Etudes de philosophie morale et d'économie politique, Volume 1 |
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... commence . Il ne sé- pare pas du progrès lui - même les misères inséparables de la condition humaine . Il sait que tant qu'il y aura des mortels sur cette terre , il y aura des larmes ! Il eût réprouvé cette philosophie téméraire , ivre ...
... commence . Il ne sé- pare pas du progrès lui - même les misères inséparables de la condition humaine . Il sait que tant qu'il y aura des mortels sur cette terre , il y aura des larmes ! Il eût réprouvé cette philosophie téméraire , ivre ...
Page 41
... commence par ces belles paroles : « Le soulagement des hommes qui souffrent est le devoir et l'affaire de tous ; » supprimer l'odieux système des ré– quisitions pour le transport des équipages militaires ; permettre , dans la milice ...
... commence par ces belles paroles : « Le soulagement des hommes qui souffrent est le devoir et l'affaire de tous ; » supprimer l'odieux système des ré– quisitions pour le transport des équipages militaires ; permettre , dans la milice ...
Page 60
... commence à s'attacher au malheureux roi comme une destinée . Son règne ne sera qu'un long essai . Il essayera des ministres réformateurs et des minis- tres courtisans ; il essayera des faiblesses et des coups d'État , de tout excepté d ...
... commence à s'attacher au malheureux roi comme une destinée . Son règne ne sera qu'un long essai . Il essayera des ministres réformateurs et des minis- tres courtisans ; il essayera des faiblesses et des coups d'État , de tout excepté d ...
Page 87
... commence à faire dans sa préface trop peu connue de Narcisse , où l'on présage déjà l'auteur du Discours sur l'inégalité : « Dans un Etat bien constitué , y est - il dit , tous les hommes sont si bien égaux , que nul ne peut être ...
... commence à faire dans sa préface trop peu connue de Narcisse , où l'on présage déjà l'auteur du Discours sur l'inégalité : « Dans un Etat bien constitué , y est - il dit , tous les hommes sont si bien égaux , que nul ne peut être ...
Page 203
... commence- ment ; qui , comme philosophe , montra une modération du moins relative et servit la cause de l'esprit humain , et qui , comme individu enfin , fut , selon toute la force d'un terme heureusement employé par le dix - septième ...
... commence- ment ; qui , comme philosophe , montra une modération du moins relative et servit la cause de l'esprit humain , et qui , comme individu enfin , fut , selon toute la force d'un terme heureusement employé par le dix - septième ...
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Common terms and phrases
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Popular passages
Page 101 - Que si quelqu'un, après avoir reconnu publiquement ces mêmes dogmes, se conduit comme ne les croyant pas, qu'il soit puni de mort ; il a commis le plus grand des crimes : il a menti devant les lois.
Page 101 - L'existence de la divinité puissante, intelligente, bienfaisante, prévoyante et pourvoyante, la vie à venir, le bonheur des justes, le châtiment des méchants, la sainteté du contrat social et des lois; voilà les dogmes positifs.
Page 117 - Trop souvent la raison nous trompe, nous n'avons que trop acquis le droit de la récuser ; mais la conscience ne trompe jamais, elle est le vrai guide de l'homme...
Page 271 - Tout ce que je vois jette les semences d'une révolution qui arrivera immanquablement, et dont je n'aurai pas le plaisir d'être témoin. Les Français arrivent tard à tout, niais enfin ils arrivent. La lumière s'est tellement répandue de proche en proche, qu'on éclatera à la première occasion; et alors ce sera un beau tapage. Les jeunes gens sont bien heureux; ils verront de belles choses.
Page 201 - C'est pourquoi je ne saurais aucunement approuver ces humeurs brouillonnes et inquiètes, qui, n'étant appelées, ni par leur naissance, ni par leur fortune, au maniement des affaires publiques, ne laissent pas d'y faire toujours, en idée, quelque nouvelle ré formation.
Page 109 - Posons pour maxime incontestable que les premiers mouvements de la nature sont toujours droits : il n'ya point de perversité originelle dans le cœur humain; il ne s'y trouve pas un seul vice dont on ne puisse dire comment et par où il y est entré.
Page 116 - Supposer quelque acte, quelque effet qui ne dérive pas d'un principe actif, c'est vraiment supposer des effets sans cause, c'est tomber dans le cercle vicieux.
Page 146 - Le feu, l'air, l'esprit, la lumière, tout vit par l'action. De là la communication et l'alliance de tous les êtres. De là l'unité et l'harmonie dans l'univers. Cependant cette loi de la nature si féconde, nous trouvons que c'est un vice dans l'homme. Et parce qu'il est obligé d'y obéir, ne pouvant subsister dans le repos, nous concluons qu'il est hors de sa place.
Page 87 - ... grossiers n'avaient encore aucun exercice, et plus difficile encore à concevoir en ellemême, puisque cet accord unanime dut être motivé, et que la parole paraît avoir été fort nécessaire pour établir l'usage de la parole.
Page 147 - La raison et le sentiment se conseillent et se suppléent tour à tour. Quiconque ne consulte qu'un des deux et renonce à l'autre, se prive inconsidérément d'une partie des secours qui nous ont été accordés pour nous conduire.