Essais sur la litterature française: écrits pour l'usage d'une dame étrangère, compatriote de l'auteur, Volume 2 |
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Page 20
... main a commencé par le sang de ton frère ; Je prévois que tes coups viendront jusqu'à ta mère . Dans le fond de ton cœur , je sais que tu me hais : Tu voudras t'affranchir du joug de mes bienfaits ; Mais je veux que ma mort te soit même ...
... main a commencé par le sang de ton frère ; Je prévois que tes coups viendront jusqu'à ta mère . Dans le fond de ton cœur , je sais que tu me hais : Tu voudras t'affranchir du joug de mes bienfaits ; Mais je veux que ma mort te soit même ...
Page 35
... main , Monsieur , lui dis - je , nous approuvions vous et moi toutes les sottises qui viennent d'être critiquées si finement et avec tant de bon sens ; mais croyez - moi , pour me servir de ce que dit Saint - Remy à Clovis , il nous ...
... main , Monsieur , lui dis - je , nous approuvions vous et moi toutes les sottises qui viennent d'être critiquées si finement et avec tant de bon sens ; mais croyez - moi , pour me servir de ce que dit Saint - Remy à Clovis , il nous ...
Page 40
... main tomber l'urne terrible ; Je crois te voir , cherchant un supplice nouveau , Toi - même de ton sang devenir le bourreau . Pardonne : un dieu cruel a perdu ta famille . Reconnois sa vengeance aux fureurs de ta fille . Hélas ! du ...
... main tomber l'urne terrible ; Je crois te voir , cherchant un supplice nouveau , Toi - même de ton sang devenir le bourreau . Pardonne : un dieu cruel a perdu ta famille . Reconnois sa vengeance aux fureurs de ta fille . Hélas ! du ...
Page 43
... Main- >> tenon étoit importunée de tous côtés . Il y >> avoit plus de deux mille aspirans , et il n'y >> avoit que deux cents places . Le roi faisoit >> une liste , comme pour les voyages de Marly . >> Il entroit le premier ; et se ...
... Main- >> tenon étoit importunée de tous côtés . Il y >> avoit plus de deux mille aspirans , et il n'y >> avoit que deux cents places . Le roi faisoit >> une liste , comme pour les voyages de Marly . >> Il entroit le premier ; et se ...
Page 51
... main à la poche , en tire » le cahier , qui probablement ne le quitte jamais : Voici de petits vers . C'est un de ces >> endroits où l'acclamation est universelle ; j'ai >> vu des spectateurs saisis d'une surprise réelle : >> ils ...
... main à la poche , en tire » le cahier , qui probablement ne le quitte jamais : Voici de petits vers . C'est un de ces >> endroits où l'acclamation est universelle ; j'ai >> vu des spectateurs saisis d'une surprise réelle : >> ils ...
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Popular passages
Page 40 - Je crois voir de ta main tomber l'Urne terrible, Je crois te voir, cherchant un supplice nouveau, Toi-même, de ton Sang devenir le Bourreau. Pardonne. Un Dieu cruel a perdu ta Famille. Reconnais sa vengeance aux fureurs de ta Fille.
Page 442 - ... finesse et quelle justesse dans ses réponses ! quel empire sur ses passions ! Où est l'homme, où est le sage qui sait agir, souffrir et mourir sans faiblesse et sans ostentation ? Quand Platon peint son juste imaginaire couvert de tout l'opprobre du crime, et digne de tous les prix de la vertu, il peint trait pour trait Jésus-Christ : la ressemblance est si frappante que tous les Pères l'ont sentie, et qu'il n'est pas possible de s'y tromper.
Page 444 - Jésus expirant dans les tourments, injurié, raillé, maudit de tout un peuple, est la plus horrible qu'on puisse craindre. Socrate prenant la coupe empoisonnée bénit celui qui la lui présente et qui pleure ; Jésus, au milieu d'un supplice affreux, prie pour ses bourreaux acharnés. Oui, si la vie et la mort de Socrate sont d'un sage, la vie et la mort de Jésus sont d'un Dieu.
Page 424 - Si le rétablissement des sciences et des arts a contribué à épurer les mœurs 1 Avertissement
Page 406 - Voltaire n'écrira jamais une bonne histoire. Il est comme les moines, qui n'écrivent pas pour le sujet qu'ils traitent, mais pour la gloire de leur ordre. Voltaire écrit pour son couvent.
Page 23 - De cette nuit, Phénice, as-tu vu la splendeur? Tes yeux ne sont-ils pas tout pleins de sa grandeur? Ces flambeaux, ce bûcher", cette nuit enflammée, Ces aigles, ces faisceaux, ce peuple, cette armée, Cette foule de rois, ces consuls, ce sénat, Qui tous de mon amant empruntaient leur éclat...
Page 9 - Je le suis, ma Psyché, de toute la nature. Les rayons du soleil vous baisent trop souvent; Vos cheveux souffrent trop les caresses du vent; Dès qu'il les flatte , j'en murmure : L'air même que vous respirez Avec trop de plaisir passe par votre bouche; Votre habit de trop près vous touche ; Et, sitôt que vous soupirez, Je ne sais quoi, qui m'effarouche, Craint, parmi vos soupirs, des soupirs égarés.
Page 28 - Je fuis : ainsi le veut la fortune ennemie. Mais vous savez trop bien l'histoire de ma vie Pour croire que longtemps, soigneux de me cacher, J'attende en ces déserts qu'on me vienne chercher. La...
Page 24 - Qu'elle eût dans son absence un pouvoir absolu. Tu sais de nos sultans les rigueurs ordinaires : Le frère rarement laisse jouir ses frères De l'honneur dangereux d'être sortis d'un sang Qui les a de trop près approchés de son rang.
Page 450 - Mais si vous vous obstinez à rejeter mon secours, attendez-vous que je ne le dirai à personne. Si vous persistez à vous creuser l'esprit pour trouver de nouveaux malheurs, choisissez-les tels que vous voudrez ; je suis roi, je puis vous en procurer au gré de vos souhaits ; et, ce qui sûrement...