Le protestantisme comparé au catholicisme dans ses rapports avec la civilisation europénnne, Volume 2A. Vaton, 1852 |
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achar Barbares bienfaisance canon captifs Carranza Catholicisme cause célébré l'an charité choses chrétiens Christianisme civilisation cœur concile concile d'Arles concile de Clermont conduite conscience publique conserver considérable crimes devait Dieu dire divine doctrines dogmes douceur des mœurs ennemis époque Espagne esprit établissements euro européenne fond force funeste gion gouvernement Guizot hommes humain idées Inquisition institutions monastiques jamais ren Jésuites jugement juifs justice l'Église catholique l'esprit l'Esprit des Lois l'Europe l'histoire l'homme l'humanité l'in l'influence l'Inquisition l'intolérance l'Occident l'Orient législation lois Maures ment monastères monde Montesquieu morale Morisques moyens n'était nations nécessaire observer ordres religieux papes paroles passions pays peine pensée personnes peuples Philippe philosophie politique pouvoir premier présente principes Protestantisme protestants Puigblanch puissant qu'un raison rapport réaliser regard religion reste résultat rien rois Rois Catholiques Rome s'est saint science semblable sentiments sera seul siècles social société sorte système tence tion tisme tolérance trêve de Dieu trouve vérité vertu Villanueva
Popular passages
Page 351 - Il ya donc une profession de foi purement civile dont il appartient au souverain de fixer les articles, non pas précisément comme dogmes de religion, mais comme sentiments de sociabilité, sans lesquels il est impossible d'èlre bon citoyen ni sujet fidèle.
Page 48 - Dans les monarchies, il ne faut point de censeurs : elles sont fondées sur l'honneur ; et la nature de l'honneur est d'avoir pour censeur tout l'univers.
Page 351 - Que si quelqu'un, après avoir reconnu publiquement ces mêmes dogmes, se conduit comme ne les croyant pas, qu'il soit puni de mort ; il a commis le plus grand des crimes : il a menti devant les lois.
Page 351 - Le droit que le pacte social donne au souverain sur les sujets ne passe point, comme je l'ai dit ('), les bornes de l'utilité publique (a).
Page 351 - Sans pouvoir obliger personne à les croire, il peut bannir de l'État quiconque ne les croit pas; il peut le bannir, non comme impie, mais comme insociable, comme incapable d'aimer sincèrement les lois, la justice, et d'immoler au besoin sa vie à son devoir.
Page 351 - Or il importe bien à l'État que chaque citoyen ait une religion qui lui fasse aimer ses devoirs; mais les dogmes de cette religion n'intéressent ni l'État ni ses membres qu'autant que ces dogmes se rapportent à la morale, et aux devoirs que celui qui la professe est tenu de remplir envers autrui.
Page 351 - Il est impossible de vivre en paix avec des gens qu'on croit damnés ; les aimer serait haïr Dieu qui les punit; il faut absolument qu'on les ramène ou qu'on les tourmente.
Page 98 - Il ôta encore les hôpitaux , où le bas peuple trouvait sa subsistance comme les gentilshommes trouvaient la leur dans les monastères. Depuis ce changement, l'esprit de commerce et d'industrie s'établit en Angleterre.
Page 82 - ... depuis le premier dimanche de l'Avent jusqu'à l'octave de l'Epiphanie, depuis le dimanche de la...
Page 17 - Paucissima in tam numerosa gente adulteria ; quorum poena praesens et maritis permissa. Accisis crinibus, nudatam, coram propinquis, expellit domo maritus, ac per omnem vicum verbere agit : publicatae enim pudicitiae nulla venia : non forma, non aetate, non opibus maritum invenerit.