Essais sur la litterature française: écrits pour l'usage d'une dame étrangère, compatriote de l'auteur, Volume 2 |
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... ment , pour parvenir à ses fins , les vices , les vertus et les foiblesses de tout ce qui l'envi- ronne . Burrhus est un sage , au milieu de la cour la plus corrompue . « Le mérite d'une » pièce » , dit M. de La Harpe , « qui réunissoit ...
... ment , pour parvenir à ses fins , les vices , les vertus et les foiblesses de tout ce qui l'envi- ronne . Burrhus est un sage , au milieu de la cour la plus corrompue . « Le mérite d'une » pièce » , dit M. de La Harpe , « qui réunissoit ...
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... ment » , dit M. de La Harpe , « < deux chefs- » d'œuvre qui , en élevant Racine au - dessus » de lui - même , devoient achever sa gloire , » la défaite de l'envie et le triomphe de la » scène française . L'un étoit Iphigénie , le mo ...
... ment » , dit M. de La Harpe , « < deux chefs- » d'œuvre qui , en élevant Racine au - dessus » de lui - même , devoient achever sa gloire , » la défaite de l'envie et le triomphe de la » scène française . L'un étoit Iphigénie , le mo ...
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... ment accueillie ; le sujet n'inspiroit pas , dans ce moment , de l'intérêt . Elle a été regardée ensuite , pour la versification et pour la vérité des sentimens , comme un des chefs - d'œuvre du théâtre français . La comédie des ...
... ment accueillie ; le sujet n'inspiroit pas , dans ce moment , de l'intérêt . Elle a été regardée ensuite , pour la versification et pour la vérité des sentimens , comme un des chefs - d'œuvre du théâtre français . La comédie des ...
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... ment à ton Misanthrope de faire rire ? Il ne >> voit pas que le prodige de ton art est d'avoir » montré le Misanthrope , de manière qu'il n'y >> a personne , excepté le méchant , qui ne vou- » lût être Alceste avec ses ridicules . Tu ...
... ment à ton Misanthrope de faire rire ? Il ne >> voit pas que le prodige de ton art est d'avoir » montré le Misanthrope , de manière qu'il n'y >> a personne , excepté le méchant , qui ne vou- » lût être Alceste avec ses ridicules . Tu ...
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... ment à les hasarder . Ce défaut dans lui vient de l'envie ou de la nécessité de plaire à la multitude , pour laquelle il faisoit des farces ; car dans ses grandes pièces , dans ses chefs- d'œuvre , on ne trouve rien qui puisse blesser ...
... ment à les hasarder . Ce défaut dans lui vient de l'envie ou de la nécessité de plaire à la multitude , pour laquelle il faisoit des farces ; car dans ses grandes pièces , dans ses chefs- d'œuvre , on ne trouve rien qui puisse blesser ...
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Popular passages
Page 40 - Je crois voir de ta main tomber l'Urne terrible, Je crois te voir, cherchant un supplice nouveau, Toi-même, de ton Sang devenir le Bourreau. Pardonne. Un Dieu cruel a perdu ta Famille. Reconnais sa vengeance aux fureurs de ta Fille.
Page 442 - ... finesse et quelle justesse dans ses réponses ! quel empire sur ses passions ! Où est l'homme, où est le sage qui sait agir, souffrir et mourir sans faiblesse et sans ostentation ? Quand Platon peint son juste imaginaire couvert de tout l'opprobre du crime, et digne de tous les prix de la vertu, il peint trait pour trait Jésus-Christ : la ressemblance est si frappante que tous les Pères l'ont sentie, et qu'il n'est pas possible de s'y tromper.
Page 444 - Jésus expirant dans les tourments, injurié, raillé, maudit de tout un peuple, est la plus horrible qu'on puisse craindre. Socrate prenant la coupe empoisonnée bénit celui qui la lui présente et qui pleure ; Jésus, au milieu d'un supplice affreux, prie pour ses bourreaux acharnés. Oui, si la vie et la mort de Socrate sont d'un sage, la vie et la mort de Jésus sont d'un Dieu.
Page 424 - Si le rétablissement des sciences et des arts a contribué à épurer les mœurs 1 Avertissement
Page 406 - Voltaire n'écrira jamais une bonne histoire. Il est comme les moines, qui n'écrivent pas pour le sujet qu'ils traitent, mais pour la gloire de leur ordre. Voltaire écrit pour son couvent.
Page 23 - De cette nuit, Phénice, as-tu vu la splendeur? Tes yeux ne sont-ils pas tout pleins de sa grandeur? Ces flambeaux, ce bûcher", cette nuit enflammée, Ces aigles, ces faisceaux, ce peuple, cette armée, Cette foule de rois, ces consuls, ce sénat, Qui tous de mon amant empruntaient leur éclat...
Page 9 - Je le suis, ma Psyché, de toute la nature. Les rayons du soleil vous baisent trop souvent; Vos cheveux souffrent trop les caresses du vent; Dès qu'il les flatte , j'en murmure : L'air même que vous respirez Avec trop de plaisir passe par votre bouche; Votre habit de trop près vous touche ; Et, sitôt que vous soupirez, Je ne sais quoi, qui m'effarouche, Craint, parmi vos soupirs, des soupirs égarés.
Page 28 - Je fuis : ainsi le veut la fortune ennemie. Mais vous savez trop bien l'histoire de ma vie Pour croire que longtemps, soigneux de me cacher, J'attende en ces déserts qu'on me vienne chercher. La...
Page 24 - Qu'elle eût dans son absence un pouvoir absolu. Tu sais de nos sultans les rigueurs ordinaires : Le frère rarement laisse jouir ses frères De l'honneur dangereux d'être sortis d'un sang Qui les a de trop près approchés de son rang.
Page 450 - Mais si vous vous obstinez à rejeter mon secours, attendez-vous que je ne le dirai à personne. Si vous persistez à vous creuser l'esprit pour trouver de nouveaux malheurs, choisissez-les tels que vous voudrez ; je suis roi, je puis vous en procurer au gré de vos souhaits ; et, ce qui sûrement...