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Ludol. Kusteri. Amstelodami, 1710, in-fol.; 75 à 90 f.

Bonne édition fort recherchée.

Eædem comœdiæ, gr., cum nova versione latina et notis crit. Rich. Fr. Ph. Brunck. Argentorati, 1781-83, 4 vol. gr. in-40; 60 à 72 fr.

Édition estimée. Sous la même date, il y a une édition gr. in-4°, aussi en 4 vol. qui vaut 96 à 120 fr. Ce bon ouvrage a été réim-primé à Oxford, en 1810, 4 vol. in-8°, 60 fr., et on y a ajouté Lexicon Aristophanicum, græco-anglicum, by James Sanxay. Oxford, 1811, 1 vol. in-8o; 18 fr.

Toм. II, pag. 302. A ajouter aux éditions de Martial, la sui

vante :

Val. Martialis epigrammatum libri. Parisiis, Car. Ro bustel, seu Barbou, 1754, 2 vol. in-12; 12 fr.; et en pap. de Holl., 18 fr.

Tом. II, pag. 3o3. A la notice qui suit l'annonce des éditions de Martial, ajoutez l'article suivant :

Parmi les modernes qui ont cultivé l'épigramme en latin, Owen tient certainement l'un des premiers rangs; aussi l'a-t-on surnommé le Martial d'Angleterre. La meilleure édition de son ouvrage est celle-ci :

Audoeni epigrammata, editio prioribus auctior, cura Ant. Aug. Renouard. Parisiis, typis P. Didot, 1794, 2 vol. gr. in-18 pap. vél. ; 10 fr.

On en a tiré 12 exempl. in-12, gr. pap., 4 sur VÉLIN, et 4 gr. pap. in-8°.

Epigrammatum Joan. Oveni Cambro-Britanni Oxoniensis, editio postrema, etc. Amsterodami, ap. Lud. Elzevirium, 1647, pet. in-16; 5 à 6 fr.

Il y a deux éditions sous cette date, également belles; mais celle de 1679, Daniel Elzevir, pet. in-12, est mal imprimée. Nous ne devons pas oublier les Épigrammes choisies d'Owen, trad. en vers français par feu M. de Kérivalant, auxquelles on a joint diverses imitations par P. Corneille, S. Ussaus, La Monnoie, etc. etc., publiées par M. de Labouisse. Lyon, 1819, gr. in-18. Ce

volume est très intéressant; le sayant éditeur y a fourni d'heureuses imitations, ainsi que MM. Breghot et Pericaud; et l'on y trouve, outre les nombreuses pièces de poésie très piquantes, des notes et des recherches d'érudition curieuses.

Toм. II, pag. 303. Ajoutez aux éditions de Juvénal et Perse, la suivante :

A. Persii Flacci, D. Juvenalis et Sulpicia satyræ. Parisiis, Coustelier, 1746, in-12; 5 à 6 fr.

La même avec un nouveau frontispice de Barbou, 1754; il y a une nouvelle édition 1776, in-12, et une de 1801, aussi in-12. La dissertation de satyra Juvenalis, par N. Rigault, adressée à J. A. de Thou, est au commencement du volume.

TOM. II, pag. 373. Il faut ajouter aux éditions de Quinte-Curce, la suivante :

Quinti Curtii de rebus gestis Alexandri Magni libri decem. Parisiis, Barbou, 1757, in-12; 5 fr.

Le texte est celui de Snakenburg, conféré avec les manuscrits de Paris.

Toм. II, pag. 385. Au commencement de cette page, où il est question des Révolutions de Suède, par l'abbé de Vertot, il faut ajouter Histoire de Charles XII, roi de Suède. Paris, P. Didot l'aîné, 1818, 1 vol. in-8o; 4 fr. 50 c., 7 fr. 50, ou 15 fr. selon les papiers. (Ce volume fait partie de la collection typographique. )

TOM. II. pag. 382. En tête des abréviateurs latins, avant Velleius Paterculus, placez l'auteur suivant.

Justini Historiæ, interpretatione et notis illustravit Pet. Jos. Cantel, ad usum Delphini. Parisiis, 1677, in4o; 15 à 18 fr.

Eædem Historiæ, cum notis variorum, ex recensione Abr. Gronovii. Ludg. Batav., 1760, in-8°; 15 d 18f.

Fort bonne édition.

Eædem Historia. Parisiis, Barbou, 1770, in-12; 6 à 7 fr.

Justini historiarum ex Trogo Pompeio libri XLIV,

cum notis Isaaci Vossii. Lugd. Batav., ex officiná Elzevirianá, 1640, pet. in-12; 12 à 15 fr.

On connoît deux éditions sous cette date, l'une avec une épître dédicatoire qui n'est pas dans l'autre, et celle-ci avec des sommaires qui manquent à la première. Celle qui a les sommaires paroît préférable. Il y a des réimpressions d'Amsterdam, avec les sommaires, en 1656 et 1673, moins recherchées que la première édition.

Histoire universelle, extraite de Trogue - Pompée, trad. avec des notes, par l'abbé Paul. Paris, Barbou, 1774, 2 vol. in-12; 6 fr.

Tom. II, pag. 393. Ajoutez à l'article où il est question du siècle de Louis XIV, l'édition suivante :

Siècles de Louis XIV et de Louis XV, par Voltaire. Paris, P. Didot l'aîné, 1821, 4 vol. in-8°; 18 f., 30 f. on 60 f., selon les papiers. (Cette édition appartient à la collection typographique.)

Tom. II, pag. 394. A la suite des mémoires pour servir à l'histoire de la maison de Condé, ajoutez l'article suivant :

Histoire de la guerre de la Vendée, ou Tableau des guerres civiles de l'Ouest, depuis 1792 jusqu'en 1815, comprenant l'Histoire secrète du parti royaliste jusqu'au rétablissement des Bourbons. Quatrième édition, par M. Alph. de Beauchamp. Paris, L.-G. Michaud, 1820, 4 vol. in-8°, cart. et portr. ; 30 fr.

Tом. II, pag. 427. Nous avons cité une ordonnance de Henri II, rendue en 1556, à l'instigation de Raoul de Spifame, et portant que les libraires, imprimeurs, etc., seront obligés de déposer à la bibliothèque royale un exemplaire, imprimé sur vÉLIN, de tout ouvrage pour lequel ils demanderont un privilège, etc. Nous nous empressons de rectifier l'erreur de fait qui se trouve dans ce passage, d'après une note de M. Van Praet, placée au bas de la première page de la préface de son beau Catalogue des livres imprimés sur vélin de la bibliothèque du Roi, Paris, De Bure frères, 1822, ( et non 1823, ) 5 tomes en 4 vol. in-8o, que nous re

cevons à l'instant de sa mise en vente (fin de février 1823). Voici la note qui rectifie notre erreur : « On a souvent cité, dit M. Van « Praet, un édit de Henri II, par lequel ce monarque ordonnoit « à tout imprimeur de tirer sur vélin, pour être déposé dans sa « bibliothèque du Louvre, un exemplaire de chacun des ouvrages « qui sortiroient de ses presses; mais cet édit n'a jamais existé « que dans le livre intitulé: Dicœarchiæ Henrici regis christia« nissimi progymnasmata (1556), in-8°; et on sait que beaucoup « d'autres édits de bien public, insérés dans cet ouvrage qu'on « attribue à Jacques Spifame, n'ont été imaginés que pour indi«< quer au Gouvernement des améliorations qu'il y auroit à intro«<duire dans toutes les parties de l'administration du royaume. »

Tout en témoignant notre reconnoissance à M. Van Praet, pour nous avoir mis dans le cas de rectifier une véritable erreur, nous dirons qu'il nous semble que ce n'est point Jacques, mais bien Raoul de Spifame son frère, qui est auteur des prétendus édits en question. Jacques Spifame, évêque de Nevers, et apostat, dont les calvinistes ont terminé la vie scandaleuse, par le dernier supplice, à Genève, le 23 mars 1566, pour cause d'adultère, n'a laissé aucun écrit remarquable, si ce n'est la harangue qu'il prononça à la diète de Francfort, en faveur des calvinistes, et qu'on trouve dans les mémoires de Castelnau et de Condé; au lieu que son frère Raoul, avocat au Parlement de Paris, homme instruit, mais devenu fou, et mort en novembre 1563, a toujours passé pour l'auteur des édits en question. Ils sont au nombre de 309', qu'il suppose avoir été rendus par Henri II, en 1556. Il y en a beaucoup d'impraticables; mais quelques-uns annonçoient des vues justes et même qui ont été exécutées par la suite. De ce nombre sont le commencement de l'année au 1.er janvier, l'abolition des justices seigneuriales dans les grandes villes, l'agrandissement de la bibliothèque du roi par le dépôt d'un exemplaire, etc. M. Auffray a pris dans cet ouvrage ce qu'il y avoit de meilleur, et l'a publié sous le titre de Vues d'un politique du seizième siècle, Paris, 1775, in-8°.

TABLE

DES MATIÈRES.

La lettre a désigne la pagination du premier volume; la lettre b, celle du second; et les chiffres romains indiquent celle du discours préliminaire; les notes sont marquées par z.

A

ABRÉGÉS chronolog. (collection Alaric, poëme ridicule de Scu

des), b, 363-365. Académie française; notice sur les éloges de ses membres, b, 245. Académie des inscriptions; ses mémoires, b, 406. Académie des sciences; notice sur les éloges de ses membres, b, 245; ses mémoires,b, 407. Achaintre (M.), éditeur des Comment. de César, b, 378; de Juvénal et de Perse, b, 303; de Phèdre, b, 300. Achilles Tatius, romancier gr., b, 323. Adam (Alexand.), auteur des Antiquit. romaines, b, 404. Adolphus (M.), continuateur de Hume, b, 397. Adrien (l'emper.), son goût dépravé en littérature, a, 70. Adry (M.), éditeur de Télémaque, b, 187; - de Quintilien, b, 231. Agriculture (ouvrages sur l'), b, 213.

Aignan (M.), trad. d'Homère, b, 256.

Aikin, historien anglais, b, 397.

deri, a, 127. Alexandre-le-Grand, passionné pour Homère, a, 35. Alfieri, éditions de son théâtre, b, 286.

Alfred-le-Grand, son goût pour Esope, a, 84.

Alletz, son Dictionnaire des Conciles, b, 140; - son Histoire de la Grèce, b, 364. Amadutius, éditeur de Théophraste, b, 189. Amar (M.), éditeur de Catulle et Tibulle, b, 293; — de Cornelius Nepos, b, 400; - de Florus, b, 383; d'Horace, b, 295; -de Lucain, b, 263; de Lucrèce, b, 292; d'Ovide, b, 298; de Phèo dre, b, 301; b, 294; de Salluste, b, 377; de Tacite, b, 380; -de Virgile, b, 260. (Cette collection in-32 aura 62 vol.)

-

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de Properce,

Du même M. Amar, Cours de Rhétorique, b, 231; son édition d'Ovide, in-8°, b, 297; son édition de J.-R. Rousseau, b, 314; - trad, du

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