Histoire universelle, tr. par E. Aroux et P. Léopardi, Volume 51845 |
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... lois et à ses croyances . Cent cheiks dominaient patriarcalement sur les tribus , faisant payer cher tout attentat à une liberté qu'ils ne perdirent en partie qu'au moment où ils se transportèrent sur un sol moins stérile . Sans de ...
... lois et à ses croyances . Cent cheiks dominaient patriarcalement sur les tribus , faisant payer cher tout attentat à une liberté qu'ils ne perdirent en partie qu'au moment où ils se transportèrent sur un sol moins stérile . Sans de ...
Page 13
... lois et par son industrie . Narbonne , siége de la puissance romaine , commençait à s'agrandir ; les mœurs y étaient simples , et même un peu grossières . César avait ouvert aux Gaulois la cité et le sénat de Rome ; mais Auguste les en ...
... lois et par son industrie . Narbonne , siége de la puissance romaine , commençait à s'agrandir ; les mœurs y étaient simples , et même un peu grossières . César avait ouvert aux Gaulois la cité et le sénat de Rome ; mais Auguste les en ...
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... lois dans le sens de celles des Gracques ; puis , une fois que la puissance des tribuns se fut accrue , elle déclara ouvertement la guerre , en élevant Marius , non moins brave que jaloux des nobles , aussi rem- pli d'audace que d ...
... lois dans le sens de celles des Gracques ; puis , une fois que la puissance des tribuns se fut accrue , elle déclara ouvertement la guerre , en élevant Marius , non moins brave que jaloux des nobles , aussi rem- pli d'audace que d ...
Page 25
... lois , sans que personne y apportât obstacle , les plus hardis étant « morts dans les combats ou dans les proscriptions . Les nobles , « d'autant plus enrichis et comblés d'honneurs qu'ils étaient plus disposés à le servir ...
... lois , sans que personne y apportât obstacle , les plus hardis étant « morts dans les combats ou dans les proscriptions . Les nobles , « d'autant plus enrichis et comblés d'honneurs qu'ils étaient plus disposés à le servir ...
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... lois sous prétexte qu'il regrettait de le voir obligé d'abandonner ses occupations pour se rendre aux comices , il transféra ces deux prérogatives au sénat . Ce fut là un changement des plus importants dans la constitution romaine ...
... lois sous prétexte qu'il regrettait de le voir obligé d'abandonner ses occupations pour se rendre aux comices , il transféra ces deux prérogatives au sénat . Ce fut là un changement des plus importants dans la constitution romaine ...
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Common terms and phrases
Adrien Alexandre anciens Antioche Antonin Auguste avaient ayant barbares c'était Caligula Caracalla Cassius cent César choses chrétiens Christ christianisme citoyens Claude conservé d'Auguste d'autres Décébale Dieu dieux Dioclétien disait divine doctrine Domitien donner Égypte élevé empereur enfants ensuite esclaves évêques faisait femme fils foule frère Galba Gaule Germanie gladiateurs gouvernement Grecs guerre Hébreux Héliogabale hommes Jérusalem jour Judée Juifs jusqu'à l'armée l'Asie l'Église l'Égypte l'empereur l'empire l'histoire l'homme laissa légions livres lui-même Macrin maître Marc-Aurèle Marcomans ment mille monde mort n'était nations Néron nombre Parthes passé patrie pensée père Perse Pertinax peuple philosophie Pline poëte porter pourtant pouvait préfet du prétoire premier prétoriens prêtres prince proclamer provinces quæ Quintilien quod règne reste Romains Rome s'était saint sang sénat sénateurs Sénèque sentiment sesterces seul Sévère siècle soldats statues supplice Syrie Tacite temple Tibère Tigellin tion Titus Trajan trône trouve tyran Ulpien vérité Vérus Vespasien Vitellius
Popular passages
Page 512 - Nous ne sommes que d'hier, et nous remplissons tout, vos cités, vos îles, vos forteresses, vos colonies, vos tribus, vos décuries, vos conseils, le palais, le sénat, le forum; nous ne vous laissons que vos temples...
Page 184 - Romani, primam qui legibus urbem «» Fundabit, Curibus parvis et paupere terra Missus in imperium magnum. Cui deinde subibit, Otia qui rumpet patriae residesque movebit Tullus in arma viros et jam desueta triumphis Agmina. Quem juxta sequitur jactantior Ancus, lis Nunc quoque jam nimium gaudens popularibus auris.
Page 110 - royaume des cieux. » Cette parabole s'entend des injustices, des violences que commettent les civilisés pour atteindre à la fortune.
Page 97 - mes disciples, si vous vous aimez réciproquement. Je suis la vigne; « vous êtes les branches. Je ne vous appellerai pas serviteurs, parce « que le serviteur ne sait pas ce que fait le maître ; mais amis, parce « que je vous ai instruits de tout ce que j'ai su de mon Père.
Page 611 - Il parlait donc dans la synagogue avec les Juifs , et avec ceux qui craignaient Dieu; et tous les jours dans la place avec ceux qui s'y rencontraient.
Page 112 - Encore donc que les Juifs eussent dans leurs Écritures quelques promesses des félicités éternelles, et que vers les temps du Messie, où elles devaient être déclarées, ils en parlassent beaucoup davantage, comme il...
Page 106 - Jé« rusalem ; il jugera les nations et sera l'arbitre des peuples : ceux« ci forgeront de leurs épées des socs de charrue, et de leurs lances « des faux; un peuple ne tirera plus l'épée contre un autre...
Page 85 - ... réjouir une orgie de l'empereur, et être jetées le lendemain comme la couronne de pavots? • La pauvreté du grand nombre frappe davantage à côté de la richesse démesurée de quelques-uns. Un citoyen , qui regrettait des pertes considérables éprouvées durant les guerres civiles, laissa en mourant quatre mille cent seize esclaves, trois mille six cents paires de bœufs , deux cent cinquante mille têtes d'autre bétail , et soixante millions de sesterces , sans compter la valeur des...
Page 328 - ... petimus partumque uxoris, at illis notum qui pueri qualisque futura sit uxor. ut tamen et poscas aliquid voveasque sacellis exta et candiduli divina tomacula porci, 355 orandum est ut sit mens sana in corpore sano.
Page 537 - DES ÉGLISES D'OCCIDENT ET D'ORIENT. Rien dans toute l'histoire ecclésiastique n'est aussi invinciblement démontré , pour la conscience surtout qui ne dispute jamais , que la suprématie monarchique du Souverain Pontife. Elle n'a point été sans doute , dans son origine , ce qu'elle fut quelques siècles après ; mais c'est en cela précisément qu'elle se montre divine : car tout ce, qui existe légitimement et pour des siècles, existe d'abord en germe et se développe successivement1.