Histoire illustrée de la littérature française |
From inside the book
Results 1-5 of 91
Page 14
... gens qui ne lisaient pas le texte et qui ne devaient jamais le lire ( ce qui , aujourd'hui , n'est même plus le cas du théâtre ) , ces défauts passaient inaperçus , et étaient néces- saires . 2o Jusqu'au quinzième siècle , et surtout en ...
... gens qui ne lisaient pas le texte et qui ne devaient jamais le lire ( ce qui , aujourd'hui , n'est même plus le cas du théâtre ) , ces défauts passaient inaperçus , et étaient néces- saires . 2o Jusqu'au quinzième siècle , et surtout en ...
Page 58
... gens et de ( 1 ) M. L. Clédat a donné une analyse de ces lais , avec de nombreuses citations , dans l'Histoire de la littérature française ( Julleville - Colin , 1896 ) , t . I , p . 285 . ( 2 ) Nous avons deux romans en vers sur ...
... gens et de ( 1 ) M. L. Clédat a donné une analyse de ces lais , avec de nombreuses citations , dans l'Histoire de la littérature française ( Julleville - Colin , 1896 ) , t . I , p . 285 . ( 2 ) Nous avons deux romans en vers sur ...
Page 67
... gens peu lettrés , qui n'ont jamais lu et ne liront jamais les œuvres anciennes , et au goût desquels ils doivent s'accommoder . Or , ces cheva- liers et ces dames ne connaissent que la guerre et l'amour , et selon certains rites et ...
... gens peu lettrés , qui n'ont jamais lu et ne liront jamais les œuvres anciennes , et au goût desquels ils doivent s'accommoder . Or , ces cheva- liers et ces dames ne connaissent que la guerre et l'amour , et selon certains rites et ...
Page 116
... gens . - Les représentations . Les Mystères étaient représentés , en général , comme le prouvent des documents nombreux , à leur date liturgique : fète de saint , semaine sainte , etc. On les jouait aussi pour attirer la protection du ...
... gens . - Les représentations . Les Mystères étaient représentés , en général , comme le prouvent des documents nombreux , à leur date liturgique : fète de saint , semaine sainte , etc. On les jouait aussi pour attirer la protection du ...
Page 122
... gens lettrés était choqué par les grossiers défauts d'un art très inégal et qui restait le plus souvent trop inférieur à la dignité du sujet . Mais on aurait tort de croire que les Mystères disparurent simultanément de toutes les villes ...
... gens lettrés était choqué par les grossiers défauts d'un art très inégal et qui restait le plus souvent trop inférieur à la dignité du sujet . Mais on aurait tort de croire que les Mystères disparurent simultanément de toutes les villes ...
Other editions - View all
Common terms and phrases
Boileau Bossuet Bruyère caractère célèbre chansons de geste chap chapitre Charlemagne Charles Chateaubriand chrétienne classique Colin comédie compose contemporains Corneille cour critique cycle d'abord D'après l'estampe D'après une estampe D'après une miniature discours dix-huitième siècle dix-neuvième siècle dix-septième siècle donne dramatique drame écrit écrivains édition Fables FAGUET femme Fénelon fille Fontaine François Ier génie genre goût Hachette Henri Histoire imité Jean jeune JULLEVILLE l'Académie l'amour l'histoire Lamartine latin lettres Litt littéraire littérature française livre Louis XIV lyrique lyrisme Malherbe Marivaux Marot ment Mlle Mme de Sévigné Mme de Staël mœurs Molière Montaigne Montesquieu morale Morceaux choisis mort moyen âge Mystères œuvres ouvrages Pascal passions père personnages philosophie pièces poème poésie poète poétique politique Port-Royal PORTRAIT premier prose psychologie publié quatorzième Rabelais Racine Renart Roland roman Ronsard Rousseau Rutebeuf saint salon satire scène seizième siècle sentiments sermons seulement société style succès sujet surtout théâtre tion tragédie treizième Victor Hugo Villon Voltaire
Popular passages
Page 312 - Le premier était de ne recevoir jamais aucune chose pour vraie que je ne la connusse évidemment être telle; c'est-à-dire d'éviter soigneusement la précipitation et la prévention, et de ne comprendre rien de plus en mes jugements que ce qui se présenterait si clairement et si distinctement à mon esprit que je n'eusse aucune occasion de le mettre en doute.
Page 626 - Si le rétablissement des sciences et des arts a contribué à épurer les mœurs.] Traduit en russe par Paul Potemkine, 1768.
Page 312 - Le second, de diviser chacune des difficultés que j'examinerais en autant de parcelles qu'il se pourrait et qu'il serait requis pour les mieux résoudre. Le troisième, de conduire par ordre mes pensées, en commençant par les objets les plus simples et les plus, aisés à connaître, pour monter peu à peu comme par degrés jusques à la connaissance des plus composés...
Page 368 - PENSÉES || de || M. Pascal || sur la Religion || et sur quelques || autres sujets, || qui ont esté trouvées après sa mort || parmy ses papiers.
Page 468 - Que faudrait-il faire pour contenter des juges si difficiles? La chose serait aisée, pour peu qu'on voulût trahir le bon sens. Il ne faudrait que s'écarter du naturel pour se jeter dans l'extraordinaire. Au lieu d'une action simple, chargée de peu de matière, telle que doit être une action qui se passe en un seul jour, et qui, s'avançant par degrés vers sa fin, n'est soutenue que par les intérêts, les sentiments et les passions des personnages, il faudrait remplir cette même action de...
Page 420 - ... d'auteur, que pour mettre une vérité qu'il a trouvée dans tout le jour nécessaire pour faire l'impression qui doit servir à son dessein. Quelques lecteurs croient néanmoins le payer avec usure s'ils disent magistralement qu'ils ont lu son livre , et qu'il ya de l'esprit : mais il leur renvoie tous leurs éloges qu'il n'a pas cherchés par son travail et par ses veilles. Il porte plus haut ses projets, et agit pour une fin plus relevée : il demande des hommes un plus grand et un plus rare...
Page 642 - Où pourrai-je trouver la paix ? Je veux, et n'accomplis jamais; Je veux : mais (ô misère extrême ! ) Je ne fais pas le bien que j'aime , Et je fais le mal que je hais.
Page 753 - L'homme est un apprenti, la douleur eSt son maître, Et nul ne se connaît tant qu'il n'a pas souffert.
Page 694 - Le romanticisme est l'art de présenter aux peuples les œuvres littéraires qui, dans l'état actuel de leurs habitudes et de leurs croyances, sont susceptibles de leur donner le plus de plaisir possible.
Page 648 - Les premiers jours du printemps ont moins de grâce que la vertu naissante d'un jeune homme . Les feux de l'aurore ne sont pas si doux que les premiers regards de la gloire.