Mémoires de la Société des lettres, sciences et arts de l'Aveyron, Volume 21

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Page 391 - Il sera créé et organisé une instruction publique, commune à tous les citoyens, gratuite à l'égard des parties d'enseignement indispensables pour tous les hommes, et dont les établissements seront distribués graduellement, dans un rapport combiné avec la division du royaume.
Page 359 - ... degré de distinction qui les place au-dessus de la .médiocrité et les rend propres à répandre l'instruction, soit par des écrits conçus dans le silence du cabinet, soit par des ouvrages de...
Page 219 - Languedoc, qui en avait le parler à l'excès, carrée, entre deux tailles , fort maigre , le visage jaune , extrêmement laid, des yeux très-vifs, une physionomie ardente, mais qu'elle savait adoucir; vive, éloquente, savante, avec un air prophétique qui imposait.
Page 292 - Item de ne mesdire d'aucun de mes Anciens Docteurs, Maistres Pharmaciens, ou autres quels qu'ils soient. Item de rapporter tout ce qui me sera possible pour l'honneur, la gloire, l'ornement et la Majesté de la Médecine. Item de n'enseigner point aux idiots et ingrats les secrets et raretez d'icelle.
Page 111 - Quel plaisir at-il eu depuis qu'il est au monde? En est-il un plus pauvre en la machine ronde? Point de pain quelquefois, et jamais de repos...
Page 292 - Je jure et promets devant Dieu, auteur et créateur de toutes choses, unique en essence et distingué en trois personnes éternellement bienheureuses , que j'observerai...
Page 219 - C était une vieille Gasconne, ou plutôt du Languedoc, qui en avait le parler à l'excès, carrée, entre deux tailles, fort maigre, le visage jaune, extrêmement laid, des yeux très vifs, une physionomie ardente, mais qu'elle savait adoucir ; vive, éloquente, savante, avec un air prophétique qui imposait. Elle dormait peu et sur la dure-, ne mangeait presque rien, assez mal vêtue, pauvre et qui ne se laissait voir qu'avec mystère.
Page 219 - Gué , si célèbre par son esprit et ses ouvrages et d'une si sage et véritable piété, fut un de ses plus grands admirateurs et l'a été toute sa vie. M. BoileaU , chassé depuis de l'archevêché honnêtement pour le problème , en fut un autre.
Page 221 - Savoie en 1715; car elle était retirée à Annecy. Cependant, vers la fin de sa vie, témoin dégoûté des Convulsions qui n'étaient ellesmêmes que les conséquences extrêmes de ces premières extases et folies, il disait : « J'ai été une fois trompé, je ne veux pas l'être deux ; j'ai été la dupe de la sœur Rose, je ne veux point l'être des Convulsionnaires.
Page 394 - II ya, pour toute la République, un Institut national chargé de recueillir les découvertes, de perfectionner les arts et les sciences.

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