Mémoires authentiques du maréchal de Richelieu (1725-1757) |
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Page 27
... troupes dans l'Empire avant qu'on l'eût appris par vous , et c'est ce qui donna occasion à cette plainte . Mais je puis vous assurer qu'on est infiniment con- tent de vous , et de la manière dont vous vous êtes conduit dans toute cette ...
... troupes dans l'Empire avant qu'on l'eût appris par vous , et c'est ce qui donna occasion à cette plainte . Mais je puis vous assurer qu'on est infiniment con- tent de vous , et de la manière dont vous vous êtes conduit dans toute cette ...
Page 44
... troupes n'y restassent 1. Ouverts le 15 décembre 1740 . 2. Son opinion était déjà arrêtée à ce sujet avant qu'il repartit pour le Languedoc . Le 10 novembre , étant encore à Paris , il écrivait au comte de Châteaupéage : « Dans mes con ...
... troupes n'y restassent 1. Ouverts le 15 décembre 1740 . 2. Son opinion était déjà arrêtée à ce sujet avant qu'il repartit pour le Languedoc . Le 10 novembre , étant encore à Paris , il écrivait au comte de Châteaupéage : « Dans mes con ...
Page 48
... troupes se rassemblèrent en Allemagne . Mais le duc de Richelieu ne demanda point à être de cette armée - là , parce qu'il eut peur , avec raison , qu'on n'en revînt pas tous les hivers , et que cela lui fit perdre son commandement du ...
... troupes se rassemblèrent en Allemagne . Mais le duc de Richelieu ne demanda point à être de cette armée - là , parce qu'il eut peur , avec raison , qu'on n'en revînt pas tous les hivers , et que cela lui fit perdre son commandement du ...
Page 49
... troupes étant sur les frontières , n'y ayant en Lan- guedoc qu'un régiment , même éloigné , le cardinal avoit dit au Roi , que M. maréchal de camp employé dans la province , n'étoit pas en état d'en imposer et de rassembler ce qu'il ...
... troupes étant sur les frontières , n'y ayant en Lan- guedoc qu'un régiment , même éloigné , le cardinal avoit dit au Roi , que M. maréchal de camp employé dans la province , n'étoit pas en état d'en imposer et de rassembler ce qu'il ...
Page 54
... d'avoir un Conseil composé comme le nôtre , au milieu d'une guerre avec toute l'Europe , et sans qu'il y eût un militaire , ni un homme qui se doutât de ce que c'étoient que la guerre et les troupes 54 1740-44 MÉMOIRES DE RICHELIEU.
... d'avoir un Conseil composé comme le nôtre , au milieu d'une guerre avec toute l'Europe , et sans qu'il y eût un militaire , ni un homme qui se doutât de ce que c'étoient que la guerre et les troupes 54 1740-44 MÉMOIRES DE RICHELIEU.
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affaires étrangères alloit ambassadeur Anglois archives arriva auroit avez avoient Buisson c'étoit cardinal de Fleury Choiseul chose Ciutadella comte connoissance connoître Conseil correspondance cour d'Aiguillon d'Argenson d'Espagne Dauphin demanda devoit dire disoit documents donner duc de Richelieu Duclos écrit ennemis envoya étoient étoit faisoit Gênes guerre historiques j'ai jour Journal l'abbé de Bernis l'armée l'Empereur l'histoire l'infante laisser Languedoc lettre Louis XV maréchal de Noailles maréchal de Richelieu marquis Maurepas Mémoires de Richelieu Mémoires de Saint-Simon Mémoires du maréchal Mercure ministère secret ministre Minorque Mme de Châteauroux Mme de Mailly Mme de Mazarin Mme de Pompadour Mme de Tencin Monsieur n'avoit négociations nonce parler passé pièces pourroit pouvoit premier prince privée Prusse publication publié Puyzieulx récit règne de Louis reste Richelieu avoit rien Ripperda Rottembourg Saint-Florentin seroit seulement Soulavie suiv Tencin tion Tournelle troupes trouva venoit Versailles Vienne VIII Vintimille Voltaire Voltri volumes vouloit
Popular passages
Page 119 - C'est pour obtenir de la divine Providence ce nouveau bienfait, en lui rendant des actions de grâces de ceux dont elle m'a comblé jusqu'à présent, que je vous fais cette lettre, pour vous...
Page xviii - Vous ne devez pas être inquiet de ce que quelques morceaux épars et isolés, tirés de ses portefeuilles, seront peut-être imprimés : ils ne pourront jamais faire un corps d'histoire, et ne présenteront aucune liaison. Ces pièces sont également entre vos mains, et vous avez toules les dépêches, tous les mémoires de la main de mon père et toutes les lettres originales.
Page 111 - C'est lui qui a donné le conseil et qui l'a exécuté de marcher à l'ennemi, comme des chasseurs ou comme des fourrageurs, pêlemêle , la main baissée , le bras raccourci ; maîtres , valets , officiers, cavaliers, infanterie, tout ensemble. Cette vivacité française dont on parle tant, rien ne lui résiste ; ce fut l'affaire de dix minutes que de gagner la bataille avec cette botte secrète.
Page 17 - Etats-généraux et l'Angleterre que la France voulût s'accommoder sans eux. Après quelques réflexions sur la complaisance de l'Empereur, qui, malgré l'inutilité de ses premières avances, consentoit, pour n'avoir rien à se reprocher, à en faire de nouvelles, le nonce dit que puisque le commerce d'Ostende étoit la cause de la guerre, l'Empereur consentoit de le suspendre adtempus.C'éloit, comme l'on dit, mettre l'Angleterre et la Hollande au pied du mur.
Page xl - Monsieur, voulant vivre et mourir dans le sein de l'église catholique, apostolique et romaine, je vous pria de constater , par l'insertion de la présente déclaration dans vos ouvrages, mon repentir d'avoir publié,.
Page xviii - D'ailleurs c'est le style de l'écrivain, c'est l'enchaînement qu'il donnera aux choses, la manière de présenter les faits, de peindre les personnages, qui contribuera beaucoup au succès de l'ouvrage. Celui des Mémoires d'Anne de Gonzagu'e est pour vous comme pour moi un excellent présage. Je vous en fais mes remcrcîments et vous prie , etc.
Page 174 - J'ignore quelles sont vos instructions; mais, dans la supposition qu'assuré de la rapidité de vos progrès, le roi votre maître vous aura mis en état de travailler à la pacification de l'Allemagne, je vous adresse M.