Erklärung, sagt der Verfasser, immerhin eine „Brühe“ nennen, sie ist einmal nothwendig, um die Tiefe der Lyrik zu erfassen; es ist kein äußerer lyrischer Standpunkt da bei Göthe's Harfenspieler, sondern nur das allgemeine Wort Schuld rasselt in düsterer Tiefe mit schauerlich einsamem Klange umber, so daß des Liedes Motiv wie mit Ketten festgeschmiedet erscheint und zu jeder Zeit unaufhörlich Schmerzenslaute entpressen mag." Diese

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