La Décade philosophique, littéraire et politique, Volume 2J.B. Say |
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50 cent amour anglais Artistes Arts assez avantages beau belle Bernis bientôt canaux Cardinal chants Charles charme citoyens cœur connaitre Conseil des Cinq-Cents Corvette Décade départemens Diable boiteux Dieu Dieux différens Directoire Directoire exécutif doit donner doute Ecoles centrales effet Égypte enfans enfin esprit étre fesait française Général génie genre goût Gouvernement guerre habitans heureux Homère hommes j'ai jamais jeune jour jusqu'à l'amour l'an VII l'armée l'auteur l'esprit l'homme l'Institut national l'ouvrage langue lecteurs lettres libraire livres long-tems Madame malheureux mémoire ment millions Ministre mœurs monumens morale moyens Naples nation nombre objets observations ouvrage Petite-Vérole peuple peut-être philosophique pièces poëme poésie Poëte politique port poste premier présent public qu'un quai des Augustins raison Rastadt République reste Rome rue des Mathurins s'est Sardaigne Savans Sciences sentiment sera seul sorte succès sujet sur-tout Surinam systême talent tems théâtre Tholus tion traité Trimestre trouve Vincent Campenon Voltaire yeux
Popular passages
Page 115 - Aucun ouvrage envoyé au concours ne doit porter le nom de l'auteur, mais seulement une sentence ou devise: on pourra, si l'on veut, y attacher un billet séparé...
Page 565 - ... ont été si manifestes qu'elles ont déjà excité l'étonnement de l'Europe, et l'indignation des républicains ; d'autres, moins publiques ou moins aperçues , n'ont pas été cependant moins hostiles, et le directoire exécutif ne peut pas différer davantage à retracer au corps législatif les circonstances de la conduite du cabinet autrichien, conduite vraiment offensive , attentatoire à l'état de paix , et qu'aucun effort , aucun exemple n'ont pu ramener à l'observation des engagemens...
Page 35 - Bettinelli. On y aperçoit bien quelque prévention monacale, et une grande frayeur des sarcasmes de Voltaire ; mais on y reconnaît aussi la tournure d'esprit et la conversation toujours brillante et animée de cet homme extraordinaire. On y verra encore que ceux qui l'ont représenté comme le flatteur des rois et le fauteur du despotisme , ont bien sottement apprécié les...
Page 28 - J'avoue , ajoute-t-il , que ma vanité en fut médiocrement flattée ; et je pris le parti , pour me dérober à ce genre de renommée, de regagner la frontière et d'aller faire visite à Voltaire', qui m'y avait invité.
Page 569 - Il n'y avait que quelques mois que cette déclaration avait été faite, lorsqu'un corps de troupes Autrichiennes envahit le pays des Grisons et s'y établit. Tout ce qu'il y avait d'hostile dans cette occupation, tout ce qu'elle renfermait de machinations secrètes, n'échappa point au Directoire Exécutif. Il était évident qu'ainsi l'Autriche se préparait les moyens de troubler...
Page 115 - Ministre de l'Intérieur, en affranchissant ; on peut aussi les adres*er , francs de port , à Paris, à l'un des Secrétaires de la classe qui a proposé le Prix , ou bien les lui faire remettre entre les mains.
Page 537 - On a longtemps ignoré l'origine de chaque dieu , leur forme, leur nature, et s'ils avaient tous existé de tout temps : ce n'est, pour ainsi dire, que d'hier qu'on le sait. Je pense en effet qu'Homère et Hésiode ne vivaient que quatre cents ans avant moi '. Or ce sont eux qui les premiers ont décrit...
Page 31 - César ; mais son admiration se terminait toujours par quelque épigramme contre César. Il avait un singe qu'il avait appelé Luc, et il se plaisait souvent à donner ce nom au roi de Prusse. Je lui en témoignai un jour ma surprise : « Ne voyez-vous pas, me répondit-il, que mon singe mord tout le monde;
Page 34 - Esprit; il dit tout haut qu'il allait chez la reine pour lui montrer les belles choses que son maître-d'hôtel faisait imprimer. Alors éclata la tempête contre le livre et l'auteur. Quelle folie, disait Voltaire, de vouloir faire le philosophe à la cour, et l'homme de cour avec les philosophes...
Page 33 - Il se disait quelquefois mourant, d'autres fois il était redevable à Tronchin de la vie et de la santé; mais en même temps il se moquait de la médecine et du médecin. Tronchin, de son côté, n'était guères content de son malade.