Journal de physique, de chimie, d'histoire naturelle et des arts, Volume 51

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Fuchs, 1800

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Popular passages

Page 5 - ... entre elles ; c'est toujours du muriate de soude, du carbonate de soude, et un peu de sulfate de soude : le carbonate de soude domine dans les uns, et le muriate de soude dans les autres.
Page 84 - Jloréal des plantes; ou traité de toutes les plantes qui peuvent servir d'ornement dans les jardins , les orangeries , les serres chaudes, et principalement dans les parterres.
Page 390 - Premièrement, les organes qu'elle présente , peuvent perdre de leur figure , de leur volume , de leur sou- • plesse , de leur élasticité, de leur irritabilité, au point de ne pouvoir plus produire , transmettre ou faciliter les mouvemens nécessaires à l'existence. Secondement, l'activité de ces mêmes organes peut s'accroître à un si haut degré , que tous les ressorts tendus avec trop de force, ou mis en jeu avec trop de rapidité , et ne pouvant pas résister à une action trop vive...
Page 148 - Peau-devie qui vient ensuite n'a plus que les caractères qui lui appartiennent essentiellement. 6°. Le PRINCIPE COLORANT. Le principe colorant du vin existe dans la pellicule du raisin : lorsqu'on fait fermenter le moût sans le marc, le vin en est blanc. Ce principe colorant ne se dissout dans la vendange que lorsque...
Page 149 - Le principe coUrant ne paroît donc pas de la nature des résines ; il présente tous les caractères qui appartiennent à une classe très-nombreuse de produits végétaux qui se rapprochent des fécules , sans en avoir toutes les propriétés. Le plus grand nombre...
Page 197 - ... aussi on voit qu'il parcourt les époques de sa fructification avec une grande rapidité. Ses fleurs ont une odeur extrêmement foible, mais qui n'est pas désagréable ; ses feuilles en ont une à peu près de même nature , mais leurs émanations ne sont pas aussi dangereuses qu'on s'est plu à le publier ; du moins ne voit-on jamais d'accidens en résulter dans la basse Caroline.
Page 144 - L'eau de-vie est d'autant plus spiritueuse , qu'elle est mélangée avec une moins grande quantité d'eau : et comme il importe au commerce de pouvoir en connoître aisément les degrés de spirituosité, on s'est longtemps occupé des moyens de les constater. , Le bouilleur ou distillateur juge de la spirituosité de l'eaude-vie par le nombre , la grosseur et la permanence des bulles qui se forment en agitant la liqueur ; à cet effet on...
Page 406 - France en plein air, dans les orangeries et serres chaudes, in- 12, 1799. —Traité de la culture des arbres et arbustes qu'on peut élever dans le royaume, et qui peuvent passer l'hiver en plein air, etc., 3vol.
Page 317 - Tes plus pénibles, pour voir et goûter la soupe qu'ils préparent : ce n'est "souvent que de l'eau chaude , assaisonnée avec un. chétif morceau de lard , et dans laquelle nage un pain noir et compacte. Il n'y en a pas un d'entre eux qui ne préférât la soupe de légumes à son potage.
Page 144 - Ce qui reste dans la chaudière après qu'on en a extrait l'eaude-vie > est appelé vinasse : c'est le mélange confus du tartre, du principe colorant, de la lie, etc. On rejette ce résidu comme inutile ; néanmoins en le faisant dessécher à l'air ou dans des étuves , on peut en extraire , par la combustion , un ul Lui i assez pur.

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