Hitopadésa: ou, L'instruction utile. Recueil d'apologues et de contes, traduit du sanscrit avec des notes historiques et littéraires, et un appendice contenant l'indication des sources et des imitations, Volume 38, Part 1 |
Other editions - View all
Common terms and phrases
Anwar-i Souhaili apsarâ arbre asouras Boccace bonheur Brahmâ brâhmane chacal chap chose colère Contes et fables corbeau cygne daim Daïtyas Damanaka dieu dieux Directorium humane dirent disant ces mots Discorsi degli animali doit Don Juan Manuel donne Ecoutez éléphants ennemi essempio étang fable est tirée fable suivante fables indiennes femme Filosofia morale fils forêt forteresse fortune GANDHARVA gens governo grue Hiranyagarbha Hiranyaka homme Indra jour Kalila and Dimna Karataka Kauravas kchatriya l'Hitopadésa l'homme lion Livre des Lumières long-temps Magadha maître manger mangouste Manthara méchant Méghavarna ministre monde mort nâgas Nârada nommé oiseaux Pantchatantra liv parcequ'il perroquet phant Pingalaka poissons raconta la fable Râma Râvana recto répondit Damanaka reste richesses s'écria sage Sandhi Sandjîvaka sârasa science serpent serviteur Sire Sîtâ souverain Specimen sapientiæ Indorum tchakravâka Tchitragriva Tchitravarna tigre tirée du Pantchatantra tortue vacher vais vautour Vichnou Vichnousarman vînâ Vindhya Vîravara Voilà Voyez Vyâsa
Popular passages
Page 221 - L'Introduction au traité de la conformité des merveilles anciennes avec les modernes, ou Traité préparatif à l'apologie pour Hérodote.
Page 32 - Le lendemain matin, le corbeau vit arriver le maître du champ, un bâton à la main. Mon ami, dit-il au daim , fais le mort , retiens ta respiration , raidis tes membres et reste immobile ; je vais te becqueter les yeux, et, lorsque je pousserai un cri, tu te relèveras bien vite et tu prendras la fuite. Le daim suivit le conseil du corbeau. Le maître du champ,' lorsqu'il le vit dans cet état, ouvrit des yeux étincelants de joie.
Page viii - Fables et Contes indiens nouvellement traduits, avec un Discours préliminaire et des notes sur la religion, la littérature, les mœurs, etc., des Hindoux, par L.
Page 42 - Une femme est sous la garde de son père pendant son enfance , sous la garde de son mari pendant sa jeunesse , sous la garde de ses enfants dans sa vieillesse; elle ne doit jamais se conduire à sa fantaisie.
Page 51 - Dîrgharâva^ qui errait en ces lieux et cherchait sa nourriture, vit le daim, le chasseur, le serpent et le sanglier morts. Ah! se dit-il en les regardant, je trouve aujourd'hui de quoi bien manger. « De même que le malheur , le bonheur vient aux mortels sans qu'ils s'y attendent; aussi je crois que, dans ce monde, c'est la destinée qui l'emporte. » Eh bien ! avec leur chair, j'aurai de quoi me nourrir comme il faut pendant trois mois. L'homme me fera subsister un mois, le daim et le sanglier...
Page 2 - De tous les biens, la science est, dit-on, le plus grand, parce qu'on ne peut ni l'enlever à autrui ni l'acheter, et qu'elle est impérissable. De même qu'une rivière, suivant son cours, mêle ses eaux à celles de l'Océan, de même la science introduit un homme auprès du monarque inaccessible : c'est par elle que l'on arrive au comble de la fortune. La science donne la modestie ; avec la modestie, on acquiert du talent ; par le talent, on obtient la richesse; par la richesse, le mérite religieux,...
Page 217 - Disciplina clericalis: Discipline de Clergie, traduction de l'ouvrage de PIERRE ALPHONSE. — Le Chastoiement d'un père à son fils, traduction en vers français du même ouvrage.
Page 220 - Prusse s'en ala; et tandiz ma dame sa femme d'ung autre s'accointa, et, a l'eure que son mary retourna, elle estoit couchée avec son amy, lequel, par une gracieuse subtilité, elle le bouta hors de sa chambre, sans ce que son mary le chevalier s'en donnast garde.
Page 215 - Livre des lumières ou la Conduite des rois, composé par le sage Pilpay, indien, traduit en français par David Sahid d'Ispahan, ville capitale de Perse.
Page 222 - Monsieur, je vous demande grâce et pardon ; je ne vous croyais pas si près; je voulais vite courir pour ouvrir la porte. » Madame et Mme de Saint-Chaumond vinrent tout épouvantées avec des serviettes qu'elles tinrent si longtemps sur le nez de Monsieur, en l'entourant, que le comte de Guiche eut le temps de s'élancer au dehors et de gagner l'escalier avant que Monsieur ne pût l'apercevoir; il crut...