Journal littéraire, Volume 2G.J. Decker, Imprimeur du roi, 1772 - Books |
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Page 27
... tion . En voulant réduire tout en pré- ceptes , on court risque de devenir minu- tieux , pour ne pas dire abfurde . Un ouvrage auquel on attache une grande importance ; un ouvrage qui ne promet pas moins que d'éclairer toute une nation ...
... tion . En voulant réduire tout en pré- ceptes , on court risque de devenir minu- tieux , pour ne pas dire abfurde . Un ouvrage auquel on attache une grande importance ; un ouvrage qui ne promet pas moins que d'éclairer toute une nation ...
Page 32
... 'il propofe d'établir . Un éleve formé tion .. .. par un tel maître , ne pourroit être qu'un - ( * ) Difcours préliminaire , page XXIV . ( ** ) Partie 2 , page 127 . grand grand homme , & fûrement il ne péche- roit pas 3.2 JOURNAL.
... 'il propofe d'établir . Un éleve formé tion .. .. par un tel maître , ne pourroit être qu'un - ( * ) Difcours préliminaire , page XXIV . ( ** ) Partie 2 , page 127 . grand grand homme , & fûrement il ne péche- roit pas 3.2 JOURNAL.
Page 37
... tion . Il avoit d'habiles gens dans fon . divan ; il connoiffoit leur mérite ; mais malheureusement il ne pouvoit foufrir leur air & leur ton ; ces gens n'avoient point de goût , ne favoient point mêler B 7 aux aux affaires de ces jolis ...
... tion . Il avoit d'habiles gens dans fon . divan ; il connoiffoit leur mérite ; mais malheureusement il ne pouvoit foufrir leur air & leur ton ; ces gens n'avoient point de goût , ne favoient point mêler B 7 aux aux affaires de ces jolis ...
Page 41
... tion de connoître les plaifirs & les agré- ments de la vie ; elle fit circuler les tré- fors que les Rois précédents avoient entaf- fés ; tous les talents furent mis en activi té , • II té ; le goût des belles chofes naquit LITTERAIRE . 41.
... tion de connoître les plaifirs & les agré- ments de la vie ; elle fit circuler les tré- fors que les Rois précédents avoient entaf- fés ; tous les talents furent mis en activi té , • II té ; le goût des belles chofes naquit LITTERAIRE . 41.
Page 57
... tion que les paralleles concourent à un point infiniment éloigné , & que les li- 3 C5 gnes la ressemblance des penfées ne prouve pas qu'un Auteur ait copié l'autre . En voici un exemple frappant . Il y a environ vingt ans que le re ...
... tion que les paralleles concourent à un point infiniment éloigné , & que les li- 3 C5 gnes la ressemblance des penfées ne prouve pas qu'un Auteur ait copié l'autre . En voici un exemple frappant . Il y a environ vingt ans que le re ...
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Common terms and phrases
affez affure ainfi ammoniac artiftes artiſtes Arts Arts floris auffi avoient avoit Beaux-Arts befoin Bergues borax c'eft à dire c'eſt caufe cerveau chofe compofé confeils conféquent conferver confidere connoiffance connoît corps corps noirs effai efpece efprit enfuite eſt étoient étoit fans favants fe trouve feconde felon femblable femble fenfible fens fentiment feroit fervir feulement fiecle fimples fociété foient foit folution font force fource fous fouvent fpectacles fufion fuivant fujet fuppofe furface fyftême goût Grecs hommes isles Kerguelen l'acide l'ame l'Au l'efprit l'hiſtoire laiffe langue maffe maniere matiere méchanique ment mœurs Montieri morue mouvement mufique n'eft n'eſt nation néceffaire Note de l'AUTEUR nouvelle Zemble obfervations ouvrage paffe paffions parceque peintre penfer perfonne peuple Philofophe phyfique plufieurs Poéfie poëte pofe poffible préfent preffion premiere Profeffeur propofe puiffances puiffe raifon refte réfulte s'eft ſes tartre terrein teur théatre tion Utrecht vitriol zéolithe
Popular passages
Page 245 - Relation d'un voyage dans la mer du Nord, aux côtes d'Islande, du Groenland, de Ferro, de Schettland, des Orcades et de Norwége, fait en 1767 et 1768.
Page 158 - Théatre ctoient û grands , que Plutarque dit que la repréfentation d'une Piece de Sophocle ou d'Euripide coûtoit plus à l'Etat que la conduite d'une guerre contre les Barbares. Pour y fournir , ils prirent fur ce fond qu'on avoit féqueftré , avec peine de mort contre quiconque oferoit en propofer un emploi différent de celui auquel il étoit deftiné. On ne fe contenta pas de révoquer ce decret; on en fit un autre , qui défendit , fous les mêmes peines , de propofer la reverfion de ce...
Page 157 - Peuple , en favorifant fes inclinations , & mit fon adminiftration à l'abri d'un dangereux examen, en l'attachant à des objets qui ne lui plaifoient que trop. Les chofes alloient alors jufqu'à l'extravagance : la paffion pour le Théatre étoit fi violente , qu'elle fufpendoit les affaires , & qu'elle étouffoit tout fentiment de gloire. Les Poetes...
Page 169 - L' homme ayant naturellement du "goût pour les idées fenfibles, comment <c faut-il s'y prendre pour que ce penchant "ferve à l'élévation de fes fentiments } & ". devienne en certains cas un moyen ir"réfiftible de le porter à fon devoir?
Page 325 - On n'entrera point dans le détail des procédés de l'Art. Le prix fera toujours une médaille d'or de la valeur de quatre cents livres.
Page 319 - Le Voyageur François, ou la Connoiffance de l'ancien & du nouveau Monde» mis au jour par M- l'Abbé de la Porte j tomes XV & XVI , in - iz.
Page 112 - Si l'homme , d'après fa nature, eft forcé » d'aimer fon bien - être , il eft forcé d'en aimer les 'moyens. Il ferait inutile & peut-être injufte de » demander à un homme d'être vertueux , s'il ne » peut l'être fans fe rendre malheureux. Dès que le » vice le rend heureux , il doit aimer le vice ». Cette maxime eft encore plus exécrable en morale, que les autres ne font faufles en phyfique.
Page 147 - Ce que les or dres .de chevalerie font aujourd'hui, comparés à ce qu'ils ont été autrefois; voilà ce que furent les Arts au temps...
Page 76 - L'effort par lequel un corps change ou tend à changer de place peut bien être la caufe du mouvement; mais le mouvement luimême , ou l'effet qui réfulte de cet effort, n'eft qu'un changement dans l'ordre de la coexiftence des corps. L'exiftence du mouvement, pris dans ce dernier feus , eft un fait : elle ne Peft point dans le fens de l'auteur.
Page 164 - Jfe retrouvent dans leur véritable deftina-tion, au fervice divin, aux monuments publics, aux fpectacles, on les confidere -comme des hors-d'œuvre, & on les abandonne à la merci du premier extravagant .qui s'avife de les profaner. Si quelquefois encore on voit du bon fur nos théaJtres ; fi nos poëtes quelques fois compofcnt dans le vrai but; ce n'eft certainement pas l'effèt de l'encouragement public.