Etudes de philosophie morale et d'économie politique, Volume 1 |
From inside the book
Results 1-5 of 100
Page 11
... idée d'existence . Prélu- dant par là un demi - siècle à l'avance à la réforme phi- losophique , il annonçait la théorie profonde ( 1 ) de Maine de Biran et de Royer - Collard sur la perception du monde extérieur , et réhabilitait la ...
... idée d'existence . Prélu- dant par là un demi - siècle à l'avance à la réforme phi- losophique , il annonçait la théorie profonde ( 1 ) de Maine de Biran et de Royer - Collard sur la perception du monde extérieur , et réhabilitait la ...
Page 14
... idée du progrès , on peut consulter notre ou- vrage Jean Bodin et son temps , tableau des théories politiques et des idées économiques au seizième siècle , dans le chapitre relatif à la Méthode d'écrire l'histoire . Voyez également ...
... idée du progrès , on peut consulter notre ou- vrage Jean Bodin et son temps , tableau des théories politiques et des idées économiques au seizième siècle , dans le chapitre relatif à la Méthode d'écrire l'histoire . Voyez également ...
Page 27
... idée de Dieu , si simple et si sublime , viendrait à s'obscurcir ou à s'éteindre , toute lumière et toute cha- leur se retireraient du monde moral . La religion est à ses yeux divine et utile tout ensemble ; divine et utile comme la ...
... idée de Dieu , si simple et si sublime , viendrait à s'obscurcir ou à s'éteindre , toute lumière et toute cha- leur se retireraient du monde moral . La religion est à ses yeux divine et utile tout ensemble ; divine et utile comme la ...
Page 29
... Sachant sur quel fondement s'appuie la société , ayant une idée juste des origines de la civilisation moderne , il sait d'où vient le siècle et où liberté sans ivresse comme sans terreur . A peine échappé 3 . TURGOT . 29.
... Sachant sur quel fondement s'appuie la société , ayant une idée juste des origines de la civilisation moderne , il sait d'où vient le siècle et où liberté sans ivresse comme sans terreur . A peine échappé 3 . TURGOT . 29.
Page 34
... idée du progrès ( et cette inconséquence est la seule que je lui reprocherais ) , que prendre la ferti- lité du sol pour mesure de la richesse , c'est affirmer que cette richesse a des bornes , tandis que la puissance de l'industrie ...
... idée du progrès ( et cette inconséquence est la seule que je lui reprocherais ) , que prendre la ferti- lité du sol pour mesure de la richesse , c'est affirmer que cette richesse a des bornes , tandis que la puissance de l'industrie ...
Other editions - View all
Common terms and phrases
âme assez besoin caractère cause chose christianisme cœur Condillac Contrat social Coppet Cousin critique croyances d'Alembert Descartes devait développement Dieu dire disciples divine dix-huitième siècle doctrine doute école écrit élevé éloquence enfin esprit eût femme Fénelon Fichte fond force général génie gloire gouvernement Hegel hommes idées Jean-Jacques juge justice Kant l'âme l'auteur l'esprit humain l'État l'histoire l'homme l'humanité l'idée laisser Leibnitz lettres liberté libre livre Locke logique lois losophie lui-même lutte madame de Staël madame de Warens madame Geoffrin ment métaphysique méthode monde montre morale nation nature panthéisme parler Pascal passion pensée peuple philo philoso philosophie Platon poëte politique première presque principes progrès puissance pure qu'un question raison réformes religieuse religion reste révolution française rien Rousseau Royer-Collard scepticisme Schelling science semble sens sentiment sera seulement social société sophie sorte souvent spiritualisme stoïcisme surtout système théisme théorie tion Turgot universelle Vauvenargues vérité voilà Voltaire vrai
Popular passages
Page 101 - Que si quelqu'un, après avoir reconnu publiquement ces mêmes dogmes, se conduit comme ne les croyant pas, qu'il soit puni de mort ; il a commis le plus grand des crimes : il a menti devant les lois.
Page 101 - L'existence de la divinité puissante, intelligente, bienfaisante, prévoyante et pourvoyante, la vie à venir, le bonheur des justes, le châtiment des méchants, la sainteté du contrat social et des lois; voilà les dogmes positifs.
Page 117 - Trop souvent la raison nous trompe, nous n'avons que trop acquis le droit de la récuser ; mais la conscience ne trompe jamais, elle est le vrai guide de l'homme...
Page 271 - Tout ce que je vois jette les semences d'une révolution qui arrivera immanquablement, et dont je n'aurai pas le plaisir d'être témoin. Les Français arrivent tard à tout, niais enfin ils arrivent. La lumière s'est tellement répandue de proche en proche, qu'on éclatera à la première occasion; et alors ce sera un beau tapage. Les jeunes gens sont bien heureux; ils verront de belles choses.
Page 201 - C'est pourquoi je ne saurais aucunement approuver ces humeurs brouillonnes et inquiètes, qui, n'étant appelées, ni par leur naissance, ni par leur fortune, au maniement des affaires publiques, ne laissent pas d'y faire toujours, en idée, quelque nouvelle ré formation.
Page 109 - Posons pour maxime incontestable que les premiers mouvements de la nature sont toujours droits : il n'ya point de perversité originelle dans le cœur humain; il ne s'y trouve pas un seul vice dont on ne puisse dire comment et par où il y est entré.
Page 116 - Supposer quelque acte, quelque effet qui ne dérive pas d'un principe actif, c'est vraiment supposer des effets sans cause, c'est tomber dans le cercle vicieux.
Page 146 - Le feu, l'air, l'esprit, la lumière, tout vit par l'action. De là la communication et l'alliance de tous les êtres. De là l'unité et l'harmonie dans l'univers. Cependant cette loi de la nature si féconde, nous trouvons que c'est un vice dans l'homme. Et parce qu'il est obligé d'y obéir, ne pouvant subsister dans le repos, nous concluons qu'il est hors de sa place.
Page 87 - ... grossiers n'avaient encore aucun exercice, et plus difficile encore à concevoir en ellemême, puisque cet accord unanime dut être motivé, et que la parole paraît avoir été fort nécessaire pour établir l'usage de la parole.
Page 147 - La raison et le sentiment se conseillent et se suppléent tour à tour. Quiconque ne consulte qu'un des deux et renonce à l'autre, se prive inconsidérément d'une partie des secours qui nous ont été accordés pour nous conduire.