Traités d'Hippocrate,: de la nature de l'homme, de l'ancienne médecine, des humeurs, de l'art médical, |
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Page iv
... certaine de la médecine , chez les Hébreux . Le législateur Moïse a consigné , dans la Bible , des faits très- remarquables , relativement au res- pect et à la reconnoissance qu'il re- commande de porter iv PRÉFACE .
... certaine de la médecine , chez les Hébreux . Le législateur Moïse a consigné , dans la Bible , des faits très- remarquables , relativement au res- pect et à la reconnoissance qu'il re- commande de porter iv PRÉFACE .
Page xxii
... relative- ment à cette branche d'instruction publique , la plus importante de la science médicale ; c'est un oubli bien constaté . Que les doutes cessent , que chacun soit enfin mis à sa place , que celui qui repousse par le dé- dain ...
... relative- ment à cette branche d'instruction publique , la plus importante de la science médicale ; c'est un oubli bien constaté . Que les doutes cessent , que chacun soit enfin mis à sa place , que celui qui repousse par le dé- dain ...
Page li
... relativement à la publica- tion des nouveaux traités traduits en français et le texte en regard , que je me suis exactement conformé à la déci- sion de S. Exc . le Grand - Maître de l'Uni- versité ( 1 ) , au nom du Conseil royal de ( 1 ) ...
... relativement à la publica- tion des nouveaux traités traduits en français et le texte en regard , que je me suis exactement conformé à la déci- sion de S. Exc . le Grand - Maître de l'Uni- versité ( 1 ) , au nom du Conseil royal de ( 1 ) ...
Page 16
... relativement à la nature de l'homme . Hippocrate démontre ici le contraire ; ainsi ce père de la médecine est dans une mauvaise route , ou ce sont les auteurs modernes . Il suffit de m'être livré à ces considérations , pour mieux faire ...
... relativement à la nature de l'homme . Hippocrate démontre ici le contraire ; ainsi ce père de la médecine est dans une mauvaise route , ou ce sont les auteurs modernes . Il suffit de m'être livré à ces considérations , pour mieux faire ...
Page 17
... relativement aux saignées révulsives et dérivatives , dont l'origine , comme l'on voit , remonte bien haut , dans les fastes de la médecine . Quoi qu'il en soit , Barthès a cité , dans ses mémoires et dans son ouvrage de la Science de l ...
... relativement aux saignées révulsives et dérivatives , dont l'origine , comme l'on voit , remonte bien haut , dans les fastes de la médecine . Quoi qu'il en soit , Barthès a cité , dans ses mémoires et dans son ouvrage de la Science de l ...
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Popular passages
Page xvi - Épidémies, l'r et â° livres; du Régime dans les maladies aiguës ; des Airs; des Eaux et des Lieux ; des Articulations; des Fractures ; des Instruments de réduction ; des Plaies de tête ; le Serment; la Loi.
Page xlii - Il sembloit que la nature eût pris plaisir à lui révéler les plus secrets mystères de l'intérieur des hommes, et qu'elle exposât continuellement à ses yeux ce qu'ils affectoient le plus de cacher à ceux de tout le monde.
Page xxxvi - Traités d'Hippocrate de la nature de l'homme, de l'ancienne médecine , des humeurs, de l'art médical.
Page 361 - ait brillé aux yeux des hommes pour » que son éclat ne puisse désormais être » obscurci , et même pour qu'il s'ac» croisse, et qu'il éclaire un jour la sti
Page xliii - ... ses yeux ce qu'ils affectoient le plus de cacher à ceux de tout le monde. Avec quelles expressions, avec quelles couleurs ne les at-il point dépeints ? Ecrivain plein de traits et de feu, qui par un tour fin et singulier, donnoit aux paroles plus de force qu'elles n'en avoient par elles-mêmes ; peintre hardi et heureux, qui dans tout ce qu'il peignoit en faisoit toujours plus entendre qu'il n'en faisoit voir. » La Bruyère est entré plus avant que Tl1éophraste dans le cœur <le l'homme...
Page 343 - Chez les animaux auxquels on a fait avaler une certaine quantité d'alcool , l'odeur alcoolique s'exhale par les incisions que l'on pratique à la surface de leur corps. Les hommes morts ! d'ivresse...
Page xlv - Le sommeil est causa par la retraite du sang aux veines confluentes ; et l'éveil , par la diliusion de ce liquide : son absence totale donne la mort. — L'Isonomie, ou équilibre des facultés corporelles , c'est-à-dire du chaud , du froid ; de l'humide , du sec ; du doux , de l'amer, etc., constitue la santé: l'équilibre rompu , survient la maladie ; car la faculté prédominante corrompt toutes les autres.
Page 360 - La fièvre fut donc alors déclarée provisoirement indéfinissable, vu l'état actuel de la science sur cet objet , parce qu'il fallait la décrire auparavant et en pénétrer la nature, s'il était possible.
Page 263 - ... importantes découvertes , son système sur les causes des maladies prouve une ignorance absolue de la destination et des fonctions des principaux viscères.