 | M. de Belloy (Pierre-Laurent Buyrette), Pierre-Laurent Buirette de Belloy - 1787 - 510 pages
...33 qui fe mêle à tout, voularent commander aux efprits , & les difposèrent à devenir injuftés. Louer ou critiquer le Siège de Calais, ne fut plus une affaire de goût, mais une affaire d'Etat; la piéce & l'Auteur devinrent des objets facrés comme la patrie elle-même : reprendre un... | |
 | Jean-François de La Harpe - Bible - 1822 - 680 pages
...poète citoyen , et furent bientôt suivies par d'innombrables échos. Alors l'opinion sur le Siége de Calais ne fut plus une affaire de goût , mais une affaire d'état. Une impulsion puissante communiqua le mouvement de proche en proche, avec cette rapidité qu'aura toujours... | |
 | Authors - 1824 - 488 pages
...gloire du poète citoyen, et furent bientôt suivies par d'innombrables échos. Alors l'opinion sur le Siège de Calais ne fut plus une affaire de goût, mais une affaire d'état. Une impulsion puissante communiqua le mouvement de proche en proche , avec cette rapidité qu'aura... | |
 | Jean-François de La Harpe - Bible - 1839 - 418 pages
...gloire du poete citoyen, et furent bientôt suivies par d'innombrables échos. Alors l'opinion sur le Siège de Calais ne fut plus une affaire de goût, mais une affaire d'état. Une impulsion puissante communiqua le mouvement de proche en proche , avec cette rapidité qu'aura... | |
 | Jean-François de La Harpe - Literature - 1840 - 718 pages
...gloire du poète citoyen, et furent bientôt suivies par d'innombrables échos. Alors l'opinion sur le Siège de Calais ne fut plus une affaire de goût, mais une affaire d'État. Une impulsion puissante communiqua le mouvement de proche en proche, avec cette rapidité qu'aura toujours... | |
 | Nouvelle biographie - 1853 - 492 pages
...recipit ; et son portrait fut placé à l'hôtel de ville parmi ceux des bienfaiteurs de la cité. Louer ou critiquer le Siège de Calais ne fut plus une affaire de gortt , mais une affaire d'État. « Est-il vrai, dit un jour Louis XV au duc d'Ayen , que vous n'aimie/.... | |
 | Bio-bibliography - 1866 - 984 pages
...recipit ; et son portrait fut placé à l'hôtel de ville parmi ceux des bienfaiteurs de la cité. Louer ou critiquer le Siège de Calais ne fut plus une affaire de goût, mais une affaire d'État. « Est-il vrai , dit un jour Louis XV au ducd'Ayen, que vous n'aimiez |Uî le Siège de Calais ? Je... | |
 | Hoefer (M., Jean Chrétien Ferdinand) - Bio-bibliography - 1855 - 474 pages
...recipit ; et son portrait fut placé à l'hôtel de ville parmi ceu\ des bienfaiteurs de la cité. Louer ou critiquer le Siège de Calais ne fut plus une affaire de goi'it , mais une affaire d'État. « Est-il vrai , dit un jour Louis XV au duc d'Ayen , que vous n'aimic/... | |
 | Bio-bibliography - 1855 - 1176 pages
...civicam recipit; et son portrait fut placé à l'hôtel de ville parmi ceux des bienfaiteurs de la cité. Louer ou critiquer le Siège de Calais ne fut plus une affaire de goût, mais une affaire d'État. « Est-il vrai, dit un jour Louis XV an duc d'Ayen, que vous n'aimiez pas le Siégede Calais ? Je vous... | |
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Des voix faites pour entraîner toutes les autres proclamèrent la gloire du poète citoyen, et furent bientôt suivies par d'innombrables échos. Alors l'opinion sur le Siège de Calais ne fut plus une affaire de goût, mais une affaire d'état. Une... 