Les sources et le développement du rationalisme dans la littérature française de la renaissance (1533-1601) |
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âmes anabaptistes Anima Aristote Aristotelis athées Averroès averroïstes BAYLE Bodin Bonamico Boyssonné Bruès Budé Bunel Calvin Cardan cause ceste Champagnac chap chapitre choses chrétienne Christ Cicéron corps croire d'Aristote d'Averroès DELARUELLE dialogue Dieu dieux disciples divine doctrine dogme Dolet édit epist Erasme esté estre étudiants Ferron fidéisme François Ier Govéan HERMINJARD Hist hommes humaine Ibid idées immortelle Italie Italiens Jean Jésus-Christ l'âme l'averroïsme l'Ecriture l'Eglise l'entéléchie l'éternité du monde l'Evangile l'homme l'immortalité lettre libertins Longueil Lyon Marguerite de Navarre mesme miracles Montaigne mort Natura Deorum naturelle padouans Padoue Periers philo philosophie PICOT Platon Pline Pomponazzi Pontus de Tyard Postel préface protestants Providence quæ quam question quod Rabelais raison Ramus rationalisme ratione réfuter religion Renaissance rerum Revue L. R. rien Sadolet saint Thomas secte semble Servet seulement suiv sunt surtout texte théologie théorie Toulouse traité trouve verité Vicomercato XVIe siècle
Popular passages
Page 267 - L'intention du fondateur de ce microcosme est y entretenir l'âme, laquelle il ya mise comme hoste, et la vie. La vie consiste en sang. Sang est le siège de l'âme. Pourtant un seul kbeur poine ce monde, c'est forger sang continuellement.
Page 142 - Dieu, en qui sont cachés tous les trésors de la sagesse et de la science.
Page 397 - En quatre sortes, ...peut l'homme estre espris de divine fureur. La première est par la fureur poétique procédant du don des Muses ; la seconde est par l'intelligence des mystères et secrets...
Page 333 - J'ay ouy conter d'elle qu'une de ses filles de chambre qu'elle aymoit fort, estant près de la mort, la voulut veoir mourir : et tant qu'elle fut aux abois et au rommeau...
Page 393 - Je te salue, heureuse et profitable Mort, Des extrêmes douleurs médecin et confort. Quand mon heure viendra, Déesse, je te prie, Ne me laisse longtemps languir en maladie, Tourmenté dans un lict ; mais puis qu'il faut mourir, Donne-moy que soudain je te puisse encourir, Ou pour l'honneur de Dieu, ou pour servir mon Prince. Navré d'une grand' playe au bord de ma province.
Page 399 - D'art, et non de ravissement , Cet art pénible et misérable S'eslongnera de toutes parts De vostre mestier honorable, Desmembré en diverses parts, En prophétie, en poésies, En mystères et en amour, Quatre fureurs qui tour à tour Chatouilleront vos fantasies.
Page 191 - Ha, pour grace, n'emburelucoquez jamais vos esprits de ces vaines pensées. Car je vous dis que à Dieu rien n'est impossible. Et, s'il vouloit, les femmes auroient dorenavant ainsi leurs enfans par l'oreille.
Page 190 - Je me doubte que ne croyez asseurement ceste estrange nativité. Si ne le croyez, je ne m'en soucie ; mais un homme de bien, un homme de bon sens, croit tousjours ce qu'on luy dict et qu'il trouve par escript.
Page 393 - Donne- moy que soudain je te puisse encourir, Ou pour l'honneur de Dieu, ou pour servir mon Prince, Navré, poitrine ouverte, au bord de ma province.
Page 622 - Pour ce qui est de l'état de l'âme après cette vie , j'en ai bien moins de connaissance que M. d'Igby; car, laissant à part ce que la foi nous en enseigne, je confesse que par la seule raison naturelle nous pouvons bien faire beaucoup de conjectures à notre avantage, et avoir de belles espérances, mais non point aucune assurance.