Traités d'Hippocrate,: de la nature de l'homme, de l'ancienne médecine, des humeurs, de l'art médical, |
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Page i
... étoit stationnaire ou purement empirique . Il fallut inventer des mé- thodes factices et créer des nomen- clatures . Tous les siècles se ressem- blent sous ce dernier rapport , mal- gré les progrès de l'esprit humain . On s'aperçut peut ...
... étoit stationnaire ou purement empirique . Il fallut inventer des mé- thodes factices et créer des nomen- clatures . Tous les siècles se ressem- blent sous ce dernier rapport , mal- gré les progrès de l'esprit humain . On s'aperçut peut ...
Page ii
... étoit défendu sous peine de mort , de faire autre chose pour le soula- gement des malades , que ce qui étoit ordonné dans le livre de Trismegiste , alors dieu de la médecine . Ce ne fut que long - temps après , qu'il s'éleva parmi les ...
... étoit défendu sous peine de mort , de faire autre chose pour le soula- gement des malades , que ce qui étoit ordonné dans le livre de Trismegiste , alors dieu de la médecine . Ce ne fut que long - temps après , qu'il s'éleva parmi les ...
Page iii
... étoit le premier pas pour arriver , soi - même , à l'expé- rience . Mais on administroit tou- jours les mêmes médicaments ; c'é- toit toujours le même traitement Podalyre , qui suivirent Agamemnon au siège de Troye . Homère , dans son ...
... étoit le premier pas pour arriver , soi - même , à l'expé- rience . Mais on administroit tou- jours les mêmes médicaments ; c'é- toit toujours le même traitement Podalyre , qui suivirent Agamemnon au siège de Troye . Homère , dans son ...
Page iv
... étoit suivi ; en un mot , l'art de guérir se bornoit à quelques for- mules empiriques . Chez les Mèdes , les Assyriens et les Babyloniens , les malades étoient exposés publiquement dans les car- refours , pour y recevoir les conseils et ...
... étoit suivi ; en un mot , l'art de guérir se bornoit à quelques for- mules empiriques . Chez les Mèdes , les Assyriens et les Babyloniens , les malades étoient exposés publiquement dans les car- refours , pour y recevoir les conseils et ...
Page vi
... étoit livrée non seu- lement aux systèmes des philoso- phes ; mais bien pis encore , elle étoit ensevelie dans d'épaisses ténèbres et enveloppée des langes de la supersti- tion . On faisoit coucher les malades sur des peaux vi PRÉFACE .
... étoit livrée non seu- lement aux systèmes des philoso- phes ; mais bien pis encore , elle étoit ensevelie dans d'épaisses ténèbres et enveloppée des langes de la supersti- tion . On faisoit coucher les malades sur des peaux vi PRÉFACE .
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Popular passages
Page xvi - Épidémies, l'r et â° livres; du Régime dans les maladies aiguës ; des Airs; des Eaux et des Lieux ; des Articulations; des Fractures ; des Instruments de réduction ; des Plaies de tête ; le Serment; la Loi.
Page xlii - Il sembloit que la nature eût pris plaisir à lui révéler les plus secrets mystères de l'intérieur des hommes, et qu'elle exposât continuellement à ses yeux ce qu'ils affectoient le plus de cacher à ceux de tout le monde.
Page xxxvi - Traités d'Hippocrate de la nature de l'homme, de l'ancienne médecine , des humeurs, de l'art médical.
Page 361 - ait brillé aux yeux des hommes pour » que son éclat ne puisse désormais être » obscurci , et même pour qu'il s'ac» croisse, et qu'il éclaire un jour la sti
Page xliii - ... ses yeux ce qu'ils affectoient le plus de cacher à ceux de tout le monde. Avec quelles expressions, avec quelles couleurs ne les at-il point dépeints ? Ecrivain plein de traits et de feu, qui par un tour fin et singulier, donnoit aux paroles plus de force qu'elles n'en avoient par elles-mêmes ; peintre hardi et heureux, qui dans tout ce qu'il peignoit en faisoit toujours plus entendre qu'il n'en faisoit voir. » La Bruyère est entré plus avant que Tl1éophraste dans le cœur <le l'homme...
Page 343 - Chez les animaux auxquels on a fait avaler une certaine quantité d'alcool , l'odeur alcoolique s'exhale par les incisions que l'on pratique à la surface de leur corps. Les hommes morts ! d'ivresse...
Page xlv - Le sommeil est causa par la retraite du sang aux veines confluentes ; et l'éveil , par la diliusion de ce liquide : son absence totale donne la mort. — L'Isonomie, ou équilibre des facultés corporelles , c'est-à-dire du chaud , du froid ; de l'humide , du sec ; du doux , de l'amer, etc., constitue la santé: l'équilibre rompu , survient la maladie ; car la faculté prédominante corrompt toutes les autres.
Page 360 - La fièvre fut donc alors déclarée provisoirement indéfinissable, vu l'état actuel de la science sur cet objet , parce qu'il fallait la décrire auparavant et en pénétrer la nature, s'il était possible.
Page 263 - ... importantes découvertes , son système sur les causes des maladies prouve une ignorance absolue de la destination et des fonctions des principaux viscères.