Revue des deux mondes, Volume 32François Buloz, Charles Buloz, Ferdinand Brunetière, Francis Charmes, René Doumic, André Chaumeix Au bureau de la Revue des deux mondes., 1926 |
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... mère de la jeune fille . Leur seul aspect le disait assez et cette ressemblance des physiologies qui décèle une analogie profonde des natures . Chez l'une et chez l'autre , une extrême sensibilité nerveuse se reconnaissait à vingt ...
... mère de la jeune fille . Leur seul aspect le disait assez et cette ressemblance des physiologies qui décèle une analogie profonde des natures . Chez l'une et chez l'autre , une extrême sensibilité nerveuse se reconnaissait à vingt ...
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... mère et de Mile Renée ... -C'est dimanche que ça m'est arrivé . J'étais allé au Casino , pour le concert , simplement . D'avoir dû vous emprunter de l'argent , une fois déjà , m'avait été si pénible ! Ça m'est si pé- nible , en ce ...
... mère et de Mile Renée ... -C'est dimanche que ça m'est arrivé . J'étais allé au Casino , pour le concert , simplement . D'avoir dû vous emprunter de l'argent , une fois déjà , m'avait été si pénible ! Ça m'est si pé- nible , en ce ...
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... mère ? Malade du cœur comme elle est , à la merci des moindres émotions ... - Il ne s'adressera pas à elle . Le casino défend expressé- ment à ses employés d'avancer de l'argent aux joueurs . Madame votre mère parlerait , et cet homme ...
... mère ? Malade du cœur comme elle est , à la merci des moindres émotions ... - Il ne s'adressera pas à elle . Le casino défend expressé- ment à ses employés d'avancer de l'argent aux joueurs . Madame votre mère parlerait , et cet homme ...
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... mère n'aurait pas vécu ses derniers jours dans la gêne , et je ne serais pas danseur mondain dans un palace ... - Gilbert Favy ne répondit rien . Le contraste était trop grand entre le sourire habituel de Neyrial et la physionomie qu'il ...
... mère n'aurait pas vécu ses derniers jours dans la gêne , et je ne serais pas danseur mondain dans un palace ... - Gilbert Favy ne répondit rien . Le contraste était trop grand entre le sourire habituel de Neyrial et la physionomie qu'il ...
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... mère ? ... Non . Ces coquins - là sont des usuriers adroits qui redoutent trop le scan- dale . Et puis , je reparlerai à ce pauvre garçon . S'il n'a pas obtenu ce que je lui ai suggéré , ce règlement par échéances , je serai toujours à ...
... mère ? ... Non . Ces coquins - là sont des usuriers adroits qui redoutent trop le scan- dale . Et puis , je reparlerai à ce pauvre garçon . S'il n'a pas obtenu ce que je lui ai suggéré , ce règlement par échéances , je serai toujours à ...
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Common terms and phrases
accords de Locarno allemand assez Augustin Cochin avaient beau Beurtin Briand c'était Catherine Théot Cavour chambre Chine chinois chose cœur Comité Convention coup Couthon d'autres danse danseur demande devant Dieu dire Duplay femme fille financier fleurs française frère général gens Gilbert gouvernement guerre Guillaume Rey heures homme Houves italien j'ai Jaffeux jamais jeune jour kilomètres l'air l'Allemagne l'Autriche l'hôtel l'Italie laisser lettre Locarno Louvre Madagascar main maintenant maison malgache maman Marc matin ment mère Michel Anguier Mme Favy monde mort n'avait Napoléon Napoléon III nationale Neyrial nuit Oetilé parler passé pays Péguy Pelvoux pensée petite peuple peut-être Pierre-Stéphane politique porte premier qu'un Raoul Péret regard Reine Renée reste révolutionnaire rien Robespierre Rome route s'est s'était sais salle salon savait semble sentiment sera seul siècle socialistes Société des nations soir sorte Sun-Yat-Sen surtout Syrie Tananarive terre Thérèse tion trouve Vadier visage voix voyage vrai XXXII yeux
Popular passages
Page 60 - Le délai pour punir les ennemis de la patrie ne doit être que le temps de les reconnaître ; il s'agit moins de les punir que de les anéantir.
Page 331 - U ne reste pas pierre sur pierre. Quand je vivrais mille ans , jamais je n'oublierai ce désert qui semble respirer encore la grandeur de Jéhovah , et les épouvantements de la mort...
Page 465 - Corneille ministre, cet homme-là, Messieurs, avait trop de grandeur en lui-même pour ne pas comprendre la grandeur dans autrui. Un esprit vulgaire, appuyé sur la toute-puissance, eût dédaigné peut-être cette rébellion du talent ; Napoléon s'en préoccupait. Il se savait trop historique pour ne point avoir souci de l'histoire ; il se sentait trop poétique pour ne pas s'inquiéter des poètes. Il faut le reconnaître hautement, c'était un vrai prince que ce souslieutenant d'artillerie qui...
Page 299 - S'engage, dans les termes de l'article 88 du Traité de Saint-Germain, à ne pas aliéner son indépendance; il s'abstiendra de toute négociation et de tout engagement économique ou financier qui serait de nature à compromettre directement ou indirectement cette indépendance. Cet engagement ne s'oppose pas à ce que l'Autriche conserve, sous réserve des dispositions du Traité de Saint-Germain, sa liberté en matière de tarifs douaniers et d'accords commerciaux ou financiers et, en général,...
Page 211 - ... plaire. On disait aussi qu'il y avait cette différence entre son mari et elle, qu'il l'estimait et ne l'aimait point, au lieu qu'elle l'aimait et ne l'estimait point.
Page 221 - ... et gens roués *, enfin le tourbillon, la dissipation, les demandes sans réponses, les compliments sans savoir ce que l'on dit, les civilités sans savoir à qui l'on parle, les pieds entortillés dans les queues...
Page 63 - Robespierre avec plus de force, que quelques-uns de nos collègues, égarés par la calomnie sur nos intentions, et sur le but de nos travaux. . . » Bourdon de l'Oise l'interrompant encore : « Je demande qu'on prouve ce qu'on avance. On vient de dire assez clairement que j'étais un scélérat.
Page 293 - L'Allemagne reconnaît et respectera strictement l'indépendance de l'Autriche, dans les frontières qui seront fixées par traité passé entre cet Etat et les principales Puissances alliées et associées; elle reconnaît que cette indépendance sera inaliénable, si ce n'est du consentement du Conseil de la Société des Nations.
Page 329 - Mon exactitude tient à mon bon sens vulgaire; je suis de la race des Celtes et des tortues, race pédestre; non du sang des Tartares et des oiseaux, races pourvues de chevaux et d'ailes.
Page 883 - par paquets de 15000 tonnes environ chaque année. Parvenu dans l'hémisphère boréal, ce haricot plat s'insinue jusque dans les pâtisseries fines... Les Anglo-Saxons se régalent. Et tout le monde est content aux deux bouts de la chaîne. « Les racines de manioc, disait le bon roi du haut de la pierre sacrée qui lui servait de trône, sont les colonnes de mon empire. Ce sont mes soldats dans la lutte contre la famine... » — Quel bon roi? me direz-vous. — Toujours le même!