Le Mierre.. Le Mierre. Bekannt durch seine dramatischen Arbeiten, deren Werth und Aufnahme jedoch sehr ungleich ausfiel. Eben das gilt von seinen kleinern Gedichten, die er in den frans zösischen Musenalmanachen von Zeit zu Zeit bekannt ge: macht hat. Die hier mitgetheilte Romanze steht in dem Recueil de Romances, T. II. p. 189, und ist, wie man bald fieht, eine, wiewohl ziemlich schwache, Korie von Tickell's øben eingerückter englischer Ballade. So viel Haltung und Würde der Vortrag dieser leztern hat, so matt und uns gleich sind die Verse des französischen Dichters. COLIN ET LUCY Ecoutez-moi, faciles belles, Lucy, des filles de Vincennes Hélas! des peines trop cuifantes, Vous avez vû fouvent l'orage Par trois fois on entend la cloche 1 Ce Ce cri, cette cloche cruelle Lucy comprit tout aifément;. Aux filles en pleurs autour d'elle Elle dit ces mots en mourant: Cheres compagnes, je vous laiffe, L'ingrat que j'avois cru fincére, Ah! Colin, ah! que vas - tu faire? Dès le matin en épousée Filles, portez-moi vers ma foffe; Elle expire, on creufe fa foffe, Que devient-il? fon coeur fe ferre; Il tombe; chacun fe difperle, Colin, Le Mierre. Le Mierre. Colin, baigné de pleurs qu'il verfe, Vaine et tardive repentance! Près de fon amante fidelle La tombe reçoit mille offrandes; Vois cette pierre, amant volage, Ber |