De L'Origine des loix, des arts et des sciences, et de leurs progrès chez les anciens peuples [par A.-Y. Goguet et A.-C. Fugère]...Desaint et Saillant, 1758 - Art |
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... remarquer que cette façon de s'exprimer ne forme pas un fens bien clair ni bien fuivi les Septante & la Vulgate traduifent un peu différemment . Ils ont éga- lement pris D schem dans le fens de nom ; mais ils ont traduit ID phen , par ...
... remarquer que cette façon de s'exprimer ne forme pas un fens bien clair ni bien fuivi les Septante & la Vulgate traduifent un peu différemment . Ils ont éga- lement pris D schem dans le fens de nom ; mais ils ont traduit ID phen , par ...
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... le plus par- fait de tous ceux que les hommes aient inven- tés , & il eft à remarquer que la plupart de ces écrivains vivoient dans des Républiques . que de Jacob . pere , les fentimens & les 12 DE L'ORIGINE DES LOIX ,
... le plus par- fait de tous ceux que les hommes aient inven- tés , & il eft à remarquer que la plupart de ces écrivains vivoient dans des Républiques . que de Jacob . pere , les fentimens & les 12 DE L'ORIGINE DES LOIX ,
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... remarquer premierement que ces peuples qu'on dit être fans aucun culte extérieur , fe réduifent tout au plus à cinq ou fix , tant de l'ancien que du nouveau monde . I Or je demande fi ce petit nombre d'hommes comparé à la totalité du ...
... remarquer premierement que ces peuples qu'on dit être fans aucun culte extérieur , fe réduifent tout au plus à cinq ou fix , tant de l'ancien que du nouveau monde . I Or je demande fi ce petit nombre d'hommes comparé à la totalité du ...
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... remarquer quelle étoit l'ignorance & la groffiereté du genre- humain dans les premiers fiécles * . On manquoit des connoissances les plus fimples & les plus communes ; on étoit même privé de celles que nous jugeons les plus néceffaires ...
... remarquer quelle étoit l'ignorance & la groffiereté du genre- humain dans les premiers fiécles * . On manquoit des connoissances les plus fimples & les plus communes ; on étoit même privé de celles que nous jugeons les plus néceffaires ...
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... remarquer qu'en frappant deux cailloux l'un contre l'autre il en fortoit des étincelles . On profita de cette découverte d ; mais on n'étoit pas toujours à portée d'avoir des cailloux propres à faire du feu . La néceffité , mere des ...
... remarquer qu'en frappant deux cailloux l'un contre l'autre il en fortoit des étincelles . On profita de cette découverte d ; mais on n'étoit pas toujours à portée d'avoir des cailloux propres à faire du feu . La néceffité , mere des ...
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Common terms and phrases
affez affurer aifé ainfi anciens apud arts auffi auront avoient avoit ayent befoin C'eft C'eſt c'étoit Chap compofé conféquent conferver confidérable conftellations connoiffances découverte Déluge jufqu'à devoit différentes Diod Edif efpece Egypte Egyptiens enfans enfuite eſt étoient étoit faifoient faifoit fans doute fçait fciences fe font feconde fecours fect fentiment feroit fervir feul fignes fimple fociété foin foit fous fouvent fuivant fujet furplus Grecs habitans Halicarn Hébreu Herod Hérodote Hift Hygin Ibid Incas Jofeph jufqu'à la mort l'antiquité l'art l'Ecriture l'Egypte l'établiſſement l'hiftoire l'hiſtoire l'ufage l'uſage Livre de Job loix long-tems maniere métaux Moïfe mort de Jacob n'eft n'eſt nations néceffaire néceffité obfervations paffer paroît particuliere penfe perfonnes Pérou peuples Phénicie Phéniciens Plin plufieurs pluſieurs pouvoient pouvoit pratique préfentement prefque premieres premiers fiécles premiers hommes premiers tems raifon refte s'eft Sanchoniaton Sauvages Strabo ufage uſage Voyag vûe
Popular passages
Page 1 - De l'origine des loix, des arts et des sciences, et de leurs progrès chez les anciens peuples (par GOGUET et FUGÈRE).
Page 319 - N'eft-il pas étonnant de voir fervir à trois perfonnes un veau entier & près de cinqtiante-fix livres de pain. Rebecca, pour un feul repas, apprête à Ifaac deux chevreaux. Cette circonftance eft d'autant plus remarquable que dans les pays chauds, tels que la Paleftine,on a beaucoup moins befoin de nourriture, que dans les climats froids ou tempérés. J'aimerois donc mieux attribuer l'ufage de fervir une fi énorme quantité d'alimens à l'efprit de ces premiers...
Page 110 - On dit que ce fut une chèvre qui donna l'idée de tailler la vigne : cet animal ayant brouté un cep, on remarqua que, l'année suivante , il donna plus de fruit que de coutume ; et...
Page 163 - L'homme a l'avantage fingulier de pouvoir communiquer fes idées par le fecours de fons articulés ; mais les fons ne s'étendent pas au-delà du moment & du lieu où ils font proférés.
Page 42 - A la fin de l'année, il renvoyoit ces foldats chacun dans leur pays & en faifoit lever de nouveaux. Cette conduite avoit deux fins. D'un côté , Ninias retenoit dans le devoir fes fujets , qui voyoient une armée nombreufe toujours prête à aller réduire les rebelles les plus éloignés. De l'autre, le changement annuel de ces troupes empêchoit que les Officiers & les foldats ne priflent de trop fortes liaifons les uns avec les autres.
Page 322 - L'ufage en avoit lieu dès le temps d'Abraham. L'habillement étoit extrêmement fimple. Il n'y avoit prefque rien à tailler, & peu à coudre. Les modes ne changeant point alors comme elles ne changent point encore aujourd'hui dans le Levant ; & ces fortes d'habits pouvant convenir prefque indifféremment à toutes les tailles, les perfonnes riches en avoient toujours un grand nombre de réferve , dont elles faifoient des préfens.
Page 69 - Ils le regardèrent d'abord comme une espèce d'animal qui s'attachait au bois dont il se nourrissait. Les premiers qui s'en approchèrent de trop près s'étant brûlés , en donnèrent de la crainte aux autres, et n'osèrent plus le regarder que de loin, de peur, disaient-ils, d'en être mordus, et que ce terrible animal ne les blessât par sa violente respiration ; car c'est l'idée qu'ils se formaient de la flamme et de la chaleur.
Page 304 - Tout nous prouve, dit Goguet, qu'on n'aura pas tardé à imaginer le* drapeaux et les enseignes militaires pour guider les troupes dans la mêlée et leur faciliter les moyens de se reconnaître et de se rallier. On ne sait point, à la vérité, dans quel siècle ni chez quels peuples on a commencé à employer ces pratiques ; mais elles doivent avoir eu lieu dans une très-haute antiquité.
Page 334 - Rébecca fit prendre à Jacob. L'usage des senteurs et des parfums s'est donc introduit chez les peuples de l'Orient dès la plus haute antiquité, et on peut juger, d'après ces faits, qu'ils connaissaient d'autres recherches et d'autres voluptés dont Moïse , sans doute , n'a pas eu occasion de nous instruire.
Page 123 - ... d'en varier les nuances. Les premiers fruits, la première plante qu'on aura écrasés, l'effet des pluies sur . certaines terres et sur certains minéraux, ont dû donner des notions de l'art de teindre, et l'idée des différentes matières propres à la teinture. Dans tous les climats, l'homme a sous sa main des terres ferrugineuses, des terres bolaires de toutes nuances, des matières végétales et salines, etc.j la difficulté a été de trouver l'art de les employer.