Essais sur la litterature française: écrits pour l'usage d'une dame étrangère, compatriote de l'auteur, Volume 2 |
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... reste . Il a donné le premier de la >> noblesse à notre versification ; le premier , il » a élevé notre langue à la dignité de la tra- gédie ; et dans ses beaux morceaux , il semble >> >> imprimer au langage la force de ses idées . 4 ...
... reste . Il a donné le premier de la >> noblesse à notre versification ; le premier , il » a élevé notre langue à la dignité de la tra- gédie ; et dans ses beaux morceaux , il semble >> >> imprimer au langage la force de ses idées . 4 ...
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... reste , et le fit en quinze jours . Toutes les paroles qui se chantent sont de Quinault , à la réserve de la plainte italienne , qui est de Lully , etc. » Les vers cités ici sont dans la scène troisième du troisième acte ; par ...
... reste , et le fit en quinze jours . Toutes les paroles qui se chantent sont de Quinault , à la réserve de la plainte italienne , qui est de Lully , etc. » Les vers cités ici sont dans la scène troisième du troisième acte ; par ...
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... reste , chacun parle et fait comme il l'entend ; Tout est mal , tout est bien : tout le monde est content . » Non seulement ces vers sont de la tour- nure la plus facile et la plus agréable , mais c'est là ce que j'appelle , dans une ...
... reste , chacun parle et fait comme il l'entend ; Tout est mal , tout est bien : tout le monde est content . » Non seulement ces vers sont de la tour- nure la plus facile et la plus agréable , mais c'est là ce que j'appelle , dans une ...
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... reste assez de force pour >> achever ce que j'ai commencé . Je suis un >> homme libre ; jamais on ne me fera rentrer >> vivant dans une prison . » On lui procura les secours des chirurgiens ; et après quelques jours d'extrêmes ...
... reste assez de force pour >> achever ce que j'ai commencé . Je suis un >> homme libre ; jamais on ne me fera rentrer >> vivant dans une prison . » On lui procura les secours des chirurgiens ; et après quelques jours d'extrêmes ...
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... reste . La seconde , avec beaucoup moins d'in- térêt et d'art , est aussi de caractère et de mœurs ; il y a pour le moins autant de gaieté et bien plus d'esprit encore , et un bien meilleur es- prit que dans le Barbier . La troisième ...
... reste . La seconde , avec beaucoup moins d'in- térêt et d'art , est aussi de caractère et de mœurs ; il y a pour le moins autant de gaieté et bien plus d'esprit encore , et un bien meilleur es- prit que dans le Barbier . La troisième ...
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Common terms and phrases
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Popular passages
Page 40 - Je crois voir de ta main tomber l'Urne terrible, Je crois te voir, cherchant un supplice nouveau, Toi-même, de ton Sang devenir le Bourreau. Pardonne. Un Dieu cruel a perdu ta Famille. Reconnais sa vengeance aux fureurs de ta Fille.
Page 442 - ... finesse et quelle justesse dans ses réponses ! quel empire sur ses passions ! Où est l'homme, où est le sage qui sait agir, souffrir et mourir sans faiblesse et sans ostentation ? Quand Platon peint son juste imaginaire couvert de tout l'opprobre du crime, et digne de tous les prix de la vertu, il peint trait pour trait Jésus-Christ : la ressemblance est si frappante que tous les Pères l'ont sentie, et qu'il n'est pas possible de s'y tromper.
Page 444 - Jésus expirant dans les tourments, injurié, raillé, maudit de tout un peuple, est la plus horrible qu'on puisse craindre. Socrate prenant la coupe empoisonnée bénit celui qui la lui présente et qui pleure ; Jésus, au milieu d'un supplice affreux, prie pour ses bourreaux acharnés. Oui, si la vie et la mort de Socrate sont d'un sage, la vie et la mort de Jésus sont d'un Dieu.
Page 424 - Si le rétablissement des sciences et des arts a contribué à épurer les mœurs 1 Avertissement
Page 406 - Voltaire n'écrira jamais une bonne histoire. Il est comme les moines, qui n'écrivent pas pour le sujet qu'ils traitent, mais pour la gloire de leur ordre. Voltaire écrit pour son couvent.
Page 23 - De cette nuit, Phénice, as-tu vu la splendeur? Tes yeux ne sont-ils pas tout pleins de sa grandeur? Ces flambeaux, ce bûcher", cette nuit enflammée, Ces aigles, ces faisceaux, ce peuple, cette armée, Cette foule de rois, ces consuls, ce sénat, Qui tous de mon amant empruntaient leur éclat...
Page 9 - Je le suis, ma Psyché, de toute la nature. Les rayons du soleil vous baisent trop souvent; Vos cheveux souffrent trop les caresses du vent; Dès qu'il les flatte , j'en murmure : L'air même que vous respirez Avec trop de plaisir passe par votre bouche; Votre habit de trop près vous touche ; Et, sitôt que vous soupirez, Je ne sais quoi, qui m'effarouche, Craint, parmi vos soupirs, des soupirs égarés.
Page 28 - Je fuis : ainsi le veut la fortune ennemie. Mais vous savez trop bien l'histoire de ma vie Pour croire que longtemps, soigneux de me cacher, J'attende en ces déserts qu'on me vienne chercher. La...
Page 24 - Qu'elle eût dans son absence un pouvoir absolu. Tu sais de nos sultans les rigueurs ordinaires : Le frère rarement laisse jouir ses frères De l'honneur dangereux d'être sortis d'un sang Qui les a de trop près approchés de son rang.
Page 450 - Mais si vous vous obstinez à rejeter mon secours, attendez-vous que je ne le dirai à personne. Si vous persistez à vous creuser l'esprit pour trouver de nouveaux malheurs, choisissez-les tels que vous voudrez ; je suis roi, je puis vous en procurer au gré de vos souhaits ; et, ce qui sûrement...