Œuvres complètes de Bernard Palissy |
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ains alchimistes Apoticaires apres arbres asseuré auant auec auoir auoit auoyent ayent BERNARD PALISSY bois brusler cabinet cailloux cause celuy ceste choses congelation congelatiue connoistre coquilles couleur cy deuant d'eau d'icelles d'vn d'vne Dieu diuerses dudit eaux entendre escrit esmaux especes estant esté estoit estoyent estrange estre eust feray fontaines forme fumier fust generation generatiue herbes homme i'auois i'ay i'en iamais iambes iardin icelle ie sçay ie t'ay inuention iours iuger iusques l'ay l'eau l'or l'vn ladite ledit lesdites Lisset liure maniere marcassites marne mascaret matieres metalliques Medecins merueilleusement mesme metaux mineraux montagnes œuure Palissy parauant parmy parquoy pauure petrifiées peuuent pierres pluyes poissons pourquoy pourroit PRACTIQUE premiere pres present preuues prouuer qu'vn quoy receptacle reduit riuieres rochers saueur sçauoir sçauroit seiche semences seront seruir souphre souuent soyent terres argileuses tesmoignage THEORIQUE tousiours toutesfois trauers trouuay trouue vaisseaux verité vertu Voila Xaintonge
Popular passages
Page xix - Discours admirables de la nature des eaux et fontaines, tant naturelles qu'artificielles, des métaux, des sels et salines, des pierres, des terres, du feu et des émaux; avec plusieurs autres excellents secrets des choses naturelles.
Page 127 - DISCOURS ADMIRABLES de la nature des eaux et fontaines, tant naturelles qu'artificielles, des métaux, des sels et salines, des pierres, des terres, du feu et des émaux ; avec plusieurs autres excellents secrets des choses naturelles.
Page xxx - Vous m'avez dit plusieurs fois que vous aviez pitié de moi, mais, moi, j'ai pitié de vous, qui avez prononcé ces mots : je suis contraint. Ce n'est pas parler en roi.
Page 320 - Toutesfois l'espérance que j'avois, me faisoit procéder en mon affaire si virilement que plusieurs fois pour entretenir les personnes qui me venoyent voir, je faisois mes efforts de rire, combien que intérieurement je fusse bien triste. Je poursuyviz mon affaire de telle sorte que je recevois beaucoup d'argent d'une...
Page 314 - ... que soudain que j'eus fait ledit blanc qui estoit singulièrement beau, je me mis à faire des vaisseaux de terre, combien que jamais je n'eusse...
Page 109 - Eglise fut manifestée publiquement, et en plein jour, il fit en nostre ville un œuvre admirable, car il fut envoyé à Tolose deux des principaux chefs, lesquels n'eussent voulu permettre nos assemblées estre publiques, qui fut la cause que nous eusmes la hardiesse de prendre la halle. Ce que nous n'eussions seu faire, sans grands scandales, si lesdits chefs eussent esté en la ville.
Page 315 - Les autres disoyent que je cherchois à faire la fausse monnoye, qui estoit un mal qui me faisoit seicher sur les pieds; et m'en allois par les rues tout baissé, comme un homme honteux : j'estois endetté en plusieurs lieux, et avois ordinairement deux enfans aux nourrices, ne pouvant payer leurs salaires.
Page 91 - II m'appartient l'honneur: car c'est « moy qui conduis et mesure toutes choses ; aussi, quand on « veut réprouver un homme de sa despence superflue, on l'ad« moneste de vivre pur compas i.
Page 307 - Bigorre? ausquels pays les verres sont méchanizez en telle sorte qu'ils sont venduz et criez par les villages, par ceux mesmes qui crient les vieux drapeaux et la vieille ferraille, tellement que ceux qui les font et qui les vendent, travaillent beaucoup à vivre.
Page xxxvi - France pourront apprendre à multiplier et à augmenter leurs thrésors. Item, ceux qui n'ont jamais eu cognoissance des lettres, pourront apprendre une philosophie nécessaire à tous les habitants de la terre. Item, en ce livre est contenu le dessein d'un jardin autant délectable et d'utile invention, qu'il en fût oncques veu.