Mercure de France, Volume 56Cailleau, 1813 |
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Page 40
... réuni un bon bataillon de la garde à pied , qui se composait d'hommes fatigués ou gelés qui s'étaient réfugiés dans la place . l'en La place avait ses vivres assurés pour une année : les gens de l'art estiment qu'elle pourrait soutenir ...
... réuni un bon bataillon de la garde à pied , qui se composait d'hommes fatigués ou gelés qui s'étaient réfugiés dans la place . l'en La place avait ses vivres assurés pour une année : les gens de l'art estiment qu'elle pourrait soutenir ...
Page 61
... réuni , dans cette occasion comme dans les précédentes , deux genres d'argumens et de démonstrations , l'une pour l'esprit , l'autre pour les yeux , qu'il serait à souhaiter que l'on pût faire souvent concourir ensemble , lorsqu'il s ...
... réuni , dans cette occasion comme dans les précédentes , deux genres d'argumens et de démonstrations , l'une pour l'esprit , l'autre pour les yeux , qu'il serait à souhaiter que l'on pût faire souvent concourir ensemble , lorsqu'il s ...
Page 86
... réuni ses bataillons . Chaque jour il arrive une grande quantité de bataillons de marche qui passent l'Elbe à Magdebourg , à Wittemberg , à Torgau , à Dresde . S. M. passe tous les jours la revue de ceux qui arrivent par Dresde . Les ...
... réuni ses bataillons . Chaque jour il arrive une grande quantité de bataillons de marche qui passent l'Elbe à Magdebourg , à Wittemberg , à Torgau , à Dresde . S. M. passe tous les jours la revue de ceux qui arrivent par Dresde . Les ...
Page 88
... réuni ; on espère pourtant qu'il le sera sous quelques jours . Si on a perdu un mois , la faute n'en est pas à la France . L'Angleterre , qui n'a pas d'argent , n'a pu en fournir aux coalisés ; mais elle vient d'imaginer un expédient ...
... réuni ; on espère pourtant qu'il le sera sous quelques jours . Si on a perdu un mois , la faute n'en est pas à la France . L'Angleterre , qui n'a pas d'argent , n'a pu en fournir aux coalisés ; mais elle vient d'imaginer un expédient ...
Page 114
... réuni , au moins en très - grande partie , les conditions que Voltaire exige pour la profes- sion de critique . Nous serions même tentés de croire qu'il était sans envie , quoiqu'on ait pu l'en accuser ; nous en donnerions pour raison ...
... réuni , au moins en très - grande partie , les conditions que Voltaire exige pour la profes- sion de critique . Nous serions même tentés de croire qu'il était sans envie , quoiqu'on ait pu l'en accuser ; nous en donnerions pour raison ...
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Common terms and phrases
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Popular passages
Page 80 - Les concurrens sont prévenus que l'Académie ne rendra aucun des ouvrages qui auront été envoyés au concours; mais les auteurs auront la liberté d'en faire prendre des copies s'ils en ont besoin.
Page 471 - Il est donc vrai que l'exercice de toutes les vertus sociales, des services importants rendus à la patrie, une carrière utilement employée pour le progrès des arts et des connaissances humaines ne suffisent pas pour préserver d'une fin sinistre et pour éviter de périr en coupable!
Page 309 - J'allai le jour suivant flatter un financier. Mercredi, je courus à la pièce nouvelle : Tout le monde était pour, et moi je fus contre elle. La satire embellit les plus simples propos, Et l'admiration est le style des sots. Jeudi, j'eus de l'humeur, je me boudai moi-même.
Page 80 - Ils devront être adressés, francs de port, au Secrétariat de l'Institut, avant le terme prescrit, et porter chacun une épigraphe ou devise qui sera répétée dans un billet cacheté joint au Mémoire, et contenant le nom de l'auteur.
Page 393 - La Gaule poétique, ou l'histoire de France considérée dans ses rapports avec la poésie, l'éloquence et les beaux-arts, Paris, CF.
Page 309 - Avec le petit duc et la grosse comtesse : Lundi, jour malheureux ! Un maudit créancier, :Automate indocile , homme sans politesse , Sous prétexte qu'il doit lui-même , et qu'on le presse , Me voulut sans délai contraindre à le payer : J'allai le jour suivant flatter un financier : Mercredi, je courus à la pièce nouvelle , Tout le monde était pour, et moi, je fus contre elle ; La satire...
Page 128 - Après avoir entendu cette lecture, je me suis plus que jamais confirmé dans l'opinion que la vraie tragédie, celle qui n'existe point en France, celle qui est encore à créer, ne pourra être écrite qu'en prose, et ne s'accommodera jamais du langage pompeux, arrondi et phrasier du vers alexandrin. Il est impossible de donner à ce vers moins d'emphase, plus de force et de simplicité qu'il n'en a dans l'ouvrage de M.
Page 471 - ... pour ma famille, c'est d'être dénué de tout, et de ne pouvoir lui donner, ni à elle ni à vous, aucun gage de mon attachement et de ma reconnaissance.
Page 471 - II est donc vrai que l'exercice de toutes les vertus sociales, des services importants rendus à la patrie, une longue carrière utilement employée pour le progrès des arts et des connaissances humaines...
Page 494 - Louer par fade idolâtrie, Ou par désir d'être flatté; Médire par oisiveté, Quelquefois par méchanceté, Plus souvent par coquetterie; Quitter Cléon par fantaisie, Aimer un duc par vanité, Un jeune fat par jalousie : Tel est ce monde tant fêté, Telle est la bonne compagnie. Quoi! faut-il chercher le bonheur Sans cesse...