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ESSAI

SUR

L'ESPRIT ET L'INFLUENCE

DE

LA REFORMATION

DE LUTHER,

Chez MM.

Chez MM.

Se vend à PARIS,

TREUTTEL et WURTZ, rue de Lille, n°. 17.
TILLIARD frères, rue Pavée.

RENOUARD, rue Saint-André-des-Arts.
BOSSANGE, MASSON et BESSON, rue de Tournon.
NICOLLE, rue des Petits-Augustins, n.o 15.
ARTHUS BERTRAND, rue Hautefeuille.

DEERAY, rue S. Honoré, barrière des Sergens.
J. E. GABRIEL DUFOUR, rue des Mathurins.

A STRASBOURG,

Chez MM. TREUTTEL et WURTZ.

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Chez MM.

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HOFFMANN.

Dans le ROYAUME de WESTPHALIE,

A CASSEL, chez M. COLLIGNON.

A GOETTINGUE, chez M. DIETRICH.

SUR

L'ESPRIT ET L'INFLUENCE

DE

LA RÉFORMATION

DE LUTHER;

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Ouvrage qui a remporté le prix sur la question
proposée dans la séance publique du 15 germinal
anx (5 avril 1802), par l'Institut national de
France:

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Quelle a été l'influence de la Réformation de LUTHER
« sur la situation politique des différens Etats de l'Europe,
« et sur le progrès des lumières? »

PAR CHARLES VILLERS,

Correspondant de l'Institut national de France, de la Société royale
des Sciences de Goettingue, etc.

TROISIÈME ÉDITION.

A PARIS,

DE L'IMPRIMERIE DE DIDOT JEUNE.

1808.

Suivant le programme de la Classe des sciences morales et politiques de l'Institut national, qui avait proposé ce sujet, le prix aurait dû être adjugé dans la séance du 15 messidor an x1 ( 4 juillet 1803 ). La nouvelle organisation de ce corps en a décidé autrement. C'est à la Classe d'histoire et de littérature ancienne, qui remplace la cidevant Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, que ce jugement s'est trouvé remis; et cette Classe l'a proclamé dans sa séance publique du 2 germinal an xII ( 23 mars : 1804).

AUX

MEMBRES DE LA CLASSE

D'HISTOIRE ET DE LITTÉRATURE ANCIENNE

DE L'INSTITUT DE FRANCE.

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MESSIEURS,

Daignez agréer avec bonté l'hommage que j'ai l'honneur de vous faire, en vous dédiant la troisième édition de cet ouvrage. Une grande pensée émanée de vous l'a fait naître; votre suffrage lui a valu celui de l'Europe. Tel qu'il paru d'abord, votre indulgence l'avait jugé digne du prix; tel qu'il paraît aujourd'hui, il est peutétre plus digne de ses juges.

Je salue la CLASSE très-respectueusement,

Gættingue, 4 Novembre 1807.

VILLERS.

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