Histoire de la littérature moderne: La réforme, de Luther a Shakespeare |
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... écrivit doucement au pape . Il regrettait la propagation bruyante de ses thèses qui étaient allées trop vite et trop loin . Mais que faire maintenant ? Pouvait - il les reprendre ? Il était donc forcé , bien malgré lui , de tenir bon ...
... écrivit doucement au pape . Il regrettait la propagation bruyante de ses thèses qui étaient allées trop vite et trop loin . Mais que faire maintenant ? Pouvait - il les reprendre ? Il était donc forcé , bien malgré lui , de tenir bon ...
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... écrivit - il à Spalatin , je méprise Rome , et ses faveurs , et ses colères . Jamais je ne me réconcilierai avec eux . Qu'ils condamnent ou brûlent mes livres , à mon tour , à moins qu'il n'y ait plus de feu au monde , je condam- nerai ...
... écrivit - il à Spalatin , je méprise Rome , et ses faveurs , et ses colères . Jamais je ne me réconcilierai avec eux . Qu'ils condamnent ou brûlent mes livres , à mon tour , à moins qu'il n'y ait plus de feu au monde , je condam- nerai ...
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... toutes les concupiscences , les débordements du roi Henry VIII en Angleterre , la persistance de toutes les débauches , de toutes les corruptions d'autrefois , il s'écria souvent ou écrivit avec désespoir : « C'est ma faute 24 LA RÉFORME .
... toutes les concupiscences , les débordements du roi Henry VIII en Angleterre , la persistance de toutes les débauches , de toutes les corruptions d'autrefois , il s'écria souvent ou écrivit avec désespoir : « C'est ma faute 24 LA RÉFORME .
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La réforme, de Luther a Shakespeare Marc Monnier. souvent ou écrivit avec désespoir : « C'est ma faute , ma très grande faute ! ... Il vaudrait mieux ne pas avoir chassé Satan que de le ramener en plus grande force ... Quittons cette ...
La réforme, de Luther a Shakespeare Marc Monnier. souvent ou écrivit avec désespoir : « C'est ma faute , ma très grande faute ! ... Il vaudrait mieux ne pas avoir chassé Satan que de le ramener en plus grande force ... Quittons cette ...
Page 26
... écrivit cela fut un travailleur effréné : pro- fesseur . predicateur , écrivain inépuisable et infatigable . Le plus important de ses ouvages fut la traduction de la B. Travail de geant où Luther fit à lui seul ce qu'a- valent fait pour ...
... écrivit cela fut un travailleur effréné : pro- fesseur . predicateur , écrivain inépuisable et infatigable . Le plus important de ses ouvages fut la traduction de la B. Travail de geant où Luther fit à lui seul ce qu'a- valent fait pour ...
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Histoire de la Litterature Moderne: La Reforme, de Luther a Shakespeare ... Marc-Monnier Marc-Monnier No preview available - 2017 |
Histoire de la Littérature Moderne: La Réforme, de Luther A Shakespeare ... Marc-Monnier Marc-Monnier No preview available - 2017 |
Common terms and phrases
Agrippa d'Aubigné aimait âme amour assez Aubigné Bacon beau belle Ben Jonson Bible Bonivard c'était Calderon Calvin Camoens catholique Cervantes chant chevalier chose ciel cœur comédie concile de Trente d'Aubigné d'autres devait Dieu dire disait Don Quichotte drame écrit écrivains écrivit espagnol esprit femme François Ier Gargantua Genève gens Giordano Bruno Gongora goût grec guerre Henri homme huguenot italien j'ai Jérusalem jeune jour jusqu'à l'Arioste l'Église laisser langue latin littérature livre Lope de Vega Lusiades Luther main maître Marot Mélanchthon ment monde Montaigne mort mourut Nolain œuvre Pantagruel Panurge pape parler passa pauvre pensée père personnages Pétrarque peuple peut-être philosophie pièces plaisir plein Plutarque poème poésie poète poétique premier prince psaumes qu'un Rabelais raison Réforme reine religieux religion reste rien roman Rome Ronsard saint sait scène seigneur seizième siècle sent sera seulement Shakespeare sorte Spenser style Tasse tête théâtre tion trouve Voilà voulait Wittenberg yeux Zwingle
Popular passages
Page 419 - How sweet the moonlight sleeps upon this bank! Here will we sit and let the sounds of music Creep in our ears; soft stillness and the night Become the touches of sweet harmony. Sit, Jessica. Look how the floor of heaven Is thick inlaid with patines of bright gold; There's not the smallest orb which thou behold'st But in his motion like an angel sings, Still quiring to the young-ey'd cherubins; Such harmony is in immortal souls, But whilst this muddy vesture of decay Doth grossly close it in, we cannot...
Page 164 - Le parler que j'ayme, c'est un parler simple et naïf, tel sur le papier qu'à la bouche ; un parler succulent et nerveux, court et serré, non tant délicat et peigné comme véhément et brusque : Haec demum sapiet dictio, quœ feriet, plustost difficile qu'ennuieux, esloingné d'affectation, desreglé, descousu et hardy ; chaque lopin y face son corps ; non pedantesque, non fratesque, non pleideresque, mais plustost soldatesque...
Page 403 - Stand still, you ever-moving spheres of Heaven, That time may cease, and midnight never come; Fair Nature's eye, rise, rise again and make Perpetual day; or let this hour be but A year, a month, a week, a natural day, That Faustus may repent and save his soul! O lente, lente currite, noctis equi! The stars move still, time runs, the clock will strike, The Devil will come, and Faustus must be damned.
Page 148 - Plutarque, il ne lui a au moins rien prêté qui le démente ou qui le dédise); mais surtout je lui sais bon gré d'avoir su trier et choisir un livre si digne et si à propos, pour en faire présent à son pays.
Page 99 - Mais parce que, selon le sage Salomon, sapience* n'entre point en âme malivole*, et science sans conscience n'est que ruine de l'âme, il te convient servir, aimer et craindre Dieu, et en lui mettre toutes tes pensées et tout ton espoir, et par foi formée de charité, être à lui adjoint, en sorte que jamais n'en sois désemparé* par péché.
Page 357 - Parlons bas; écoute. Sais-tu que ce vieillard fut la même vertu , La vaillance et l'honneur de son temps ? le sais-tu ? LE COMTE. Peut-être. D. RODRIGUE. Cette ardeur que dans les yeux je porte , Sais-tu que c'est son sang ? le sais-tu ? LE COMTE.
Page 173 - Qu'on ne dise pas que je n'ai rien dit de nouveau : la disposition des matières est nouvelle...
Page 397 - It is true that a little philosophy inclineth man's mind to atheism, but depth in philosophy bringeth men's minds about to religion. For, while the mind of man looketh upon second causes scattered, it may sometimes rest in them and go no further, but, when it beholdeth the chain of them confederate and linked together, it must needs fly to Providence and Deity.
Page 160 - Je n'ay pas plus faict mon livre que mon livre m'a faict, livre consubstantiel à son autheur, d'une occupation propre, membre de ma vie ; non d'une occupation et fin tierce et estrangere comme tous autres livres.
Page 132 - Par les ombres myrteux je prendrai mon repos: Vous serez au foyer une vieille accroupie, Regrettant mon amour et votre fier dédain.