Bibliothèque des sciences, et des beaux arts, Volume 21P. Gosse Junior, 1764 - Bibliography |
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Page 33
... mieux . Ce fut CHAR- LES V. qui réduifit le nombre des fleurs de lys dans les armoiries de France , à celui de trois , au lieu qu'auparavant elles y é- toient femées fans nombre . Un des motifs les plus plausibles de ce changement , dit ...
... mieux . Ce fut CHAR- LES V. qui réduifit le nombre des fleurs de lys dans les armoiries de France , à celui de trois , au lieu qu'auparavant elles y é- toient femées fans nombre . Un des motifs les plus plausibles de ce changement , dit ...
Page 36
... mieux la curiofité de nos Lecteurs , en nous arrêtant à quelques objets de détail qui caractérisent le goût & les mœurs de ces temps là . Hugues Aubriot , qui par fon mérite avoit obtenu la faveur de CHARLES V , étoit revê- tu de la ...
... mieux la curiofité de nos Lecteurs , en nous arrêtant à quelques objets de détail qui caractérisent le goût & les mœurs de ces temps là . Hugues Aubriot , qui par fon mérite avoit obtenu la faveur de CHARLES V , étoit revê- tu de la ...
Page 40
... mieux étre fervis à leur goût ? Rien ne montre mieux le défordre du Gouvernement de CHARLES VI , que la con- ceffion qui permit aux Juifs , pendant dix années , d'exiger de leurs débiteurs l'inté- rêt des intérêts , avec défenfe à ...
... mieux étre fervis à leur goût ? Rien ne montre mieux le défordre du Gouvernement de CHARLES VI , que la con- ceffion qui permit aux Juifs , pendant dix années , d'exiger de leurs débiteurs l'inté- rêt des intérêts , avec défenfe à ...
Page 43
... mieux les hom- mes qu'au milieu de leurs amusemens ; c'est là qu'ils paroiffent ce qu'ils font en effet . L'hiftoire des Spectacles qui em- braffe une partie de la Littérature Fran- çoise , est donc un objet très digne d'atten- tion ...
... mieux les hom- mes qu'au milieu de leurs amusemens ; c'est là qu'ils paroiffent ce qu'ils font en effet . L'hiftoire des Spectacles qui em- braffe une partie de la Littérature Fran- çoise , est donc un objet très digne d'atten- tion ...
Page 48
... mieux dire , ce petit Ou- vrage n'eft qu'un morceau détaché , un échantillon d'une Théorie univerfelle de l'état prefent de notre Globe , à laquelle M. RASPE travaille . Occupé à recueillir dans dans les Livres des Hiftoriens & des Phi ...
... mieux dire , ce petit Ou- vrage n'eft qu'un morceau détaché , un échantillon d'une Théorie univerfelle de l'état prefent de notre Globe , à laquelle M. RASPE travaille . Occupé à recueillir dans dans les Livres des Hiftoriens & des Phi ...
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Common terms and phrases
affez ainfi aît Anglois auffi auroit Auteur avoient avoit beau Briffon BURMAN c'eft C'eſt caufe CHAPITRE chofes Claffes compofé Comte de Desmond Confeil conféquent confidérer connoiffance connoître D'ORVILLE defcription deffein deffus Dieu Difcours différens Differtation diftingue divers efprit enfuite eſpèce eſt étoient étoit Extr fagacité fage favant favoir fe font fe trouve fecond felon femble fens fentir feroit fervir feulement fiècle fimple fingulier foient foin foit FOUCHY fource fous fouvent François ftyle fuivant fujet fuppofer fur-tout genre Haarlem Hamel Hiftoire hommes intéreffant Irlande Jean Calas jufqu'à jufte l'Auteur l'efprit l'Hiftoire laiffer Loix Médailles Mémoire ment Mer Rouge Miniftres n'eft néceffaire obfervations Oifeaux Ouvrage paffage paffer paffions Palerme paroit penfer perfonne Philofophe plaifir plufieurs poffible pourroit pouvoit préfent prefque Profeffeur propofé Proteftans queftion raifon refte Religion Chrétienne s'eft Scorbut Sicile teur Théatre tion Tragédie ufage Véfuve Volcans دو
Popular passages
Page 202 - ... point nos calamités. Tu ne nous as point donné un cœur pour nous haïr, et des mains pour nous égorger ; fais que nous nous aidions mutuellement à supporter le fardeau...
Page 202 - Puissent tous les hommes se souvenir qu'ils sont frères! qu'ils aient en horreur la tyrannie exercée sur les âmes, comme ils ont en exécration le brigandage qui ravit par la force le fruit du travail et de l'industrie paisible!
Page 199 - Il ne faut pas un grand art, une éloquence bien recherchée, pour prouver que des chrétiens doivent se tolérer les uns les autres. Je vais plus loin : je vous dis qu'il faut regarder tous les hommes comme nos frères. « Quoi! mon frère le Turc? mon frère le Chinois? le Juif? le Siamois? — Oui, sans doute ; ne sommes-nous pas tous enfants du même père, et créatures du même Dieu? » « Mais ces peuples nous méprisent; mais ils nous traitent d'idolfitreel Hé bien!
Page 311 - Il monte sur un bateau, gagne à force de rames le milieu du fleuve, aborde, attend au bas de la pile que toute la famille, père, mère, enfants & vieillards, se glissant le long d'une corde, soient descendus dans le bateau. Courage, dit-il, vous voilà sauvés.
Page 30 - Turenne aidé des connoiffances d'un fiecle plus éclairé , étoit fans doute plus habile capitaine que Bertrand ; mais on peut dire à la gloire de ce dernier , qu'il tira de...
Page 317 - Ariftophane eft l'auteur. Mais un genre fupérieur à tous les autres, eft celui qui réunit le comique de fituation & le comique de...
Page 314 - Moliére en a raflemblés dans Harpagon ; mais cette exagération rentre dans la vraifemblance lorfque les traits font multipliés par des circonftances ménagées a
Page 316 - Nation douce & polie où chacun fe fait un devoir de conformer fës fentimens & fes id^es aux mœurs de la fociété , où des préjugés font des principes , où les ufages font des loix, où l'on eft condamné à vivre feul dès qu'on veut vivre pour foi - même j cette Nation ne doit préfenter que des caractères adoucis par les égards , & que des vices palliés...
Page 101 - Que ce soit un hydre, un avare, un faux dévot, un Néron, dès qu'on les a présentés avec tous les traits qui peuvent leur convenir on a peint la belle Nature.
Page 310 - l'arcade du milieu , fur laquelle étoit „ une maifon , & dans cette maifon une „ famille entière. Du rivage on voyoit „ cette famille éplorée tendre les mains, „ demander du fecours. Cependant la „ force du torrent détruifoit à vue d'œil ,, les piliers de l'arcade. Dans ce péril , „ le Comte Spolverini propofe une bourfe „ de cent Louis, à celui qui aura lecoura„ ge d'aller dans un bateau délivrer ces