| 1831 - 272 pages
...accent des vieux canons de fonte La Marseillaise répondait ; Certe on ne voyait pas , comme au jour où nous sommes , Tant d'uniformes à la fois. C'était...chargeaient les mousquets et renvoyaient la foudre; C'était la bouche aux vils jurons Qni mâchait la cartouche , et qui , noire de poudre , Criait aux... | |
| France - 1831 - 302 pages
...nous sommes, Tant d'uniformes à là fois. C'était sous des haillons que battaient les cœurs d'homme C'étaient alors de sales doigts Qui chargeaient les mousquets et renvoyaient la foudre; C'était la bouche aux vils jurons Qui mâchait la cartouche , et qui , noire de poudre , Criait aux... | |
| Auguste Barbier - 1832 - 184 pages
...accent des vieux canons de fonte La Marseillaise répondait ; Certe, on ne voyait pas, comme au jour où nous sommes, Tant d'uniformes à la fois. C'était...sous des haillons que battaient les cœurs d'hommes; C'était alors de sales doigts Qui chargeaient les mousquets et renvoyaient la foudre ; C'était la... | |
| French poetry - 1835 - 512 pages
...accent des vieux canons de fonte La Marseillaise répondait; Certe on ne voyait pas, comme aux jours où nous sommes, Tant d'uniformes à la fois; C'était sous des haillons que battaient les coeurs d'hommes; C'étaient alors de sales doigts Qui chargeaient les mousquets et renvoyaient la foudre,... | |
| Auguste Barbier - 1840 - 298 pages
...accent des vieux canons de fonte La Marseillaise répondait, Certe, on ne voyait pas, comme au jour où nous sommes, Tant d'uniformes à la fois : C'était...sous des haillons que battaient les cœurs d'hommes ; C'était alors de sales doigts Qui chargeaient les mousquets et renvoyaient la foudre ; (''était... | |
| Auguste Barbier - French poetry - 1849 - 300 pages
..., Certe, on ne voyait pas, comme au jouroù nous sommes, Tant d'uniformes à la fois : C'étaitsous des haillons que battaient les cœurs d'hommes , C'étaient...chargeaient les mousquets et renvoyaient la foudre ; C'était la bouche aux vils jurons Qui mâchait la cartouche, et qui, noire de poudre,Criait aux... | |
| Alexandre Dumas - 1853 - 612 pages
...canons de fonte La Marseillaise répondait ; Certes, on ne voyait pas, comineau jour où noussommes, Tant d'uniformes à la fois ; C'était sous des haillons que battaient les cœurs d'hommes C'était , alors , de sales doigts Qui chargeaient les mousquets et renvoyaient la foudre; C'était... | |
| Jules Janin - French drama - 1853 - 466 pages
...accent des vieux canons de fonte La Marseillaise répondait ; Certe, on lie voyait pas, comme aux jours où nous sommes, Tant d'uniformes à la fois. C'était sous des haillons que huilaient des cœurs d'hommes; Célaient alors de sales doigts Qui chargeaient les mousquets et renvoyaient... | |
| Laurent-Pichat - French poetry - 1862 - 400 pages
...voyait pas comme aux jours où nous sommes, Tant d'uniformes à la fois. C'étaient sous deshaillons que battaient les cœurs d'hommes, C'étaient alors...chargeaient les mousquets et renvoyaient la foudre ; C'était la bouche aux vils jurons Qui mâchait la cartouche, et qui, noire de poudre, Criait aux... | |
| Eugène Crépet - French poetry - 1863 - 778 pages
...accent des vieux canons de fonte La Marseillaise.répondait, Certe, on ne voyait pas , comme au jour où nous sommes, Tant d'uniformes à la fois; C'était...chargeaient les mousquets et renvoyaient la foudre; C'était la bouche aux vils jurons Qui mâchait la cartouche, et qui, noire de poudre, Criait aux citoyens... | |
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