Revue des deux mondes, Volume 32François Buloz, Charles Buloz, Ferdinand Brunetière, Francis Charmes, René Doumic, André Chaumeix Au bureau de la Revue des deux mondes., 1926 |
From inside the book
Results 1-5 of 100
Page 54
... peuple français la confiance dans ses grandes destinées , n'est - ce pas aussi parce qu'ils avaient acquis à l'École la foi qui doit animer l'homme d'action , en même temps que la trempe physique et morale qui , d'un enfant , fait un ...
... peuple français la confiance dans ses grandes destinées , n'est - ce pas aussi parce qu'ils avaient acquis à l'École la foi qui doit animer l'homme d'action , en même temps que la trempe physique et morale qui , d'un enfant , fait un ...
Page 60
... peuples des témoignages de plus folle adulation . L'apparent succès de la Fête de l'Etre suprême multiplia encore les manifestations de ce culte qui prit les formes les plus singulières le peuple des campagnes ne comprenait rien au dieu ...
... peuples des témoignages de plus folle adulation . L'apparent succès de la Fête de l'Etre suprême multiplia encore les manifestations de ce culte qui prit les formes les plus singulières le peuple des campagnes ne comprenait rien au dieu ...
Page 61
... peuple , des tyrans coalisés contre lui , de son intégrité , qui est réelle , et de sa vertu , qui est hargneuse . Il est de ces hommes que peint Bossuet : « aveugles admirateurs de leurs ouvrages , ils ne peuveut souffrir ceux des ...
... peuple , des tyrans coalisés contre lui , de son intégrité , qui est réelle , et de sa vertu , qui est hargneuse . Il est de ces hommes que peint Bossuet : « aveugles admirateurs de leurs ouvrages , ils ne peuveut souffrir ceux des ...
Page 62
... peuple n'attend qu'un signe de lui pour se livrer aux doux mouvements de la fraternité » . D'autres lui conseillent « de proclamer une amnistie générale » ; lui seul peut le faire ; toute la France l'acclamera . Et voilà que , le ...
... peuple n'attend qu'un signe de lui pour se livrer aux doux mouvements de la fraternité » . D'autres lui conseillent « de proclamer une amnistie générale » ; lui seul peut le faire ; toute la France l'acclamera . Et voilà que , le ...
Page 63
... peuple , dépravé les mœurs , corrompu la conscience publique ; enfin ceux qui , par quelque moyen que ce soit , attenteront à la liberté , à l'unité , à la sûreté de la République ou auront retardé son affermissement ... >> Tout le ...
... peuple , dépravé les mœurs , corrompu la conscience publique ; enfin ceux qui , par quelque moyen que ce soit , attenteront à la liberté , à l'unité , à la sûreté de la République ou auront retardé son affermissement ... >> Tout le ...
Other editions - View all
Common terms and phrases
accords de Locarno allemand assez Augustin Cochin avaient beau Beurtin Briand c'était Catherine Théot Cavour chambre Chine chinois chose cœur Comité Convention coup Couthon d'autres danse danseur demande devant Dieu dire Duplay femme fille financier fleurs française frère général gens Gilbert gouvernement guerre Guillaume Rey heures homme Houves italien j'ai Jaffeux jamais jeune jour kilomètres l'air l'Allemagne l'Autriche l'hôtel l'Italie laisser lettre Locarno Louvre Madagascar main maintenant maison malgache maman Marc matin ment mère Michel Anguier Mme Favy monde mort n'avait Napoléon Napoléon III nationale Neyrial nuit Oetilé parler passé pays Péguy Pelvoux pensée petite peuple peut-être Pierre-Stéphane politique porte premier qu'un Raoul Péret regard Reine Renée reste révolutionnaire rien Robespierre Rome route s'est s'était sais salle salon savait semble sentiment sera seul siècle socialistes Société des nations soir sorte Sun-Yat-Sen surtout Syrie Tananarive terre Thérèse tion trouve Vadier visage voix voyage vrai XXXII yeux
Popular passages
Page 60 - Le délai pour punir les ennemis de la patrie ne doit être que le temps de les reconnaître ; il s'agit moins de les punir que de les anéantir.
Page 331 - U ne reste pas pierre sur pierre. Quand je vivrais mille ans , jamais je n'oublierai ce désert qui semble respirer encore la grandeur de Jéhovah , et les épouvantements de la mort...
Page 465 - Corneille ministre, cet homme-là, Messieurs, avait trop de grandeur en lui-même pour ne pas comprendre la grandeur dans autrui. Un esprit vulgaire, appuyé sur la toute-puissance, eût dédaigné peut-être cette rébellion du talent ; Napoléon s'en préoccupait. Il se savait trop historique pour ne point avoir souci de l'histoire ; il se sentait trop poétique pour ne pas s'inquiéter des poètes. Il faut le reconnaître hautement, c'était un vrai prince que ce souslieutenant d'artillerie qui...
Page 299 - S'engage, dans les termes de l'article 88 du Traité de Saint-Germain, à ne pas aliéner son indépendance; il s'abstiendra de toute négociation et de tout engagement économique ou financier qui serait de nature à compromettre directement ou indirectement cette indépendance. Cet engagement ne s'oppose pas à ce que l'Autriche conserve, sous réserve des dispositions du Traité de Saint-Germain, sa liberté en matière de tarifs douaniers et d'accords commerciaux ou financiers et, en général,...
Page 211 - ... plaire. On disait aussi qu'il y avait cette différence entre son mari et elle, qu'il l'estimait et ne l'aimait point, au lieu qu'elle l'aimait et ne l'estimait point.
Page 221 - ... et gens roués *, enfin le tourbillon, la dissipation, les demandes sans réponses, les compliments sans savoir ce que l'on dit, les civilités sans savoir à qui l'on parle, les pieds entortillés dans les queues...
Page 63 - Robespierre avec plus de force, que quelques-uns de nos collègues, égarés par la calomnie sur nos intentions, et sur le but de nos travaux. . . » Bourdon de l'Oise l'interrompant encore : « Je demande qu'on prouve ce qu'on avance. On vient de dire assez clairement que j'étais un scélérat.
Page 293 - L'Allemagne reconnaît et respectera strictement l'indépendance de l'Autriche, dans les frontières qui seront fixées par traité passé entre cet Etat et les principales Puissances alliées et associées; elle reconnaît que cette indépendance sera inaliénable, si ce n'est du consentement du Conseil de la Société des Nations.
Page 329 - Mon exactitude tient à mon bon sens vulgaire; je suis de la race des Celtes et des tortues, race pédestre; non du sang des Tartares et des oiseaux, races pourvues de chevaux et d'ailes.
Page 883 - par paquets de 15000 tonnes environ chaque année. Parvenu dans l'hémisphère boréal, ce haricot plat s'insinue jusque dans les pâtisseries fines... Les Anglo-Saxons se régalent. Et tout le monde est content aux deux bouts de la chaîne. « Les racines de manioc, disait le bon roi du haut de la pierre sacrée qui lui servait de trône, sont les colonnes de mon empire. Ce sont mes soldats dans la lutte contre la famine... » — Quel bon roi? me direz-vous. — Toujours le même!