3747 EYQUEM de MARTINEAU (Mathurin), philosophe hermétique de Bordeaux. EYQUEM de MARTINEAU, Bourdelois. Le pilote de l'onde vive, ou le secret du flux et reflux de la mer: contenant la cause de ses mouvements et celle du Point Fixe. Avec un voyage abrégé des Indes et une explication de la Quadrature du Cercle. Seconde edit. rev. et augm. de deux traitez nouveaux svr la philosophie naturelle.

Paris, d'Houry, 1989, in-12 de 7 fos 221 et 84 p. (12 fr. bien complet) [R. 12082-3

Avec deux figures gravées : I une de la Quadrature du Cercle; l'autre de la Sphère droite. 'Deux A la fin se trouvent traitez nouveaux contenant le tombeau de Semiramis nouvellement ouvert aux sages et la Refutation de l'anonym: "Pantaleon soy disant disciple d'Hermes qui manquent presque toujours.

Traite des marées, puis de Magie et de philosophie hermétique.

Ouvrage hermétique qui recèle dans ses profondeurs tous les arcanes du Grand (Euvre. Le titre en est tout symbolique et l'auteur prévient dans sa préface, qu'il parle allégoriquement. Le chap. 1. fait connaitre les nombres parfaits et mysterieux. Comment on doit les entendre et en faire l'application. Chap. II. De l'harmonie entre les causes celestes et terrestres. Chap. III. Des éléments et de leurs melanges. Chap. IV. De la disposition des Causes Centrales et Célestes.- Chap.V.- Explication du système par l'astrologie judiciaire, etc...

F*** (Louis).

Voir :

FIGUIER (Louis).

3749 F. C. R. N. G.I. A.- Prodromus Rhodo-stauroticus, Parergi Philosophici.das ist: Vortrab und Entdeckung, derer hocherleuchten, gottseligen und weitberühmten Brüderchafft vom Rosen Creutz. philosophischen Parergi, sonsten Lapis Philosophorum genandt...... sampt warhafften Bericht von Spiritu Universi, und Harmonia Mundi; alles in gewisse Canones getheilt, mit Figuren gezieret, und beschrieben, durch F. C. R. N. G. I. A.

S. 1, s. adr. 1020, pet. in-8° de XIV-78 pp, avec 14 fig. imp.. dans

le texte.

hospices de bien des malades et peu se soucier des certificats de ses confrères. (D. p. 22

3751 F. P. - Au 17 février 1874, le grand évènement précédé d'un grand prodige, prouvé par le Commentaire le plus simple, le plus méthodique, le plus rationnel qui ait paru jusqu'à ce jour de la célèbre prophétie d'Orval. Bar-le-Duc, 1873. in-8° (4 fr.).

3752 F. R. T. D. C. R. Schlüszel der wahren Weisheit, unter einem Gespräch eines wohlerfahrnen Sophisten mit der Weisheit in dreyen Theilen, mit einem Supplement, worinn das ganze mineralische, animalische, vegetabilische und astralische Reich aufgeschloszen, und J. G. Toeltii Coelum reseratum chymicum von Capitei zu Capitel ausgelegt und erläutert wird.

Leipzig, Adam Friedr. Böhme, 1787. in-8° de VIII-449 PP.

Signé F. R. T. D. C. R. anno den 17 May.

1458

Paris, Ant. de Sommaville, 1630, in-8°. (15 fr.).

Ouvrage du célèbre médecin spagyrique Fabre. De l'origine de l'Alchymie et de sa perfection de siècle en siècle. Que l'Alchymie est la vraye et unique philosophie actuelle. Des principes de l'Alchymie qui donnent à cognoistre l'intérieur de toute la nature, etc... De la médecine universelle. De quels sujets peut-on tirer et extraire cet esprit général du monde et cette médecine universelle. En quel temps de l'année et en quels lieux l'on peut plus abondamment colliger la ma tière de nostre médecine universelle. Par quel artifice chymique l'esprit géné

ral du monde se convertit en Astre, en Ciel, en Lune, en Soleil, etc... Par quel moyen nostre médecine générale peut guarir toutes sortes de maladies, etc.

(G-205 et 615

Peter 3759 FABRE (Pierre Jean). loan. Faber, doctor medicus philochymicus Monspeliensis. Alchymista Christianys, in qvo Devs rervm avthor omnium, et quam plurima fidei Christianæ mysteria per analogias chymicas et figuras explicantur. Christianorumque orthodoxa, doctrina vita et probitas non oscitanter ex chymica arte demonstrantur.

Tolosa Tectosagem, apud P. Bose, 1632, pet. in-8° (o fr.)

[R. 35628

(G-204

(S-011

(D. p. 159

3758 FABRE (Pierre Jean) de Castelnau

3760 FABRE (Pierre Jean). gia spagyrica.

Chirvr

Morbo

3761 FABRE (Pierre Jean). — Die hellscheinende Sonne am alchymistischen Firmament des hochteutschen Horizonts: das ist: Petri Joh. FABRI...... Manuscriptum, oder Sonderbares noch niemahlen Teutsch herausgegebenes Buch, welches er chedessen an den Deurchleuchtigsten Fürsten und Herzu Friederich, Herzog in Holstein, gesendet... mit einer ungemeinen Deutlichkeit erklähret Anmerckungen, auch andern dergleichen raren Schrifften vermehret, und zum Druck befordert.

Nürnberg, Wolffg. Moritz, 1705, in-8 de LXVI-304-XXXII pp. avec des pl. grav.

L'ouvrage de Fabre se termine à la p. 184; le reste du vol. contient huit à dix courts opuscules, dont les principaux sont Ali Puli; Centrum Naturae Nosce te ipsum et Epistola monitoria avec la Responsio par Fred. Alrio.

(O-1099-1195-1200-1268

3765 FABRE (Pierre Jean). rum omnivm diagnosim,prognosim et therapim iucundum certam et tutam complectens.

3709 FABRE (Pierre Jean). Petri Jo. FABRI, Propugnaculum Alchymiæ, adversus qvosdam misochymicos, philosophos vmbratiles, naturæ humanæ laruas, qui se philosophos profiteri audent, dum Chymiam stulte rident, nec tamen brutorum genia tenent. Vbi an sit Lapis Philosopho

rum...

Tolosa, Bose, 1645, in-8"

[R. 35578

(S-3396

3770 FABRE (Pierre Jean). P. J. FABER, medicus atque philosophus acutissimus.

S'adonna surtout aux lettres et au théâtre il composa, en vers, un «14 Juillet » pièce qui eut un certain succès. La Révolution ruina à peu près son père, et FABRE d'OLIVET collabora quelque temps à des périodiques. Il obtint une place dans les bureaux de la Guerre puis épousa, en 1800, Mlle A.WARIN, née près d'Agen. Une dizaine d'années plus tard, il eut à subir une sorte de persécution,pour avoir, n'étant pas medecin, guéri un jeune sourd-muet de naissance, Rodolphe GRIVEL. C'est vers cette époque que notre auteur, tantôt est bonapartiste, en apparence, tout au moins, et tantôt cesse complètement de l'être et le fait voir.

A sa mort il laissa une veuve et trois enfants, deux filles et un fils, dans une situation de fortune peu prospere.

La famille de sa mère, les d'OLIVET DE SAUVES, avait été presque totalement anéantie par les persécutions religieuses contre les Protestants, à la fin du règne de Louis XIV. Sa mère, Suzanne d'OLIVET, restait seule de son

nom.

FABRE D'OLIVET avait tenté de reconstituer la Religion de PYTHAGORE, et avait voulu, pour ce faire, s'aider de la Voyance de sa femme, excellent Médium, dit-on. Malheureusement Mme FABRE d'OLIVET était fervente Catholique, et.blessée dans ses sentiments religieux, abandonna son mari,

Après cette infortune ou vers ce temps, Fabre d'Olivet fit la connaissance de Mme FAURE, née Virginie DIDIER, qui appartenait à une famille de Pamiers. Cette dame qui était son élève de musique alors que FABRE D'OLIVET donnait des leçons de cet art pour vivre, se passionna des Théories Pythagoriciennes de son Maître et devint son Disciple.

« Fabre d'Olivet est mort au pied » de son autel, devant les statues de » ses Dieux », nous dit M. FABRE DES ESSARIS, a qui nous empruntons ces