| François-René vicomte de Chateaubriand - 1831 - 480 pages
...parcourant des yeux l'espace qui sépare la tour du Temple du château d'Edimbourg, je trouverois sans doute autant de calamités entassées qu'il ya de...fardeau le plus lourd, comme la plus forte : il n'ya qpeur qui ne se brise à son souvenir ; ses souffrances sent montées si haut, qu'elles sont devenues... | |
| 1831 - 706 pages
...parcourant des yeux l'espace qui sépare la tour du Temple du château d'Edimbourg, je trouverais sans doute autant de calamités entassées qu'il ya de siècles accumulés sur une noble race. « Et nous, dit M. Desjardins , en écoutant tous les cris d'angoisse qui se répondent et font écho... | |
| Art and literature - 1831 - 682 pages
...parcourant des yeux l'espace qui sépare la tour du Temple du château d'Edimbourg, je trouverais sans doute autant de calamités entassées qu'il ya de siècles accumulés sur une noble race. « Et nous, dit M. Desjardins , eu écoutant tous les cris d'angoisse qui se répondent et font écho... | |
| Alfred François Nettement - 1845 - 800 pages
...partout. En parcourant l'espace qui séjKire la tour du 1 Temple du château d'Edimbourg , je trouverai autant de calamités entassées qu'il ya de siècles accumulés sur une noble race. Une femme de donleur a été surtout chargée du fardeau le plus lourd, comme la plus forte ; il nya cœur qui ne... | |
| François-René de Chateaubriand - 1850 - 1080 pages
...« Temple du château d'Édimbourg, je trouve« rais, sans doute, autant de calamités entas« sées qu'il ya de siècles accumulés sur une « noble race....montées « si haut, qu'elles sont devenues une des gran« deurs de la révolution. Mais enfin on n'est « pas obligé d'être roi. La Providence envoie... | |
| François René de Chateaubriand - 1850 - 568 pages
...parcourant des yeux l'espace qui sépare la tour du Temple du château d'Edimbourg, je trouverais sans doute autant de calamités entassées qu'il ya de...siècles accumulés sur une noble race. Une femme de douleura surtout été chargéedn fardeaulc pluslourd, comme la plus forte : il n'ya cœur qui ne se... | |
| Francois Xavier de Feller, F.-M.. Simonin - 1867 - 638 pages
...elle s'était concilié le respect et l'admiration de tous. C'est d'elle que Chateaubriand a «lit: » Une femme de douleur a surtout été chargée du fardeau le plus lourd comme la plus forte ; il n'est cœur qui ne se brise à son souvenir : ses souffrances ont monté si haut, qu'elles sont devenues... | |
| Alfred Nettement - France - 1878 - 328 pages
...entassées qu'il ya de siècles accumuo lés sur une noble race. Une femme de douleur a « été surtout chargée du fardeau le plus lourd, comme « la plus forte. Il n'ya pas de cœur qui ne se serre à « son souvenir : ses souffrances sont montées si « haut qu'elles... | |
| Henri Arsac - Princes - 1884 - 326 pages
...républicain, si ce n'est une magnifique pensée de Chateaubriand : « Une femme de douleur a été surtout «r chargée du fardeau le plus lourd, comme la plus «...ses souffrances sont montées si haut, qu'elles sont (1)En 1814, au Théâtre-Français, à une représentation à'Œdipf, où assistaient Louis XVIII et... | |
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