Mercure de France au dix-neuvième siècle1786 |
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Page 12
... juger l'Hiftorien plus févèrement que le Voyageur , & à de- mander au premier beaucoup plus , parce qu'il nous promet davantage . pour Une autre raifon de notre indulgence l'Écrivain - Voyageur , eft la forte d'inté- rêt qu'il nous ...
... juger l'Hiftorien plus févèrement que le Voyageur , & à de- mander au premier beaucoup plus , parce qu'il nous promet davantage . pour Une autre raifon de notre indulgence l'Écrivain - Voyageur , eft la forte d'inté- rêt qu'il nous ...
Page 16
... juger des autres ; comme fi l'on dé- couvre parmi des ruines , la tête ou quel- que membre d'un Apollon antique , on eft für que tout le refte eft d'un Dieu . Cette comparaifon , continue - t - il , n'eft point » l'effet de l ...
... juger des autres ; comme fi l'on dé- couvre parmi des ruines , la tête ou quel- que membre d'un Apollon antique , on eft für que tout le refte eft d'un Dieu . Cette comparaifon , continue - t - il , n'eft point » l'effet de l ...
Page 30
... juger des ressemblances , car les originaux font ici , regardez aux fenêtres : vous les verrez . Je lève les yeux , & je vois en effet une demi douzaine de balcons chargés de jeunes per- fonnes parées les unes de leurs charmes naturels ...
... juger des ressemblances , car les originaux font ici , regardez aux fenêtres : vous les verrez . Je lève les yeux , & je vois en effet une demi douzaine de balcons chargés de jeunes per- fonnes parées les unes de leurs charmes naturels ...
Page 52
... juger . inle Tendre époufe , mère prudente , En goûtant l'attrait féducteur D'une fociété brillante , Du plaifir vous cueillez la fleur Sans que l'épine vous tourmente ; Et l'on voit bien que votre cœur N'en fonge pas moins au bonheur ...
... juger . inle Tendre époufe , mère prudente , En goûtant l'attrait féducteur D'une fociété brillante , Du plaifir vous cueillez la fleur Sans que l'épine vous tourmente ; Et l'on voit bien que votre cœur N'en fonge pas moins au bonheur ...
Page 121
... juger les actions fur les principes ou fur les préjugés d'une Nation toute différente . Le ftyle de cet Ouvrage , clair , naturel , élégant , a plus de rapidité que de nobleffe ; il tient d'ailleurs à des règles de goût qu'on ne ...
... juger les actions fur les principes ou fur les préjugés d'une Nation toute différente . Le ftyle de cet Ouvrage , clair , naturel , élégant , a plus de rapidité que de nobleffe ; il tient d'ailleurs à des règles de goût qu'on ne ...
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Common terms and phrases
21 Juillet affez affure ainfi Anglois auffi aufli avoient avoit befoin Bengale c'eft c'eſt Carpegna caufe Charade Cherbourg chofe Clavecin commerce Compagnie compofée Comte Confeil conféquence confidérable confignation connoître Dantzick Décemvir deftinées derniere devoit difcours Dorat Duc d'Orléans enfans enfuite eſt Etats étoient étoit expofe faifant fans doute fanté favoir fe font fe trouve fecond fecours femble femme fentiment fera feront fervice fervir feul fiècle fieur fimple foit fomme fous fouvent François fuccès fuivant fujet fur-tout Général Haftings Hiftoire hommes Hyet jour jufqu'à jufte juftice Juillet Juin l'Académie l'Auteur l'efprit l'Hiftoire l'Inde laiffe lefquels lettre Libraire Lord lorfque maifon Majefté maniere ment Miniftre n'avoit n'eft néceffaire obfervations occafion Ouvrage paffer paroît perfonnes plaifir plufieurs pourroit préfent Prince propofe Pruffiens refpect refte Régimens Royale rue du Roule Ruffie s'eft s'étoit Sauvigny Stathouder tems tion ufage vaiffeaux volume Wetzlar Zambac دو رو
Popular passages
Page 166 - Aux valets étourdis je suis d'un grand secours. Le Louvre ne voit point ma figure à sa porte. •Une grossière main vient la plupart du temps Me prendre de la main des plus honnêtes gens. Civil, officieux, je suis né pour la ville. * Dans le plus rude hiver j'ai le dos toujours nu: Et, quoique fort commode, à peine m'at-on vu, Qu'ausitot négligé. je deviens inutile.
Page 1 - Mercure de France dédié au Roi. par une Société de gens de lettres, «contenant le Journal Politique des principaux...
Page 67 - Ce mot de bienfaiteurs, et ce mot de bienfaits. Si, dans l'été brûlant d'une vive jeunesse, Je saisis du plaisir la coupe enchanteresse, Je veux, le front ouvert, de la feinte ennemi, Voir briller mon bonheur dans les yeux d'un ami. D'un ami ! Ce nom seul me charme et me rassure. C'est avec mon ami que ma raison s'épure , Que je cherche la paix , des conseils , un appui. Je me soutiens, m'éclaire, et me calme avec lui. Dans des pièges trompeurs si ma vertu sommeille, J'embrasse , en le suivant...
Page 240 - Par M. de Florian, Capitaine de dragons, et Gentilhomme de SAS Mgr le Duc de Penthièvre; de l'académie de Madrid, etc., Paris, de l'Imprimerie de Didot l'Aîné, 1786.
Page 144 - Cours de langue italienne, à l'aide duquel on peut apprendre cette langue sans maitre... contenant la Jérusalem délivrée et les lettres d'une Péruvienne, avec traduction interlinéaire. Paris, l'auteur, 1783, 3 vol.
Page 17 - ... souvenir d'une belle figure. Il n'a » l'air ni grave ni familier ; on voit quelquefois
Page 59 - ... fois ; nous nous trouvâmes » tout d'un coup fi liés , fi unis , fi » connus , fi obligés , que rien ne nous » fut plus cher que l'un à l'autre. Et » quand je me demande d'où vient » cette joie , cette aife , ce repos que » je fens lorfque je le vois ; c'eft que » c'eft lui ; c'eft que c'eft moi : c'eft
Page 46 - Membre de la Société Royale de. Londres , par M. Gibelin , Docteur en Médecine , Membre de la Société Médicale de Londres; 3 vol.
Page 178 - Mgr. comte d'Artois , le duc de Chartres, le duc de Bourbon , le prince de Conti & le duc de Penthievre...