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d'oxidation, leur affinité pour les principes de la noix de galles ou pour l'acide sulfurique, XXXV, 38. Leur oxidation commence aux dépens de l'eau, et finit aux dépens de l'air, 40.

de mercure. Cause de leur détonation avec de soufre, XXXVIII, 133. Extrait d'un mémoire sur leur fabrication en grand, LI, 195. Moyen de les analyser préférable à la sublimation, LIV, 119. Sont désoxigénés par les phosphites, 126.

métalliques. Doivent être très - divisés pour la préparation des emplâtres, XXXIII, 56. Altérations qu'ils éprouvent, 57. Moyen d'y remédier, 58 et suiv. Communiquent aux acides qui les dissolvent une couleur semblable à celle qu'ils ont eux-mêmes, d'après la remarque de Fourcroy, XXXVIII, 122. Réfutation de cette assertion par Berthollet, 122, 123. Ne peuvent point être comparés entre eux, relativement à leur point d'oxidation, 130. Rapport fait à l'Institut par Berthollet sur l'ouvrage de M. Schnaubert, intitulé: Recherches sur l'affinité des oxides métalliques pour les acides, etc., XLIX, 5 et suiv. Note sur leur précipitation mutuelle, 21. La propriété qu'ils ont de neutraliser inégalement les acides, est une des causes principales de leur précipitation mutuelle, 29, 30, 33. Observations de Klaproth sur leur dissolution dans les alcalis, LIV, 218. Ne sont pas en aussi grand nombre que les degrés d'oxigénation possibles, LVI, 62. Leurs effets sont constans dans leurs combinaisons avec les acides, 64, 65. Les sels qui résultent de ces combinaisons peuvent avoir une couleur différente de leurs oxides, 66.

-de plomb (Mémoire sur les ), LX, 132. Se vitrifient très-facilement, 135. M. Thomson désigne

leurs divers degrés d'oxidation par des mots propres à ces degrés, 154.

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OXIGÉNANS. Leur mode d'action sur l'économie animale, XXXIX, 93. Comment ils préservent des effets de la contagion, 94. Peuvent détruire plusieurs virus, 96, 97.

OXIGÉNATION. Opinion de M. Tissier sur sa théorie, LII, 227.

OXIGÈNE. Convertit en résine la matière extractive du quinquina, XXXII, 180. Dégagé dans l'exploitation d'une mine de manganèse à Macon, guérit la gale des ouvriers, blauchit leur linge, et décolore les étoffes, XXXIII, 75. Effets d'une pommade oxigénée par cet oxide, 76. Son action sur l'économie animale, XXXIV, 272. Lettre aux auteurs des Annales sur sa dénomination, 311. L'état dans lequel il se trouve combiné avec les métaux influe aussi sur les propriétés des oxides, XXXVIII, 132. Observations et expériences qui constatent son efficacité dans le traitement du tetanos, XLII, 43 et suiv. Manière dont il agit sur les corps combustibles, XLVI, 283. Quantité d'oxigène que prend le charbon, lorsque le diamant, par sa combustion, forme de l'acide carbonique pur, XLVII, 209 et suiv. Son influence dans la germination, XLVIII, 188. M. Tissier propose de le désigner par le nom de phosphore solaire, LII, 107, 108. OXYMELS de la nouvelle pharmacopée de Berlin, XXXIII, 255.

P.

PALLADIUM. Métal nouvellement découvert, XLVI, 333. Ses propriétés diffèrent de celles des autres mé taux, 334, 336. Recherches sur la nature de cette substance métallique, XLVII, 151. A un 'aspect approchant de celui du platine, 153. 'Se combine très-promptement avec le soufre, 155. Caractères des alliages de ce métal avec l'or, le platine, l'argent, et avec les autres métaux, 150, 157. Table de la pesanteur spécifique de ces alliages, 159. Manière dont il se comporte avec les alcalis, les acides et quelques sels, 160, 161, 162. Les expériences de M. Chenevix semblent prouver que le palladium est un alliage de platine et de mercure, XLVI, 336, XLVII, 165. Les expériences de Vauquelin ne s'accordent point avec celles du chimiste anglais, XLVI, 337. L'alliage de ces deux métaux, obtenu par la synthèse, présente les mêmes caractères que le palladium et donne les mêmes résultats lorsqu'on le traite par les mêmes agens, XLVII, 167, 168, 169 et suiv. Les expériences analytiques ne prouvent pas d'une manière aussi évidente l'alliage de ces deux métaux, 178, 179 et suiv. M. Wollaston le considère comme un métal simple, LII, 51, 52. C'est à ce dernier physicien que l'on doit la découverte du palladium, LIV, 198.

- artificiel ( Mémoire sur le ), LII, 5. MM. Rose et Gehlen n'ont jamais pu l'obtenir par les procédés de M. de Chenevix, 6, 8 et suiv., 16. Les expériences de M. Richter sur le même objet n'ont pas été plus fructueuses, 17 et suiv.

PALMISTE. Description de quelques arbres qui por◄ tent ce nom, LIII, 94 et suiv.

PANACHES. Plumes qu'on emploie pour les faire, LI, 7. Voy. Plumes.

PANDANUS. Description de plusieurs espèces nouvelles de ce genre de plantes, LIII, 99 et suiv.

APETERIES. Exigent des eaux vives et pures, XXXV, 123.

PAPIER Joseph. Est préférable au papier gris pour clarifier les liqueurs par la filtration, XXXIX,

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119.

PARACHUTES. (Note historique sur l'invention et les premiers essais des ), découverts par M. Mongolfier, XXXI, 269. Réclamation de M. Lenormant, au sujet de leur découverte, XXXVI, 94. PARATONNERRE isolé de M. Beyer. Sa description, LIV, 329, 330.

PARENCHYME Vert des végétaux. Accompagne le malate de chaux dans le jus de plusieurs plantes, XXXV, 159.

PAULLINA. Plante équinoxiale, dont les capsules contiennent de l'air plus azoté que l'air atmosphérique, XXXV, 110.

PEAUX d'oiseaux. Préparation de celles qu'on emploie pour faire des manchons ou des palatines, LI, 10, 11.)

PECHSTEIN de Cyarsebach. Ses caractères physiques, XLV, 16, 17. Son analyse, 17.

PEINTURE couleur de pierre qui résiste aux intempé

ries de l'air. Nouveau procédé pour l'obtenir, XLV 246, XLVII, 127. Paroît avoir été connue en Chine depuis longtems, XLVII, 129.

des porcelaines. Ne peut point arriver au dernier degré de perfection, XLIV, 264.

PEINTURES. Description d'un procédé pour les copier sur le verre, XLV, 256.

PERLSTEIN de Hongrie. Ses caractères physiques. Som analyse, XLV, 29, 30.

PEROXIDE de plomb. Voy. Oxide brun.
PESANTEUR. Sa définition, XLIV, 301.

absolue. En quoi elle consiste, XLIV, 301.

- spécifique. Causes de la différence de celle des mêmes corps pesés en grande ou en petite masse, XXXIX, 178. Sa définition, XLIV, 301.

relative, XLIV, 301.

PESE-LIQUEUR destiné à indiquer le titre des pièces - d'or. Description de cet instrument, XLII, 23. Son usage, 26.

PÈSE-LIQUEURS. Sont de deux genres, LVIII, 245 et suiv., 250. Voy. Aréomètre et Alcograde. PETIT-LAIT. Est le produit d'une fermentation, selon Guyton, L, 275. Opinion contraire de BouillonLagrange, 280. Sa propriété de verdir le sirop violat n'est pas due à la présence d'un alcali, 284. Quel que soit le procédé qu'on emploie pour sa préparation, il n'en résulte aucun inconvénient, 285.

PETROLE. Ses propriétés physiques, XLV, 171, 172. Expériences pour reconnoître la densité et le degré de lumière que ce liquide produit comparativement à l'huile d'olive, 173 et suiv. Peut être employé avec utilité pour l'illumination des rues, 175.

PHARMACIE. Utilité de la marche d'enseignement de

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