Lettres, publ. avec sommaires, tr. [&c.] par A. Teulet. (Suppl. au recueil du prince Labanoff). |
Common terms and phrases
aultres avecques avoit avoyt Bernardino de Mendoça cause ceste chose comte de Bothwell comte de Morton comte de Murray comte de Shrewsbury Conseil Curle d'Espagne Danemark Darnley desyre di-je dicho dict dict-il Dieu don Bernardino dudict Édimbourg Élisabeth embaxador Escosse estant esté estoit estre faict fust Glasgow Gorion gude hæc hannd hart Huntly Inglaterra ipsius j'avoys j'ay l'ambassadeur l'archevêque de Glasgow ledict Lennox lettre lord lufe Majestatem Vestram Majestatis Vestræ Majesté Marie Stuart mesme mihi Monsieur de Boduel pinques prince Labanoff qu'ilz quæ quam quhen quhilk quod quoy Recueil du prince Regiæ Reine d'Angleterre Reine d'Écosse Reyna de Escocia Royne Royne d'Escosse scho Scotia Seigneurs Serenitatis Sieur de Boduel subjectz suld texte écossais thair thay thing traduction Tuæ tyme uther verray wald wryte zour
Popular passages
Page 59 - ... the remnant cannot be bot subject unto zow, and with consenting of the hart. In place quhairof, sen I have ellis left it unto zow, I send unto zow ane sepulture of hard stane, colourit with blak, sawin with teiris and bones.
Page 48 - I advertisit zow weill to tak heid of zour fals brother in law; He come to me, and without schawing me ony thing from zow, tald me that ze had willit him to wryte to zow that that I suld say, and quhair and quhen ze suld cum to me, and that that ze suld do tuiching him; and thairupon hes preichit unto me yat it was ane...
Page 67 - Par vous, mon coeur, & par vostre alliance, Elle a remis sa maison en honneur, Elle a jouy par vous de la grandeur, Dont tous les siens n'avoient nulle asseurance. De vous, mon bien, elle a eu la Constance, Et a gaigne...
Page 56 - ... zow of the feir he hes yat he suld be chargeit and accusit of tressoun, to ye end yat' without mistraisting him, ze may be the mair circumspect, and that ze may have ye mair power. For we had zisterday mair than iii.
Page 244 - I beseech your Majesty fear not, but trust in God that all shall be well. The treachery of your traitors is known better than before. I shall always play my part to your Majesty's content, willing God, so as may tend to both our comforts. And now must I yield...
Page 35 - The waitting upon yame zisterday causit me to be almaist in sic joy as I will be at zour returning, quhilk ze have delayit langer then zour promeis was. As to me, howbeit I have na farther newis from zow, according to my...
Page 128 - C'est-à-dire de l'Melligntce. leur ruyne, le Roy veult que ledict sieur du Croc saiche que le désir et intention principale de Sa Majesté est de conserver le royaume d'Escosse à sa dévotion, sans permettre que, soubz prétexte de tant de folies qui se présentent, il se retire et alliène en aultre dévotion que la sienne, comme il est certain qu'il seroyt pour faire envers lesdicts Anglois, que lesdicts seigneurs chercheroient comme protecteurs en l'afaire qui se présente, s'ilz voyoient n'avoir...
Page 121 - ... conduict en bonne compagnye jusques à Laucheleven; et là sont demeurez milord Lindesey et milord Reven et plusieurs. — Je ne veult point oublier que, durant toutes les menées par cy-devant mentionnées, je ne veis jamais homme de plus grand cueur et de plus grand courage pour mettre une entreprise à exécution de bataille que la Royne de sa part, car j'estime que son principal but estoit pour donner la bataille aux seigneurs dessus nommez. Et, de la part de l'autre cousté, de mesme délibération...
Page 36 - II m'a remis en mémoire toutes les choses qui peuvent me faire entendre qu'il m'aime : en somme vous diriez qu'il m'honore et recherche avec grand respect : en quoi je pren si grand plaisir que je n'entre jamais vers luy que la douleur de mon costé malade ne me saisisse, tant il me fasche. » . Deuxième Içttre de Marie SIuart à Bothwell , dans les Meleur prochain départ.
Page 32 - See not hir quhais fenzeit teiris suld not be sa meikle praisit and estemit, as the trew and faithfull travellis quhilk I sustene for to merit hir place. For obtaining of the quhilk, againis my natural, I betrayis thame that may impesche me. God forgive me,