Revue des deux mondesFrançois Buloz, Charles Buloz, Ferdinand Brunetière, André Chaumeix, Francis Charmes, René Doumic Au Bureau de la Revue des deux mondes, 1833 - France |
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... laissé tout entier , il n'aurait pas pu en faire un utile usage . En effet , dans ses relations diploma- tiques , il était arrêté à chaque pas par une ignorance des hommes et des choses , peu commune dans sa situation ; en ...
... laissé tout entier , il n'aurait pas pu en faire un utile usage . En effet , dans ses relations diploma- tiques , il était arrêté à chaque pas par une ignorance des hommes et des choses , peu commune dans sa situation ; en ...
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... laissé distraire , en passant , par la fantaisie de s'asseoir tout éperonnés sur le trône impérial de Constantinople . Vous savez en quelle admiration les jeta la ren- contre qu'ils firent , aux extrémités de l'Europe , d'une ville si ...
... laissé distraire , en passant , par la fantaisie de s'asseoir tout éperonnés sur le trône impérial de Constantinople . Vous savez en quelle admiration les jeta la ren- contre qu'ils firent , aux extrémités de l'Europe , d'une ville si ...
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... laisse échapper qu'à regret de sa plume de rhéteur les détails naïfs et simples , plus instructifs cent fois que ces solennels paral- ( 1 ) Voy . la livraison du 1er juin 1832 de la 1re série . lèles entre les généraux d'Athènes et de ...
... laisse échapper qu'à regret de sa plume de rhéteur les détails naïfs et simples , plus instructifs cent fois que ces solennels paral- ( 1 ) Voy . la livraison du 1er juin 1832 de la 1re série . lèles entre les généraux d'Athènes et de ...
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... laissé dans l'île une race d'excellens chiens , et dont plusieurs ont marché sur ses traces ( 1 ) ; j'ai connu à la terre ferme un de ses fils , appelé Léoncico , qui appartenait à l'adelantade Vasco Nuñez de Balboa , et qui gagnait ...
... laissé dans l'île une race d'excellens chiens , et dont plusieurs ont marché sur ses traces ( 1 ) ; j'ai connu à la terre ferme un de ses fils , appelé Léoncico , qui appartenait à l'adelantade Vasco Nuñez de Balboa , et qui gagnait ...
Page 55
... , et arriva jusque sur les terres du cacique Guarionex , chez lequel par hasard se trouvait alors Salazar . Celui - ci , voyant le naboria qui pleurait en pensant à la triste situation dans laquelle il avait laissé son BECERRILLO . 55.
... , et arriva jusque sur les terres du cacique Guarionex , chez lequel par hasard se trouvait alors Salazar . Celui - ci , voyant le naboria qui pleurait en pensant à la triste situation dans laquelle il avait laissé son BECERRILLO . 55.
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Common terms and phrases
Alexandre Duval Antony Deschamps arrivé assez avaient Balmat beau beauté belle Benjamin Constant Brahmanes Buenos-Ayres c'était Casimir Périer chambre chants cheval chose cœur côté crois dernier devant Dieu dire dôme du Goûter donner drame église enfin Espagnols femme forme front général génie gloire goût gouvernement heures homme Horace Vernet Hugo idées Indiens j'ai j'avais j'étais Jacques Balmat jamais jeter jeune Joseph jour jusqu'à keepsake l'Académie l'art l'auteur l'eau l'histoire laissé lieu littéraire littérature lois long-temps Lucrèce Borgia madame de Nanteuil madame de Staël main Maturin ment Michel-Ange milieu mille Mississipi Missouri mœurs monde montagne monumens mort moyen âge n'avait n'était Nouvelle-Orléans nuit parler passé pauvre pays pensée petite peuple philosophie pieds place poésie poète politique porte premier présent presque qu'un raison regarder restauration reste rien s'était saint sanscrit semble sent serait seul siècle soir sorte Taconnay terre terrein tête tion trouve turmaline voûte voyage yeux
Popular passages
Page 170 - J'aime surtout les vers, cette langue immortelle. C'est peut-être un blasphème, et je le dis tout bas. Mais je l'aime à la rage. Elle a cela pour elle Que les sots d'aucun temps n'en ont pu faire cas, Qu'elle nous vient de Dieu, — qu'elle est limpide et belle, Que le monde l'entend, et ne la parle pas.
Page 184 - PAR L'ACADÉMIE DE DIJON: Quelle est l'origine de l'inégalité parmi les hommes, et si elle est autorisée par la loi naturelle?
Page 616 - ... la pierre par la couleur de son sac et l'immobilité de sa personne, que le voisin, qui savait qu'il était là , ne pouvait pas même le distinguer. Un quart d'heure se passa ainsi dans l'attente de l'ours. Enfin , un rugissement prolongé l'annonça. Cinq minutes après, François l'aperçut. Mais, soit par ruse, soit qu'il eût éventé le second chasseur , il ne suivait pas sa route...
Page 614 - Lorsqu'il fut rassassié, l'ours descendit lentement, comme s'il avait du regret d'en laisser, repassa près de notre chasseur, à qui le fusil chargé de sel ne pouvait pas être dans cette circonstance d'une grande utilité, et se retira tranquillement dans la montagne. Tout cela avait duré une heure à peu près, pendant laquelle le temps avait paru plus long à l'homme qu'à l'ours. Cependant l'homme était un brave.... et il avait dit tout bas en voyant l'ours s'en aller: C'est bon, va-t'en,...
Page 616 - ... il avait, au contraire, décrit un circuit, et, au lieu d'arriver à la gauche de Guillaume, comme il avait fait la veille, cette fois il passait à sa droite, hors de la portée de l'arme de François, mais à dix pas tout au plus du bout du fusil de Guillaume.
Page 179 - Tout nous vient de l'orgueil, même la patience. L'orgueil, c'est la pudeur des femmes, la constance Du soldat dans le rang, du martyr sur la croix. L'orgueil, c'est la vertu, l'honneur et le génie, C'est ce qui reste encor d'un peu beau dans la vie, La probité du pauvre et la grandeur des rois.
Page 184 - Si le rétablissement des sciences et des arts a contribué à épurer les mœurs.] Traduit en russe par Paul Potemkine, 1768.
Page 126 - L'art fut ton seul amour et prit ta vie entière; Soixante ans tu courus une triple carrière Sans reposer ton cœur sur un cœur attendri. Pauvre Buonarotti! ton seul bonheur au monde Fut d'imprimer au marbre une grandeur profonde, Et, puissant comme Dieu, d'effrayer comme lui : Aussi, quand tu parvins à ta saison dernière, Vieux lion fatigué, sous ta blanche crinière, Tu mourus longuement plein de gloire et d'ennui.
Page 462 - Je descendis dans ma chambre, et j'allai regarder la lettre sous mon vieil uniforme. Elle avait une autre figure ; il me sembla qu'elle riait, et ses cachets paraissaient couleur de rose.
Page 176 - Ulric, nul œil des mers n'a mesuré l'abîme, Ni les hérons plongeurs, ni les vieux matelots. Le soleil vient briser ses rayons sur leur cime, Comme un soldat vaincu brise ses javelots. Ainsi, nul œil, Ulric, n'a pénétré les ondes De tes douleurs sans borne, ange du ciel tombé.