| Gilbert Urbain Guillaumin - Economics - 1854 - 1012 pages
...C'est par la convention qui se fait habituellement entre ces deux personnes (le maître et l'ouvrier), dont l'intérêt n'est nullement le même, que se...élever les salaires, les seconds pour les abaisser. « II n'est pas difficile de prévoir lequel des deux partis, dans toutes les circonstances ordinaires,... | |
| Jean-Guillaume-César-Alexandre-Hippolyte baron de Colins - Social sciences - 1854 - 450 pages
...n'est nullement le même, que se « détermine le taux commun des salaires. Les ouvriers dési« rant gagner le plus possible ; les maîtres donner le moins...qu'ils peuvent; les premiers sont disposés à se con« certer ensemble pour élever les salaires, les seconds pour t les abaisser. » — Toutes ces... | |
| Charles Coquelin - Economics - 1864 - 1026 pages
...que se détermine le taux commun des salaires. Les ouvriers désirent gagner le plus possible; les j maîtres, donner le moins qu'ils peuvent; les premiers...élever les salaires, les seconds pour les abaisser. « 11 n'est pas difficile de prévoir lequel des deux partis, dans toutes les circonstances ordinaires,... | |
| Agathon de Potter - Socialism - 1866 - 332 pages
...personnes, dont l'intérêt n'est nullement le même, que se détermine le taux commun du salaire. Les ouvriers désirent gagner le plus possible; les maîtres, donner le moins possible ; les premiers sont disposés à se concerter pour élever les salaires ; les seconds, pour... | |
| Agathon de Potter - Socialism - 1866 - 332 pages
...personnes, dont l'intérêt n'est nullement le même, que se détermine le taux commun du salaire. Les ouvriers désirent gagner le plus possible; les maîtres, donner le moins possible : les premiers sont disposés à se concerter pour élever les salaires ; les seconds, pour... | |
| Société académique d'agriculture, belles-lettres, sciences et arts de Poitiers - 1867 - 856 pages
...avec les patrons : « C'est par la convention qui se fait habituellement entre ces deux contractants, dont l'intérêt n'est nullement le même, que se...les maîtres donner le moins qu'ils peuvent ; les combinaisons des premiers tendent à élever les salaires, r'elles des autres à les abaisser. « Avec... | |
| 1867 - 504 pages
...admet cette efficacité pour la modification du taux commun du salaire. « Les ouvriers, dit-il , » désirent gagner le plus possible, les maîtres donner...élever » les salaires, les seconds, pour les abaisser. » Mais les maîtres, plus forts, ont l'avantage dans le débat, et imposent leurs conditions; les... | |
| Positivism - 1867 - 548 pages
...admet cette efficacité pour la modification du taux commun du salaire. « Les ouvriers, dit-il, » désirent gagner le plus possible, les maîtres donner...élever > les salaires, les seconds, pour les abaisser. » Mais les maîtres, plus forts, ont l'avantage dans le débat, et imposent leurs conditions; les... | |
| Michel Gustave Partounau Du Puynode - Economics - 1868 - 530 pages
...se déterminent, dit-il, par la convention qui se fait entre les ouvriers et les entrepreneurs. « Les ouvriers désirent gagner le plus possible, les...élever les salaires, les seconds pour les abaisser. » C'est fort juste; mais il laisse ignorer ce qu'est réellement le salaire, cette part afférente... | |
| Hermann Schulze-Delitzsch - Banks and banking - 1874 - 302 pages
...propriélaire du capital, que se détermine le taux « commun des salaires. Les ouvriers désirent ga« gner le plus possible, les maîtres donner le moins «...élever les salaires, les seconds « pour les abaisser. « II n'est donc pas difficile de prévoir laquelle « des deux p;.. ..es, dans toutes les circonstan«... | |
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