Œuvres de Clement Marot valet-de-chambre de François I. Roy de France,: Preface historiqueChez P. Gosse & J. Neaulme., 1731 - French poetry |
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... Sans vilenie , en moi prins ton plaifir , Plus que ravy , voyant ta douce amye Entre tes bras doucement endormie . Là tes beaux yeux ne fe pouvoient faouler : Et fi difois ( pour plus te confoler ) Semblables mots en gemiffante aleine ...
... Sans vilenie , en moi prins ton plaifir , Plus que ravy , voyant ta douce amye Entre tes bras doucement endormie . Là tes beaux yeux ne fe pouvoient faouler : Et fi difois ( pour plus te confoler ) Semblables mots en gemiffante aleine ...
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... Sans forvoyer par ta parolle lente Ce povre humain hors la voye d'honneur : Et toi , Amy , croi moy , car guerdonneur Je te ferai , fi craintif ne te fens : Croi donc Mercure , emploie tes cinq fens , ' Cueur & efprit , & fantafie toute ...
... Sans forvoyer par ta parolle lente Ce povre humain hors la voye d'honneur : Et toi , Amy , croi moy , car guerdonneur Je te ferai , fi craintif ne te fens : Croi donc Mercure , emploie tes cinq fens , ' Cueur & efprit , & fantafie toute ...
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... Sans ( 1 ) Hallecrets . ] Efpece de corfelet de fer battu ; il eft de deux pieces , l'une devant , & l'autre derriere , mais plus léger que la cuiraffe . ( 2 ) St. Pol . ] François de Bourbon Comte de St. Pol . Sans qu'aucun d'eux fe ...
... Sans ( 1 ) Hallecrets . ] Efpece de corfelet de fer battu ; il eft de deux pieces , l'une devant , & l'autre derriere , mais plus léger que la cuiraffe . ( 2 ) St. Pol . ] François de Bourbon Comte de St. Pol . Sans qu'aucun d'eux fe ...
Page 22
Clément Marot Nicolas Lenglet Dufresnoy. Sans qu'aucun d'eux fe montre lasche , ou mol . Souventefois par devant la maifon De Monfeigneur viennent à grand foifon Donner l'aubade à coups de hacquebutes , D'un autre accord qu'efpinettes ...
Clément Marot Nicolas Lenglet Dufresnoy. Sans qu'aucun d'eux fe montre lasche , ou mol . Souventefois par devant la maifon De Monfeigneur viennent à grand foifon Donner l'aubade à coups de hacquebutes , D'un autre accord qu'efpinettes ...
Contents
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Common terms and phrases
Adieu affez ainfi amour auffi avecques avoit Ballade beau belle C'eft C'eſt C'étoit caufe ceffe cefte celuy chafcun chaffe Chanfon Chant chofe Clement Marot cueur d'eftre Dame deffus defirée Diane de Poitiers Dieu difant dire donques dreffer dueil efcrit efté eftoit eftre ENVO EPITRE eſt eſtre étoit euft fage faict faifoit falut fans fçavez fçavoir fceu femble fens fent fera feroit Ferrare fervir feul feur fien foit font fous fouvent François fuis fuivant grace grans j'ay Jean de Parthenay joye jufques l'amour laiffer lieffe loing Lyon Lyon Jamet Madame Marguerite maint mauvaiſe mefme merite Michel Marot Monfeigneur Monfieur monftre mort Mufes n'eft Navarre noble noftre nuict paffer penfe perfonne plaifir plufieurs poëfies Poëte povre prefente premiere Prince Princeffe puiffant raifon rithme RONDEAU Sagon tefte toft tousjours Triumphe veoir veux Villemanoche voftre voſtre vray vueille
Popular passages
Page 414 - Qui voudra donc qu'à aimer je me fonde, II faut premier que l'amour on refonde, Et qu'on la mène ainsi qu'on la menoit Au bon vieux temps.
Page 92 - de cent pas à la ronde, Au demeurant, le meilleur fils du monde...
Page 88 - Encor posé le cas , que l'eusse faict , Au pis aller n'y cherroit, qu'une amende. Prenez le cas, que je la vous demande, Je prens le cas , que vous me la donnez : Et si plaideurs furent onc estonnez Mieulx que ceulx cy, je veulx qu'on me delivre , Et que soudain en ma place on les livre.
Page 272 - Et pource qu'elle est tousjours belle, Mes amours durent en tout temps. Celle dont je dy tout cecy, C'est Vertu, la nymphe éternelle...
Page 322 - Qui pour l'oultrepasse trespasse. Dieu des amans, de mort me garde, Me gardant donne moy bonheur, Et me le donnant prens ta darde, En la prenant navre son cueur; En le navrant me tiendras seur, En seurté suyvray l'accointance ; En l'accointant, ton serviteur En servant aura jouyssance.
Page 92 - Vostre cueur noble en sçauroit bien que dire; « Et moy, chetif, qui ne suis Roy ne rien, L'ay esprouvé. Et vous compteray bien. Si vous voulez, comment vint la besongne. J'avois...
Page 414 - C'estoit donné toute la terre ronde, Car seulement au cueur on se prenoit. Et si, par cas, à, jouyr on venoit, Sçavez-vous bien comme on s'entretenoit? Vingt ans, trente ans : cela duroit un monde Au bon vieulx temps.
Page 94 - Ce Monsieur là (Syre) c'estoit moy mesme, Qui, sans mentir, fuz au matin bien blesme, Quand je me vey sans honneste vesture, Et fort fasché de perdre ma monture; Mais de l'argent que vous m'aviez donné...
Page 94 - Tous les plus beaux, et puis s'en habilla Si justement qu'à le veoir ainsi estre, Vous l'eussiez prins, en plain jour, pour son maistre.
Page 96 - N'est pour vous faire ou requête ou demande : Je ne veux point tant de gens ressembler Qui n'ont souci autre que d'assembler ; Tant qu'ils vivront ils demanderont, eux ; Mais je commence à devenir honteux, Et ne veux plus à vos dons m'arrêter. Je ne dis pas, si voulez rien prêter, Que ne le prenne. Il n'est point de prêteur, . S'il veut prêter, qui ne fasse un debteur. Et savez-vous, Sire, comment je paye...