Mélanges. Théâtre. Poésies diverses. Botanique. MusiqueHachette, 1863 |
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... porte point un cœur bas . Sans doute c'est moins mon âge que le vôtre qui me rend coupable . Mon mépris pour moi m'empêchoit de voir toute l'indignité de ma démarche . Trente ans de différence ne me montroient que ma honte , et me ...
... porte point un cœur bas . Sans doute c'est moins mon âge que le vôtre qui me rend coupable . Mon mépris pour moi m'empêchoit de voir toute l'indignité de ma démarche . Trente ans de différence ne me montroient que ma honte , et me ...
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... porte beaucoup que tes deux bambins soient baptisés ou circoncis ; mais encore faut - il observer le costume , et ne ... portes du ciel aux deux 12 LA REINE FANTASQUE . L'Orvale ou Toute-bonne.
... porte beaucoup que tes deux bambins soient baptisés ou circoncis ; mais encore faut - il observer le costume , et ne ... portes du ciel aux deux 12 LA REINE FANTASQUE . L'Orvale ou Toute-bonne.
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Jean-Jacques Rousseau. fut pris pour ouvrir les portes du ciel aux deux nouveau - nés . La fée se rendit de bon matin au palais , et déclará aux augustes époux qu'elle alloit faire à chacun de leurs enfans un présent digne de leur ...
Jean-Jacques Rousseau. fut pris pour ouvrir les portes du ciel aux deux nouveau - nés . La fée se rendit de bon matin au palais , et déclará aux augustes époux qu'elle alloit faire à chacun de leurs enfans un présent digne de leur ...
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... porte , et criant au vieillard d'un ton menaçant : « Livre- nous ce jeune étranger que sans congé tu reçois dans nos murs ; que sa beauté nous paye le prix de cet asile , et qu'il expie ta témérité . » Car ils avoient vu le Lévite sur ...
... porte , et criant au vieillard d'un ton menaçant : « Livre- nous ce jeune étranger que sans congé tu reçois dans nos murs ; que sa beauté nous paye le prix de cet asile , et qu'il expie ta témérité . » Car ils avoient vu le Lévite sur ...
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... porte la face contre terre et les bras étendus sur le seuil . Cependant , après avoir passé la nuit à remplir la maison de son hôte d'imprécations et de pleurs , le Lévite prêt à sortir ouvre la porte et trouve dans cet état celle qu'il ...
... porte la face contre terre et les bras étendus sur le seuil . Cependant , après avoir passé la nuit à remplir la maison de son hôte d'imprécations et de pleurs , le Lévite prêt à sortir ouvre la porte et trouve dans cet état celle qu'il ...
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Common terms and phrases
accords assez auroit avez avoit basse fondamentale bécarre bémol botanique cadence cadence parfaite calice caractère CARIME CARLIN chant charmes chiffres chose clavecin clef cœur connoissance connoître consonnances corde corolle corps sonore dièse différentes din di dissonance doit donner DORANTE espèce étamines étoient étoit falloit feuilles figure fleur composée fleurons folioles FRONTIN fructification fruit Galba gamme naturelle genre goût graines harmonie herbier homme instrumens intervalles ISABELLE italienne j'ai j'avois j'en jamais l'autre l'harmonie l'octave l'oreille l'ut lettre liliacées Linnæus LISETTE LUCINDE madame la duchesse majeur mélodie ment mesure mieux mineur Mme de Warens monopétale monsieur musicien musique françoise musique ordinaire n'en n'étoit naturel note octaves ombellifères parler paroît pédicule pétales pistil plaisir plantes pourroit premier qu'un quinte raison Rameau réceptacle récitatif reste rien ROUSSEAU SCENE sentir seroit seul silique sixte sixte majeure sorte système tierce tierce majeure tige tion tonique trouve VALÈRE Vitellius Voilà voix
Popular passages
Page 105 - Si le rétablissement des sciences et des arts a contribué à épurer les mœurs 1 Avertissement
Page 434 - D'où je conclus que les Français n'ont point de musique et n'en peuvent avoir«, ou que, si jamais ils en ont une, ce sera tant pis pour eux.
Page 248 - S'il falloit bassement ramper auprès des grands , Que n'en ai-je appris l'art dès mes plus jeunes ans ! Mais sur d'autres leçons on forma ma jeunesse. On me dit de remplir mes devoirs sans bassesse, De respecter les grands , les magistrats , les rois , De chérir les humains et d'obéir aux lois :. Mais on m'apprit aussi qu'ayant par ma naissance Le droit de partager la suprême puissance , Tout petit que j'étois , foible , obscur citoyen , Je faisois cependant membre du souverain ; Qu'il falloit...
Page 108 - Je sais que les déclamateurs ont dit cent fois tout cela; mais ils le disoient en déclamant , et moi je le dis sur des raisons : ils ont aperçu le mal, et moi j'en découvre les causes; et je fais voir surtout une chose très-consolante et très-utile, en montrant que tous ces vices n'appartiennent pas tant à l'homme, qu'à l'homme mal gouverné...
Page 110 - Et c'est ainsi que les arts et les sciences, après avoir fait éclore les vices, sont nécessaires pour les empêcher de se tourner en crimes...
Page 107 - Le goût de la philosophie relâche tous les liens d'estime et de bienveillance qui attachent les hommes à la société , et c'est peut-être le plus dangereux des maux qu'elle engendre. Le charme de l'étude rend bientôt insipide tout autre attachement. De plus, à force de réfléchir sur l'humanité, à force d'observer les hommes, le philosophe apprend à les apprécier selon leur valeur; et il est difficile d'avoir bien de l'affection pour ce qu'on méprise. Bientôt il réunit en sa personne...
Page 109 - Parmi les sauvages, l'intérêt personnel parle aussi fortement que parmi nous, mais il ne dit pas les mêmes choses : l'amour de la société et le soin de leur commune défense sont les seuls liens qui les unissent : ce mot de PROPRIÉTÉ, qui coûte tant de crimes à nos honnêtes gens, n'a presque aucun sens parmi eux...
Page 263 - L'eût bientôt fait évanouir ; Et sans songer à la décrire Ils se contentaient d'en jouir. Des traditions étrangères En parlent sans obscurité ; Mais dans ces sources mensongères Ne cherchons point la vérité. Cherchons-la dans le cœur des hommes, Dans ces regrets trop superflus Qui disent dans ce que nous sommes Tout ce que nous ne sommes plus. Qu'un savant des fastes des âges Fasse la règle de sa foi ! Je sens de plus sûrs témoignages De la mienne au dedans de moi.
Page 263 - Ci-gisent deux amants : l'un pour l'autre ils vécurent : L'un pour l'autre ils sont morts , et les lois en murmurent. La simple piété n'y trouve qu'un forfait; Le sentiment admire, et la raison se tait.
Page 242 - Dont l'auteur n'a pour but que d'amuser l'esprit : II a beau prodiguer la brillante antithèse, Semer partout des fleurs, chercher un tour qui plaise : Le cœur, plus que l'esprit, a chez moi des besoins, Et, s'il n'est attendri, rebute tous ces soins.