Correspondance littéraire, philosophique et critique, adressée a un souverain d' Allemagne, depuis 1735 jusqu'en 1769, Part 3, Volume 4Longchamps, 1813 |
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Page 49
... comte d'Artois n'en fût jugée digne , et il avait préparé dans le silence le poëme que nous avons l'honneur de vous envoyer . Ses craintes n'ayant été malheureuse- que trop bien fondées , quoiqu'il se soit pré- senté jusqu'à soixante ...
... comte d'Artois n'en fût jugée digne , et il avait préparé dans le silence le poëme que nous avons l'honneur de vous envoyer . Ses craintes n'ayant été malheureuse- que trop bien fondées , quoiqu'il se soit pré- senté jusqu'à soixante ...
Page 50
... comte d'Artois , jugeant que c'était une faveur qu'on venait lui demander , s'empressa de l'accorder , même avant d'avoir lu les vers qu'on lui rémit en même tems de la part de M. Marmon- tel . Ainsi , à la honte de notre littérature ...
... comte d'Artois , jugeant que c'était une faveur qu'on venait lui demander , s'empressa de l'accorder , même avant d'avoir lu les vers qu'on lui rémit en même tems de la part de M. Marmon- tel . Ainsi , à la honte de notre littérature ...
Page 56
... comte d'Artois , dont il avait l'honneur d'être le médecin ordinaire , et qui lui demandait en riant des nouvelles de ses succès magnétiques . A la manière dont le pauvre docteur avait été frappé de cette triste prophétie , il ne serait ...
... comte d'Artois , dont il avait l'honneur d'être le médecin ordinaire , et qui lui demandait en riant des nouvelles de ses succès magnétiques . A la manière dont le pauvre docteur avait été frappé de cette triste prophétie , il ne serait ...
Page 76
... de défendre l'un sans outrager l'autre . Encore une fois , Monsieur , ( 1 ) Duval de Leyrit , partie dans le malheureux procès du comte de Lally . vous avez trop caressé mon amour propre , pour qu'il 76 CORRESPONDANCE LITTÉRAIRE ,
... de défendre l'un sans outrager l'autre . Encore une fois , Monsieur , ( 1 ) Duval de Leyrit , partie dans le malheureux procès du comte de Lally . vous avez trop caressé mon amour propre , pour qu'il 76 CORRESPONDANCE LITTÉRAIRE ,
Page 118
... Comte Albert , opéra comique en deux actes , et sa Suite en un acte , paroles de M. Sedaine , mu- sique de M. Grétry . Le sujet de ce nouveau drame est la fable du Rat et du Lion , dont le génie ori- ginal de M. Sedaine a trouvé le ...
... Comte Albert , opéra comique en deux actes , et sa Suite en un acte , paroles de M. Sedaine , mu- sique de M. Grétry . Le sujet de ce nouveau drame est la fable du Rat et du Lion , dont le génie ori- ginal de M. Sedaine a trouvé le ...
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Popular passages
Page 206 - LE FERMIER. Mes bons amis, je vous ai rassemblés tous pour savoir à quelle sauce vous voulez que je vous mange. UN COQ , dressant sa crête, Mais nous ne voulons pas qu'on nous mange. LE FERMIER. Vous vous écartez de la question.
Page 172 - Je me doute que tout ce que vous avez chanté là est fort « beau, mais je n'y entends rien ; cela me paraît bizarre, « brouillé, décousu. Vous êtes peut-être plus savant que votre « rival, mais il est plus méthodique que vous, et je suis, moi,
Page 43 - QUEL calme! quel désert! dans une paix profonde, Je n'entends plus mugir les tempêtes du monde ; Le monde a disparu, le temps s'est arrêté. Commences-tu pour moi, terrible éternité ? Ah! je sens que déjà dans cette auguste enceinte Un Dieu consolateur...
Page 69 - Tous les sentiments de M. Turgot étaient une suite de ses opinions... Sa haine était franche et irréconciliable; il prétendait même que les honnêtes gens étaient les seuls qui ne se réconciliassent jamais, et que les fripons savaient nuire ou se venger, mais ne savaient point haïr... Il paraissait minutieux, et c'était parce qu'il avait tout embrassé dans ses vastes combinaisons que tout était devenu important à ses yeux par des liaisons que lui seul souvent avait su apercevoir. On le...
Page 85 - On ne me louera, j'en conviens, ni dans ce moment où je suis, ni quand je ne serai plus, mais je m'en estimerai moi-même, et l'on m'en aimera davantage.
Page 261 - ... et surtout à la superbe peau de lion dont il était revêtu ; c'est un présent que lui a fait la ville de Marseille. — Mémoire historique sur la dernière année de la vie de Frédéric II, roi de Prusse, avec...
Page 325 - ... on le pressa de voir ce que c'était. « Je le sais, ce sont des vers d'un poète de province. » On insiste davantage ; voyons. A peine at-il jeté les yeux sur la 'nouvelle épître, qu'il dit à M. le duc d'Orléans : «Monseigneur, ce n'est point à moi , c'est à Votre Altesse que ceci s'adresse : « Qui peut de tes Jardins sonder la profondeur?
Page 80 - L'artiste qui aurait cherché l'idéal de la tête d'Aristote ou de Platon eût difficilement rencontré une tête moderne plus digne de ses études que celle de feu M.
Page 172 - Et le rossignol, sans préambule, déploie sa voix, s'élance dans les modulations les plus hardies, suit les chants les plus neufs et les plus recherchés ; ce sont des cadences ou des tenues à perte d'haleine : tantôt on entendait les sons descendre et murmurer au fond de sa gorge, comme l'onde du ruisseau qui se perd sourdement entre des cailloux ; tantôt on l'entendait se lever...
Page 265 - ... temps où nous vivons , c'est d'acquérir par des succès accumulés ou quelque petite ville sur les frontières, ou une banlieue qui ne rapporte pas les intérêts des dépenses de la guerre, et dont la population n'approche pas du nombre des citoyens péris dans les campagnes. Quiconque a des entrailles et envisage ces objets de...