Oeuvres complètes de Clément Marot, Volume 1

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Garnier frères, 1879 - Power (Social sciences) - 251 pages

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Contents

A Monseigneur le Grand Maistre de Montmorency luy envoyant un petit recueil de ses œuvres
151
Pour Pierre Vuyart à madame de Lorraine
153
Epistre quil perdit à la ndemnade contre les couleurs dune damoy selle
154
A une jeune dame laquelle un vieillard marié vouloit espouser et decevoir
155
A celuy qui linjuria par escript et ne sosa nommer
157
Pour un gentilhomme de la Court escrivant aux dames de Chasteaudun
158
A Guillaume du Tertre
161
Pour un vieil gentilhomme respondant à la lettre dun sien amy
162
Du Coq à lasne à Lyon Jamet
164
Au chancelier du Prat nouvellement cardinal
167
Audict seigneur pour se plaindre du tresorier Preudhomme
169
Au Reverendissime cardinal de Lorraine
171
Au Roy pour avoir esté derobé
173
A un sien amy sur ce propos
176
A un qui calumnia lepistre precedente
177
Au lieutenant Gontier
178
A Vignals thoulousain
179
Au Roy pour succeder en lestat de son père
180
Pour la petite princesse de Navarre
183
Au general Prevost
185
A une damoyselle malade
186
A deux damoyselles
187
Pour à plaisir ensemble deviser
274
Le juste dueil remply de fascherie
275
Lesloingnement que de vous je veulx faire
276
Si ma complaincte en vengeance estoit telle
278
Ton gentil cueur si haultement assis
281
Qui eust pensé que lon peust concevoir
283
Tous les humains qui estes sur la terre
288
Tant est mon cueur au vostre uny et joinct
290
En est il une en cette terre basse
292
De la mort de Anne lHulier
295
Du riche infortuné Jaques de Beaune seigneur de Semblançay
296
De Jehan Chauvin menestrier
298
Gente Danes de Juppiter aymée
299
Pour Monsieur de Barroys à Madamoyselle de Huban
300
A une qui refusa un present
301
A une mal contente davoir esté sobrement louée et se plaignant non sobrement
302
Des Enfans sans soucy
305
Cry du jeu de lEmpire dOrléans
306
De frere Lubin
307
Du temps que Marot estoit au Palais à Paris
308
A Madame dAlençon pour estre couché en son estat
309
Dun amant ferme en son amour
310
De la naissance de feu Monseigneur le Daulphin Françoys
311
Du triumphe dArdres et Guignes par les Roys de France et dAngleterre
312
De larrivée de Monseigneur dAlençon en Hay nault
313
De Paix et de Victoire
315
Chant royal chrestien
333
Chant royal dont le Roy bailla le refrain
335
Chant nuptial du Roy dEscosse et de Madame Magdalaine premiere fille de France
336
Cantique à la déesse Santé pour le Roy malade
339
Chant de May
341
Chant de May et de Vertu
342
Chant de follie de lOrigine de Villemanoche
343
Cantique de la Chrestienté sur la venue de lEmpereur et du Roy au voyage de Nice
344
A la Royne de Hongrie venue en France
346
Sur lentrée de lEmpereur à Paris
348
De Marot à lEmpereur
349
Cantique de la Royne sur la maladie et con valescence du Roy
350
Sur la maladie de samye
354
France à lEmpereur à son arrivée
355
Chant royal La Mort du juste et du pescheur
356
A la Royne de Navarre de laquelle il avoit receu une Epistre en rythme
357
Rondeau duquel les lettres capitales portent le nom de lautheur
362
A un creancier
363
Dun qui invite une jeune dame à faire amy
364
A une mesdisante
365
De la jeune dame qui a vieil mary
366
De labsent de samye
367
A Monsieur de Pothon
368
De la mort de Monsieur de Chissay
369
Du confict en douleur
376
De sa grande amye
382
A la jeune dame melancolique et solitaire
389
A une dame luy offrant cueur et service
390
A la fille dun painctre dOrléans belle entre les autres
391
Pour un qui est allé loing de samye
392
A Monseigneur de Belleville
393
De lamour du siecle antique
394
Response par Victor Brodeau au precedent
395
De la mal mariée qui ne veult faire amy
396
Rondeau parfaict A ses amys après sa deli vrance
397
Ladieu de France à lEmpereur
398
Chacun soit content de ses biens
399
Vers affichez à Paris quand Beda fut forbanny
400
Dixain sur le mesme sujet
401
Sur la devise de Hugues Salel
402
A Geoffroy Brulart
403
O quelle erreur par finis esperitz
404
Rondeau des barbiers
405
Plaisir nay plus mais vy en desconfort
406
Dieu gard ma maistresse et regente
407
Jattends secours de ma seule pensée
408
Celle qui ma tant pourmené
409
Au
506

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Popular passages

Page 173 - L'ay éprouvé. Et vous compteray bien, Si vous voulez, comment vint la besongne. J'avois ung jour un valet de Gascongne, Gourmant, yvroigne et asseuré menteur, Pipeur, larron, jureur, blasphémateur, Sentant la hart...
Page 173 - Vostre cueur noble en sçauroit bien que dire; « Et moy, chetif, qui ne suis Roy ne rien, L'ay esprouvé. Et vous compteray bien. Si vous voulez, comment vint la besongne.
Page 137 - Tu en sçais prou et si n'en vas usant ; Je ne t'escry de Dieu ne sa puissance : C'est à luy seul t'en donner...
Page 382 - Dedans Paris, ville jolie, Un jour, passant melancolie, ' Je prins alliance nouvelle A la plus gaye damoyselle Qui soit d'icy en Italie. D'honnesteté elle est saisie, Et croy (selon ma fantasie) Qu'il n'en est gueres de plus belle Dedans Paris. Je ne la vous nommeray mye, Si non que c'est ma grand'amye ; Car l'alliance se feit telle Par un doulx baiser que j'eus d'elle, Sans penser aucune infamie, Dedans Paris*.
Page 174 - Droit à 1'estable où deux chevaux trouva; Laisse le pire, et sur le meilleur monte, Pique , et s'en va.
Page 175 - II n'est point de presteur (S'il veult prester) qui ne face un debteur. Et sçavez vous (Syre) comment le paye? Nul ne le sçait, si premier ne l'essaye ; Vous me devrez (si je puis) de retour, Et vous feray encores un bon tour. A celle fin qu'il n'y ait...
Page 394 - Au bon vieulx temps un train d'amour regnoit Qui sans grand art et dons se demenoit, Si qu'un bouquet donné d'amour profonde, C'estoit donné toute la terre ronde, Car seulement au cueur on se prenoit.
Page 281 - Ton gentil cueur, si haultement assis, Ton sens discret à merveille rassis. Ton noble port, ton maintien asseuré, Ton chant si doulx, ton parler mesuré, Ton propre habit, qui tant bien se conforme Au naturel de ta...
Page 192 - A estre un jour par flamme terminé, Que ce ne soit au moins pour cause folle, Ainçoys pour vous et pour vostre parolle...
Page 170 - Ne plaidons poinct : ce n'est que tout esmoy. Je vous en croy, si je vous ay mesfaict. Encor posé le cas que l'eusse faict Au pis aller n'y cherroit qu'une amende. Prenez le cas que je la vous demande ; Je prens le cas que vous me la donnez...

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